Salah

Salah (arabe : صَلاة , pluriel salawat , romanisé :prononciation arabe : [sʕa’laː(h)] , ([sʕaˈlaːt] dans l’état de construction ) allumé. ‘prière’),^[1] également connue sous le nom de namāz ( persan : نماز ) et également orthographiée salat , sont des prières effectuées par les musulmans . Face à la qibla , la direction de la Kaaba par rapport à ceux qui prient, les musulmans prient d’abord debout, puis à genoux ou assis par terre, récitant des prières prescrites et des phrases du Coran en s’inclinant et en se prosternant entre les deux. Salah est composé de cycles répétitifs prescrits d’arcs et de prosternations, appelés Rakat ( sing. rak’ah ). Le nombre de rak’a , également appelées unités de prière, varie d’une prière à l’autre. La pureté rituelle et le wudu sont des conditions préalables à l’exécution des prières. ^{[2] [3] [4]}

Salah
Des musulmans pachtounes faisant du ruku (s’inclinant) pendant la prière du festival à Kandahar, en Afghanistan.
Nom officiel	صلاة
Aussi appelé	La prière en islam
Observé par	les musulmans
Taper	islamique
Importance	Prière musulmane offerte à Dieu selon la jurisprudence légale
Observances	Prière du vendredi Duha Prières de l’Aïd Tarawih Prière de pluie
Relative à	Tilawa , ruku , sujud

Les prières obligatoires quotidiennes forment collectivement le deuxième des cinq piliers de l’islam , observé cinq fois par jour à des heures prescrites . Ce sont Fajr (observé à l’aube), Zuhr (observé à midi), Asr (observé en fin d’après-midi), Maghrib (observé après le coucher du soleil) et Isha (observé au crépuscule). Salah peut être exécuté soit dans la solitude, soit collectivement (connu sous le nom de jama’ah ). Lorsqu’ils sont exécutés en jama’ah , les fidèles s’alignent en rangées parallèles derrière un chef, connu sous le nom d’ imam. Les prières spéciales sont exclusivement exécutées en congrégation, comme la prière du vendredi et les prières de l’Aïd , et sont couplées à deux sermons chacune, prononcées par l’imam. ^[2]

Étymologie

Salah ([sʕaˈlaː(h)] صلاة ) est un mot arabe qui signifie prier ou bénir. ^[5] Le mot est utilisé principalement par les anglophones uniquement pour désigner les cinq prières obligatoires de l’Islam. Ce terme s’écrit solat en Malaisie et en Indonésie .

En dehors du monde arabe, les termes les plus répandus sont le mot persan namāz (persan : نماز ) et ses dérivés. Il est utilisé par les locuteurs des langues indo-iraniennes (par exemple le persan et certaines langues d’Asie du Sud ), ^[6] ainsi que par les locuteurs des langues turques et slaves . Dans Lak et Avar , chak ( чак ) et kak ( как ) sont utilisés, respectivement. Malaisie , Indonésie et leurs régions avoisinantesutiliser un terme local, sembahyang combinant les mots sembah – adorer, et hyang – dieu ou divinité. ^[7]

L’origine du mot salah est devenue un sujet de débat, en particulier par rapport au coranisme

Certains ont suggéré que salah dérive de la racine و س ل (w-ṣ-l) qui signifie “lier les choses ensemble”, ^[8] d’où la raison pour laquelle les prières obligatoires dans l’Islam sont désignées par le mot salah (dans le sens où à travers prière on “connecte” à Dieu). Dans certaines traductions, notamment celle de Rashad Khalifa , salah est traduit par la “Prière de Contact” ^[9] soit à cause du contact physique que la tête établit avec le sol lors de la partie de prosternation du rituel ( sujud ), soit encore parce que la prière « relie » celui qui l’accomplit à Dieu.

D’autres sources affirment que la racine est en fait ص ل و (slw) dont la signification ultime n’est pas convenue ^[10] .

On pense que Salah vient du mot syriaque classique 깣əlōṯ qui signifie prière, temple, sanctuaire ou l’idée théologique de la réconciliation dans le christianisme. On pense que Səlōṯ lui-même dérive de la racine ި-ޠ-ސ (ṣ-l-ʾ) qui est liée à la flexion ou à la prosternation.

Certains coranistes font valoir que le Coran ne soutient pas le sens traditionnel attribué à salah, affirmant qu’il signifie plutôt «devoir» ou peut-être «adhésion», bien que cela n’ait pas encore reçu de soutien académique généralisé. Ceux qui plaident pour cette interprétation se réfèrent souvent au verset 33:56 du Coran qui déclare que “Allah et Ses Anges yuṣallūna sur le Prophète”. Ils soutiennent que de tels versets démontrent que la compréhension conventionnelle de la salah est incohérente et dans ce cas blasphématoire, car l’idée d’Allah priant Muhammad (ou même priant du tout) est en contradiction avec le message du Coran de monothéisme strict. Cependant, le mot yuṣallūna dans ce contexte est largement compris comme signifiant “louange” ou “bénédictions”

Dans le Coran

Le nom ṣalāh ( ‏ صلاة ‎) est utilisé 82 fois dans le Coran . ^[11] Gerrans répertorié : 2:3 , 2:43 , 2:45 , 2:83 , 2:110 , 2:153 , 2:157 , 2:177 , 2:238 , 2:277 , 4:43 , 4:77 , 4:101 , 4:102 , 4:103 , 4:142 , 4:162 , 5:6 , 5:12 , 5:55 ,5:58 , 5:91 , 5:106 , 6:72 , 6:92 , 6:162 , 7:170 , 8:3 , 8:35 , 9:5 , 9:11 , 9:18 , 9 : 54 , 9:71 , 9:99 , 9:103 , 10:87 , 11:87 , 11:114 , 13:22 , 14:31 , 14:37 , 14:40 , 17:78 , 17:110 , 19:31 ,19:55 , 19:59 , 20:14 , 20:132 , 21:73 , 22:35 , 22:40 , 22:41 , 22:78 , 23:2 , 23:9 , 24:37 , 24 : 41 , 24:56 , 24:58 , 29:45 , 30:31 , 31:4 , 31:17 , 33:33 , 35:18 , 35:29 , 42:38 , 58:13 , 62:9 , 62:10 ,70:23 , 70:34 , 73:20 , 98:5 , 107:5 . ^[12]

Il existe environ 15 autres dérivés de sa racine trilitère ṣ-l . ^[11] Les mots liés à la salah (tels que mosquée, wudu, dhikr, etc.) sont utilisés dans environ un sixième des versets coraniques. ^[13] “Certes, ma prière, et mon sacrifice, ma vie et ma mort sont (toutes) pour Dieu”, ^{[14] [a]} et “Je suis Allah, il n’y a de dieu que moi, alors adorez-Moi et continuez prière pour mon souvenir” ^{[15] [b]} en sont deux exemples.

Signification religieuse

Le but principal de la salah est d’agir comme la communication d’une personne avec Allah. ^[16] La purification du cœur est l’objectif religieux ultime de Salah. Via salah, un croyant peut se rapprocher d’Allah et à son tour renforcer sa foi. Tout comme les humains ont physiquement besoin de nourriture et de suppléments pour rester en bonne santé et en vie, l’âme a besoin de prière et de proximité avec Dieu pour rester soutenue et en bonne santé. En bref, il soutient spirituellement l’âme humaine. ^[17]

Le tafsir du Coran peut donner quatre raisons pour l’observation de la salah. Premièrement, afin de louer Dieu , les serviteurs de Dieu, avec les anges, font la salah (“bénédiction, salutations”) ^{[18] [c]} Deuxièmement, la salah est faite involontairement par tous les êtres de la Création, dans le sens où ils sont toujours en contact avec Dieu en vertu de Lui les créant et les soutenant. ^{[19] [d]} Troisièmement, les musulmans offrent volontairement la salah pour révéler que c’est la forme particulière de culte qui appartient aux prophètes. ^[e] Quatrièmement, la salah est décrite comme le deuxième pilier de l’islam. ^[5]

Procédure

Divers mouvements prescrits dans Salah, qui constituent collectivement une rak’ah . De gauche à droite : Rukū’, qiyām /i’tidal, sujūd , takbīr et qu’ūd/julūs .

Chaque Salah est composé d’unités répétitives appelées Rakat ( arabe : رَكَعَات chanter. Rak’ah ). Chaque prière peut consister en deux à quatre Rakat. Chaque rak’ah se compose de mouvements et de récitations spécifiques. Sur les principaux éléments, il y a consensus, mais sur des détails mineurs, il peut y avoir des points de vue différents. Entre chaque position, il y a une très légère pause. La phrase Allahu akbar ( takbir ), est récitée lors du passage d’une position à une autre.

Début

Avant la prière, un musulman doit toujours accomplir le Wudhu , un acte dans lequel il se lave d’abord les mains, se nettoie la bouche et le nez, se lave le visage, se lave les bras jusqu’au coude, puis avec ses mains humides s’essuie la tête, y compris les oreilles. puis finalement lave ses pieds. L’intention, connue sous le nom de niyyah , est une condition préalable à la salah, et ce qui distingue le vrai culte de « passer par les mouvements ». Certaines autorités soutiennent que l’intention suffit dans le cœur, et certaines exigent qu’elle soit prononcée, généralement à voix basse. ^[20]

La personne qui prie commence dans une position debout connue sous le nom de qiyam , bien que les personnes qui ont du mal à le faire puissent commencer en étant assises ou allongées sur le sol. ^[5] Ceci est suivi par le lever des mains vers la tête et la récitation du takbīr , connu en combinaison sous le nom de takbīrat al-iḥrām ou takbīrat at-taḥrīmah (takbir consécratoire). Takbir est lu comme Allahu Akbar (allumé. Dieu est le plus grand). On baisse alors les mains. Le premier Takbir représente le début de la prière. À partir de ce moment, une personne qui prie ne peut pas converser, manger ou faire des choses qui sont autrement halal. Un musulman doit garder sa vision basse pendant la prière, en regardant l’endroit où son visage touchera le sol pendant la prosternation. ^{[20] [21] [22]}

Éléments communs de chaque Rakat

Toujours debout, l’acte principal suivant est la récitation d’ Al-Fatiha , le premier chapitre du Coran. Ce chapitre commence par la louange de Dieu, puis une supplication est faite à Dieu. Dans le premier et le deuxième Rakat, une autre partie du Coran est récitée après la Fatiha . Ceci est suivi en disant Allaahu Akbar (lit. “Dieu est le plus grand”) et en levant les mains jusqu’aux lobes des oreilles (Rafah yadain) suivi de Rakooh qui s’incline depuis la taille, les paumes placees sur les genoux (selon le madhhab , les règles peuvent différer pour les femmes). En s’inclinant, ceux qui prient prononcent généralement des mots de louange à voix basse, comme سبحان ربي العظيم ( litt.”Gloire à mon Seigneur, le Très Magnifique”), trois fois ou plus. Alors que l’adorateur redresse le dos, ils disent سمع الله لمن حمده ( lit. « Dieu écoute celui qui le loue. ») et ربنا لك الحمد ( rabbanā laka l-ḥamd , « Notre Seigneur, que toutes les louanges soient à toi. ») ^[20]

Learn more.

Tajwid

Jun 30, 2022

At-Tawba

Jun 28, 2022

Prière d’Isha

Jun 26, 2022

Jeûner en Islam

Jun 24, 2022

Musulman yéménite en sujūd , accomplissant la salah dans le désert pendant la guerre civile du Nord-Yémen (ci-dessus). Syriens en sujūd effectuant la salah en jama’ah derrière un imam (ci-dessous).

Ceci est suivi en disant Allaahu Akbar (lit. “Dieu est le plus grand”) et en levant les mains jusqu’aux lobes des oreilles, puis l’adorateur s’agenouille et se prosterne avec le front, le nez, les genoux, les paumes et les orteils touchant le sol, en disant سبحان ربى الأعلى ( lit. “Gloire à mon Seigneur, le Très-Haut”). Après un court moment de prostration, l’adorateur se lève très brièvement pour s’asseoir, puis revient au sol une seconde fois. Lever la tête de la deuxième prosternation complète une rak’ah. S’il s’agit de la deuxième ou de la dernière raka’ah, l’adorateur s’assoit et récite le tashahhud , la salawat et d’autres prières. ^[20] De nombreuses écoles soutiennent que l’index droit est levé lors de la récitation de la salawat,^[20] en particulier les érudits de l’école sunnite qui ont adapté la pratique technique de la prière trouvée dans le hadith de Zubayr ibn al-Awwam , tel que transmis par Muslim ibn al-Hajjaj . Dans la phase finale de la pratique d’az-Zubayr, le majeur, l’annulaire et l’auriculaire de la main droite sont serrés, tandis que l’index est pointé et le pouce placé au-dessus du majeur serré. ^{[Notes 1]} Cette pratique d’az-Zubayr est devenue un principe de base par des érudits modernes tels que Muhammad ibn Abd al-Wahhab dans son livre, Adab al-Mashy Ila as-Salaa ,^[24] et Muhammad Nasiruddin al-Albani . ^[25] Si l’adorateur a l’intention de terminer sa prière, il accomplit lataslim (illustré ci-dessous), ou continuer avec une nouvelle rak’ah. On pense que les erreurs de salah sont compensées en se prosternant deux fois à la fin de la prière, connue sous le nom de sujud sahwi . ^[26] Le taslim est lu comme Assalamualaikum wa rahmatullah (allumé “La paix et la miséricorde d’Allah soient sur vous tous”). Taslim représente la fin de la prière.

Exécution du Taslim

Réciter le salam face à la bonne direction Réciter le salam face à la direction gauche

Types de salâh

Les prières dans l’islam sont classées en catégories basées sur les degrés d’obligation. Une classification courante est [fard] (“obligatoire”), [sunnah] (“tradition”) et nafl (“volontaire”). ^[27]

Prières obligatoires

Les cinq prières quotidiennes sont obligatoires pour tous les musulmans qui ont atteint l’âge de la puberté , à l’exception de ceux pour qui cela peut ne pas être possible en raison d’un handicap physique ou mental, ^[28] et ceux qui ont leurs règles ( hayd ) ou qui subissent des saignements postnatals ( nifas ). ^[29] Ceux qui sont malades ou physiquement incapables d’offrir leurs prières sous la forme traditionnelle sont autorisés à offrir leurs prières assis ou couchés, selon leurs capacités. ^[30] Chacune des cinq prières a un temps prescrit , en fonction du mouvement du soleil. Ce sont la prière du Fajr (2 Rakat, observée à l’aube ),La prière de Zuhr (4 Rakat, observée à midi ), la prière d’Asr (4 Rakat, observée en fin d’après- midi ), la prière du Maghrib (3 Rakat, observée au crépuscule ) et la prière d’Isha (4 Rakat, observée après le coucher du soleil). Salah doit être prié en son temps. Dans certaines circonstances, on peut être incapable d’offrir sa prière dans le délai prescrit. Dans ce cas, la prière doit être offerte le plus tôt possible. Plusieurs hadiths racontent que Muhammad a déclaré qu’il est permis de prier salah en dehors de son temps autorisé si une personne dort accidentellement pendant le temps prescrit. Cependant, dormir sciemment pendant le temps prescrit pour Salah est jugé inadmissible par la plupart des érudits. ^[31]

Affichage montrant les heures de prière dans une mosquée turque. Qasr (raccourcissement des prières)

Lorsque vous voyagez sur de longues distances, vous pouvez raccourcir les prières de Zuhr , ‘Asr et ‘Isha’a à 2 Rakat , une pratique connue sous le nom de qasr . ^[32]

Jam’ (combinaison de prières)

Dans Shia Ja’fari Fiqh , on peut effectuer jam ‘bayn as-salātayn, qui se réfère à la prière des prières Zuhr et ‘Asr en combinaison à l’un de ses moments, ainsi que les prières du Maghrib et de l’ Isha’a à l’un de ses moments . . Cependant, prier séparément est considéré comme meilleur. Ni le qasr ni le jam’ bayn as-salātayn ne peuvent être appliqués à la prière du Fajr. ^[33]

À l’exception des Hanafites , la jurisprudence sunnite permet également de combiner les prières du Maghrib et de ‘Isha’a ou les prières de Dhuhr et de ‘Asr s’ils voyagent et sont incapables d’accomplir les prières de manière indépendante. Parmi les sunnites, les Musulmans salafistes autorisent la combinaison de deux prières consécutives pour un large éventail de raisons ; comme lorsque divers besoins surviennent ou en raison de toute difficulté. ^{[34] [35]} Prenant le pas sur les Imams des Salaf et des premiers Muhaddithun ; de nombreux salafistes parmi les Ahl-i Hadithpermis scolaire combinant généralement deux prières consécutives, bien que la prière séparée soit préférable. ^{[36] [37]}

Vue sunnite

De la catégorie fard sont les cinq prières quotidiennes, ainsi que la prière de rassemblement ( Jumu’ah ), tandis que les prières de l’Aïd et le Witr sont de la catégorie Wajib . ^[38] Abandonner les prières obligatoires en raison de la négligence est du Kufr (incrédulité) selon le madhhab hanbali plus strict de l’islam sunnite , tandis que les autres madhhabs sunnites considèrent cela comme un péché majeur . Cependant, les quatre madhhabs conviennent que le refus du statut obligatoire de ces prières invalide la foi de ceux qui le font, les rendant apostats .. Le prophète islamique Mahomet aurait dit : « Entre l’homme, le polythéisme et l’incrédulité se trouve l’abandon de la salat. (Sahih Muslim Livre 1, hadith 154). ^[39]

Les prières de Fard (comme toutes les actions de Fard ) sont en outre classées comme Fard al-ayn (obligation de soi) et Fard al-kifayah (obligation de suffisance). ^{[ citation nécessaire ]} Fard al-ayn sont des actions considérées comme obligatoires pour les individus, pour lesquelles l’individu sera tenu responsable si les actions sont négligées. ^[40] Fard al-Kifayah sont des actions considérées comme obligatoires pour la communauté musulmane dans son ensemble, de sorte que si certaines personnes au sein de la communauté l’exécutent, aucun musulman n’est considéré comme blâmable, mais si personne ne l’exécute, tous encourent une punition collective. ^[41]

Les adeptes de l’imam Abu Hanifa incluent également une 6e prière obligatoire, le witr . Elle est censée être la dernière prière de la nuit et se compose d’un nombre impair de Rakat. Cette obligation est considérée comme une obligation moindre par rapport aux 5 autres prières obligatoires, en ce sens que son rejet n’est pas un acte d’incrédulité selon l’ école hanafite . Les autres écoles considèrent qu’il s’agit d’une sunna muakkadah ( sunnah accentuée ).

Certains érudits islamiques exigent des hommes qu’ils offrent la prière obligatoire en congrégation ( jama’ah ), derrière un imam lorsqu’ils en sont capables. Cependant, selon la plupart des érudits islamiques, la prière en congrégation est mustahabb (recommandée) pour les hommes, s’ils sont capables de le faire. alors . ^[42]

Prières spéciales de la congrégation

Femmes priant à Najaf , Irak pour l’ Aïd al-Fitr

Le Jumu’ah est une prière collective du vendredi, qui remplace la prière de Zuhr. Il est obligatoire pour les hommes de prier cela en congrégation, tandis que les femmes peuvent le faire ou offrir la prière de Zuhr à la place. ^[43] Jumu’ah se compose d’un sermon ( khutbah ), après quoi deux rakats sont priés. ^[44] Puisque la khutbah remplace les deux Rakat de Zuhr, on pense que l’écouter compense soigneusement le thawāb de 2 Rakat. ^[45]

La salah du ‘ Idayn est dite les matins de ”Eid al-Fitr et ‘ Eid an-nahr ‘ . La prière de l’Aïd est classée par certains comme fard , probablement une obligation individuelle ( Fard al-ayn ), bien que certains érudits islamiques soutiennent qu’il ne s’agit que d’une obligation collective ( fard al-kifayah ). Il se compose de deux rakats, avec sept (ou trois pour les adeptes de l’imam Abu Hanifa ) takbirs offerts avant le début du premier Rakat et cinq (ou trois pour les adeptes de l’imam Abu Hanifa) avant le second. Une fois la salah terminée, un sermon ( khutbah ) est offert. Cependant, la khutbah ne fait pas partie intégrante de l’Aïd salah.^[46] L’Aïd salah doit être offert entre le lever du soleil et le vrai midi, c’est-à-dire entre les périodes de Fajr et de Zuhr . ^[32]

Prières surérogatoires

Sunna et nafl

Les musulmans sunnites exécutent la sunnah salah facultative (prières volontaires offertes par Muhammad ) de deux catégories: sunnah mu’akkadah (sunnah vérifiée) et sunnah ghair-mu’akkadah (sunnah non vérifiée). La principale différence entre les deux étant la fréquence à laquelle Muhammad a effectué la salah correspondante. Certaines prières sunna ont des heures prescrites. Ceux qui sont ordonnés avant chacune des prières du fard doivent être offerts entre le premier appel à la prière ( adhan ) et le deuxième appel ( iqamah ), qui signifie le début de la prière du fard. Ces sunnah ordonnées après les prières du fard peuvent être récitées à tout moment entre la fin des prières du fard et la fin du waqt de la prière en cours. ^{[citation nécessaire ]}

Alors que les musulmans sunnites classent ces prières dans la sunnah, les chiites les considèrent comme nafl . Les nafl salah sont volontaires et peuvent être offerts à tout moment. ^[47] De nombreux musulmans sunnites offrent également deux rakats de nafl salah après les prières de Zuhr et de Maghrib. Pendant la prière Isha, ils prient les deux rakats de nafl après les deux prières sunnah mu’akkadah et Wajib . ^[48] Il existe de nombreuses conditions ou situations spécifiques dans lesquelles on peut souhaiter offrir des prières nafl. Ils ne peuvent pas être offerts au lever du soleil , à midi vrai ou au coucher du soleil . L’interdiction de salah à ces moments est d’empêcher la pratique du Culte du soleil .^[49] Certains musulmans offrent des prières volontaires immédiatement avant et après les cinq prières prescrites. Un tableau de ces prières est donné ci-dessous.

Tableau des Prières surérogatoires avec prières obligatoires, avec des différences mineures entre madhhabs ^[48]

Prière obligatoire (fard)	Volontaire avant fard ^{[t 1]}	Obligatoire	Volontaire après fard ^{[t 1]}	Total
sunnite	chiite	sunnite	chiite	sunnite	chiite	sunnite	chiite
Fajr	2 rakats ^¤	2 rakats ^{[t 1]}	2 rakats ^{[t 1]}	Rien	2 rakats ^{[t 1]}	4 r.	6 r.
Zuhr	4 rakats ^¤	4 rakats	4 rakats ^{[t 2]}	2 rakats ^{¤ [t 3]}	8 r. ^{[t 1] [t 4] [t 5]}	10 r.	16 r.
Asr	4 rakats ^‡	4 rakats	4 rakats	Rien	8 r. ^{[t 1] [t 4] [t 5]}	8 r.	16 r.
Maghreb	2 rakats	3 rakats	3 rakats	2 rakats ^{¤ [t 3]}	2 r. ^{[t 1] [t 4] [t 5]}	7 r.	11 r.
Icha ^{[t 6]}	4 rakats ^‡	4 rakats	7 r. ^×	4 r.	2 rakats ^{¤ [t 3]}	2 r. ^{[t 1] [t 4] [t 5]}	13 r.	10 r.
Jumu’ah	2 rakats ^‡	2 rakats	2 Rakat avec khutbah	4 rakats ^¤ 2 rakats ^¤ 2 r. nafl	2 rakats	14 r.	6 r.
¤ : désigne la sunnah mu’akkadah (sunnah vérifiée), qui doit être offerte par les adhérents du madhhab hanafite . ‡ : désigne la sunnah ghair-mu’akkadah (sunnah non vérifiée). × : offert en deux prières de 4 et 3 Rakat chacune, la 3 Rakat étant considérée comme Wajib et exécutée après la Rakat de 4 fard.

Prières de la nuit Bien que ce ne soit pas une partie obligatoire du cours, la plupart des musulmans supplient après avoir terminé la prière.

Tahajjud (arabe : تَهَجُّد ) sont des Prières surérogatoires offertes tard dans la nuit. Les prières de ce type sont observées de minuit à l’heure prescrite de la prière du Fajr. ^[50] La prière comprend n’importe quel nombre de Rakat pairs, exécutés par deux ou par quatre, suivis de trois Rakat impairs ou plus de prière de witr . ^[51] Les musulmans chiites offrent des prières similaires, simplement appelées prières nocturnes (arabe : صَلَوَات اللَّيل ). Ceux-ci sont considérés comme hautement méritoires et peuvent être offerts en même temps que le tahajjud. ^{[52] [53]} Ces prières comprennent onze Rakat : 8 nafl (4 prières de 2 Rakat chacune), 2 Rakat shaf’ prière et 1 Rakat witr. ^[53] Witr(arabe: وِتر lit. ‘string’) sont des prières offertes soit avec la prière Isha, soit avec le tahajjud / salawat al-layl. Certains considèrent cette prière obligatoire ( Wajib ), tandis que d’autres la considèrent surérogatoire. Ceux-ci sont exécutés en nombre impair de rakats, avec de légères différences entre les madhhabs . La prière comprend généralement le qunūt . ^[52]

Autres prières

Le mot istikharah est dérivé de la racine ḵ-yr (خير) “bien-être, bonté, choix, sélection”. ^[54] Salat al-Istikhaarah est une prière offerte lorsqu’un musulman a besoin de conseils sur une question particulière. Pour dire cette salah, il faut prier deux rakats de salah non obligatoire jusqu’à la fin. Après l’achèvement, il faut demander à Dieu ce qui est le mieux. ^[32] L’intention de la salah devrait être dans son cœur de prier deux rakats de salah suivis d’ Istikhaarah . La salah peut être offerte à n’importe quel moment où la salah n’est pas interdite. ^[55] D’autres prières incluent le tahiyyat al-masjid , que les musulmans sont encouragés à offrir ces deux Rakat. ^[56]

Différences de pratique

Un musulman sunnite (à gauche) ^[57] et un musulman chiite (à droite) exécutant la prière du vendredi à Téhéran . Certains sunnites exécutent la salah avec les mains jointes (” qabd “), tandis que les chiites offrent la salah avec les mains sur les côtés (” sadl “).

Les musulmans croient que Muhammad a pratiqué, enseigné et diffusé le rituel du culte dans toute la communauté des musulmans et en a fait une partie de leur vie. La pratique a donc été concurremment et perpétuellement pratiquée par la communauté à chacune des générations. L’autorité pour les formes de base de la salah n’est ni les hadiths ni le Coran, mais plutôt le consensus des musulmans. ^{[58] [59]}

Cela n’est pas incompatible avec un autre fait que les musulmans ont fait preuve de diversité dans leur pratique depuis les premiers jours de la pratique, de sorte que la salah pratiquée par un musulman peut différer de celle d’un autre dans des détails mineurs. Dans certains cas, les hadiths suggèrent qu’une partie de cette diversité de pratiques était connue et approuvée par le Prophète lui-même. ^[60]

La plupart des différences sont dues à des interprétations différentes des sources juridiques islamiques par les différentes écoles de droit ( madhhabs ) de l ‘ islam sunnite , et par différentes traditions juridiques au sein de l’ islam chiite . Dans le cas du culte rituel, ces différences sont généralement mineures et devraient rarement causer des différends. ^[61]

Un turbah ou mohr est un petit morceau de terre ou d’argile, souvent une tablette d’argile, utilisé pendant la salah pour symboliser la terre.

Les différences courantes, qui peuvent varier selon les écoles et le sexe, incluent la position des jambes, des pieds, des mains et des doigts, l’endroit où les yeux doivent se concentrer, la quantité minimale de récitation, le volume de récitation (audible, mouvement des lèvres ou simplement écoute ( Prière bruyante [ ar ] , Prière silencieuse [ ar ] )), et lesquels des principaux éléments de la prière sont indispensables, recommandés ou facultatifs. ^{[ citation nécessaire ]}

Une étude du Pew Research Center de 2015 a révélé que les femmes sont 2 % plus susceptibles que les hommes de prier quotidiennement. ^[62]

Prière en congrégation

Bosniaques priant dans un champ ouvert, ca. 1906 Prier le soir à la mosquée Lahti à Lahti , Finlande Le président Joko Widodo d’Indonésie (première rangée, quatrième à partir de la gauche) se joignant à la prière en congrégation avec le vice-président Jusuf Kalla (troisième à partir de la gauche), d’autres membres du cabinet et d’autres fidèles. Prière du vendredi pour les musulmans dans les rues de Dhaka , Bangladesh

La prière dans la congrégation ( jama’ah ) est considérée comme ayant plus d’avantages sociaux et spirituels que la prière par soi-même. ^[63] Selon les traditions des hadiths , la récompense d’une prière en congrégation augmente vingt-cinq fois. Un hadith dit : « La prière en congrégation est vingt-cinq fois supérieure à la prière offerte par une personne seule. » ( Sahih Bukhari 646 ). ^[64]

Lors de la prière en congrégation, les gens se tiennent en rangées parallèles droites derrière une personne qui dirige la prière, appelée imam, également appelée le «chef». L’imam doit être au-dessus des autres en matière de connaissance, d’action, de piété et de justice et posséder une foi et un engagement en lesquels les gens ont confiance, une perception équilibrée de la religion et la meilleure connaissance du Coran. ^[31] La prière est offerte normalement, la congrégation suivant l’imam dans l’ordre où il offre la prière. ^[65]

Disposition debout

Pour deux personnes du même sexe, ils se tiendraient en ligne, l’imam se tiendrait à gauche et l’autre personne à droite. Pour plus de deux personnes, l’imam se tient une rangée devant les autres. ^{[ citation nécessaire ]}

Lorsque les fidèles sont composés d’hommes et de femmes combinés, un homme est choisi comme imam. Dans cette situation, il est généralement interdit aux femmes d’assumer ce rôle. Ce point, bien qu’approuvé à l’unanimité par les grandes écoles de l’Islam, est contesté par certains groupes , en s’appuyant en partie sur un hadith dont l’interprétation est controversée. Lorsque la congrégation est entièrement composée de femmes et d’enfants prépubères, une femme est choisie comme imam. ^[66] Lorsque les hommes, les femmes et les enfants prient, les rangées d’enfants se trouvent généralement entre les rangées d’hommes et de femmes, avec les hommes à l’avant et les femmes à l’arrière. Une autre configuration est celle où les rangs des hommes et des femmes sont côte à côte, séparés par un rideau ou une autre barrière, ^[67]l’intention première étant qu’il n’y ait pas de ligne de vue directe entre les fidèles masculins et féminins. ^[68]

Hommes debout en prière à Tulehu , Indonésie .

Voir également

Doua
Sabr (terme islamique)
Tasbih

Références

Notes de bas de page

^ Coran, 6:162
^ Coran, 20:14
^ Coran, 33:43
^ Coran, 24:41
^ Coran, 21: 71-73

^ L’auteur a également noté que ces mouvements particuliers utilisés par az-Zubayr étaient également pratiqués par Abdullah ibn Umar dans le Sahih Muslim numéro 1339^[23]

Remarques

^ ^un ^bcdefghi ^Selon^les^musulmans^chiites^,^ceux – ci doivent être dits en deux et deux ^rakats (quatre au total). Ce n’est pas le cas des musulmans sunnites.
^ Remplacé par Jumu’ah le vendredi, qui se compose de deux rakats.
^ ^a ^b ^c Selon les musulmans sunnites , il existe une différence entre Sunnat-Mu’akkadah (obligatoire) et Sunnat-Ghair-Mu’akkadah (volontaire). Contrairement à la Sunnat-Ghair-Mu’akkadah, la Sunnat-Mu’akkadah était priée quotidiennement par Muhammed .
^ ^un ^bcd ^Mustahab ( digne ^d’ éloges) à faire tous les jours. (chiites)
^ ^un ^bcd Selon les musulmans chiites, cette prière est appelée ^nawafil^.
^ Plus d’informations sur l’utilisation du mot “Isha” (soir) voir Coran 12:16 , Coran 79:46

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Lectures complémentaires

Smith, Jane I.; Haddad, Yvonne Yazbeck (1993). Le manuel d’Oxford de l’islam américain (1ère éd.). Oxford : presse universitaire d’Oxford. p. 162–163.

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