Kim Jong Il

Kim Jong-il ^[b] ( / ˌ k ɪ m dʒ ɒ ŋ ˈ ɪ l / ; ^[2] Coréen : 김정일 ; prononciation coréenne : [kim.dzɔŋ.il] ; ^[c] né Yuri Irsenovich Kim ; ^[d] 16 février 1941 – 17 décembre 2011) était un homme politique nord-coréen qui a été le deuxième chef suprême de la Corée du Nord de 1994 à 2011. Il a dirigé la Corée du Nord depuis la mort en 1994 de son père Kim Il-sung , le premier chef suprême, jusqu’à son propre morten 2011, lorsqu’il a été remplacé par son fils, Kim Jong-un .

Chef éternel Grand Maréchal Kim Jong Il
김정일 金正日
Kim en 2011
Secrétaire général du Parti des travailleurs de Corée
En poste du 8 octobre 1997 au 17 décembre 2011
Précédé par	Kim Il-sung
succédé par	Kim Jong-un (en tant que premier secrétaire)
Président de la commission de la défense nationale
En poste du 9 avril 1993 au 17 décembre 2011
Premier vice-président	O Jin-u Jo Myong-rok
Vice-président	Choe Kwang Kim Il-chol Ri Yong-mu Yon Hyong-muk Kim Yong-chun O Kuk-ryol Jang Song-thaek
Précédé par	Kim Il-sung
succédé par	Kim Jong-un (en tant que premier président)
Commandant suprême de l’armée populaire coréenne
En poste du 24 décembre 1991 au 17 décembre 2011
Précédé par	Kim Il-sung
succédé par	Kim Jong Un
Détails personnels
Née	Youri Irsenovich Kim ( 1941-02-16 )16 février 1941 Primorsky Krai , SFSR russe , Union soviétique (archives soviétiques) 16 février 1942 Baekdu Mountain , Chōsen (biographie et archives nord-coréennes) [a] ( 1942-02-16 )
Décédés	17 décembre 2011 (2011-12-17)(70 ans) Pyongyang , Corée du Nord
Cause de décès	Infarctus du myocarde
Lieu de repos	Palais du Soleil de Kumsusan , Pyongyang, Corée du Nord
Nationalité	Nord coréen Soviétique ( Koryo-saram )
Parti politique	Parti des travailleurs de Corée
Conjoint(s)	Hong Il-chon ​ ​ ( m. 1966; div. 1969 ) Kim Young-sook ​ ( né en 1974 )
Partenaire domestique	Song Hye-rim (1968–2002) Ko Yong-hui (1977–2004) Kim Ok (2004-2011)
Enfants	Kim Hye-kyung Kim Jong Nam Kim Sol-chanson Kim Jong Chul Kim Jong Un Kim Yo-jong [1]
Parents	Kim Il-sung (père) Kim Jong-suk (mère)
Les proches	Famille Kim
Éducation	École révolutionnaire de Mangyongdae
mère nourricière	Université Kim Il-sung
Signature
Service militaire
Allégeance	Corée du Nord
Succursale/service	Armée populaire coréenne
Des années de service	1991–2011
Rang	Taewonsu (대원수, grossièrement traduit par Généralissime ou Grand Maréchal )
Commandes	commandant suprême
Nom coréen
Chosŏn’gŭl	김 정 일
Hancha	金正日
Romanisation révisée	Gim Jeong(-)il
McCune–Reischauer	Kim Chungil
Adhésion à l’institution centrale 1980-2011 : membre du Présidium du Bureau politique du 6e Comité central du Parti des travailleurs de Corée 1974-2011 : membre du Bureau politique des 5e et 6e Comité central du Parti des travailleurs de Corée 1972–1997 : Secrétariat du Parti des travailleurs de Corée 1972-2011 : Membre, 5e, 6e Comité central du Parti des travailleurs de Corée 1982-2011 : Député, 7e, 8e, 9e, 10e, 11e, 12e Assemblée populaire suprême Autres mandats occupés 1997–2011 : Président de la Commission militaire centrale du Parti des travailleurs de Corée 1980–1997 : membre de la Commission militaire centrale du Parti des travailleurs de Corée 1990–1993 : premier vice-président, Commission de la défense nationale Chef de la République populaire démocratique de Corée ← Kim Il-sung Kim Jong Un →

Au début des années 1980, Kim était devenu l’ héritier présomptif de la direction de la République populaire démocratique de Corée (RPDC) et avait assumé des postes importants dans les organes du parti et de l’armée. Kim a succédé à son père et fondateur de la RPDC Kim Il-sung , après la mort de l’aîné Kim en 1994. Kim était le secrétaire général du Parti des travailleurs de Corée (WPK), Présidium du WPK , président de la Commission de défense nationale (NDC) du Nord Corée et le Commandant suprême de l’armée populaire coréenne (KPA), la quatrième plus grande armée permanente au monde.

Kim dirigeait la Corée du Nord comme une dictature répressive et totalitaire . ^[e] Kim a assumé la direction pendant une période de crise économique catastrophique au milieu de la dissolution de l’Union soviétique , dont elle était fortement dépendante pour le commerce de la nourriture et d’autres fournitures, ce qui a entraîné une famine . Alors que la famine avait pris fin à la fin des années 1990, la pénurie alimentaire a continué d’être un problème tout au long de son mandat. Kim a renforcé le rôle de l’ armée par sa politique Songun (“militaire d’abord”), faisant de l’armée l’organisateur central de la société civile. Le règne de Kim a également vu des réformes économiques provisoires, y compris l’ouverture du parc industriel de Kaesongen 2003. En avril 2009, la Constitution de la Corée du Nord a été amendée pour le désigner, ainsi que ses successeurs, comme le “chef suprême de la RPDC”.

Le titre familier le plus courant donné à Kim était “Cher Leader” pour le distinguer de son père Kim Il-sung , le “Grand Leader”. Suite à l’échec de Kim à se présenter à d’importants événements publics en 2008, des observateurs étrangers ont supposé que Kim était soit tombé gravement malade, soit décédé. Le 19 décembre 2011, le gouvernement nord-coréen a annoncé qu’il était décédé deux jours plus tôt, après quoi son troisième fils, Kim Jong-un , a été promu à un poste de direction au sein du WPK au pouvoir et lui a succédé. Après sa mort, Kim a été désigné “Secrétaire général éternel” du WPK et “Président éternel de la Commission de la défense nationale”,.

Jeunesse

Naissance

Les archives soviétiques montrent que Kim est né Yuri Irsenovich Kim ( russe : Юрий Ирсенович Ким ). ^{[6] [7] [8]} Dans la littérature, on suppose qu’il est né en 1941 soit dans le camp de Vyatskoye , près de Khabarovsk , ^[9] ou dans le camp Vorochilov près de Nikolsk . ^[10] Selon Lim Jae-cheon, Kim ne peut pas être né à Vyatskoye car les archives de guerre de Kim Il-sung montrent qu’il n’est arrivé à Vyatskoye qu’en juillet 1942 et qu’il avait vécu à Vorochilov auparavant, ainsi Kim Jong-il est généralement d’accord être né à Vorochilov. ^[11] La mère de Kim, Kim Jong-suk, était la première épouse de Kim Il-sung. Au sein de sa famille, il était surnommé “Yura”, ^[12] tandis que son jeune frère Kim Man-il (né Alexander Irsenovich Kim) était surnommé “Shura”. ^[13]

La biographie officielle de Kim indique qu’il est né dans un camp militaire secret sur la montagne Paektu ( coréen : 백두산밀영고향집 ; Baekdusan Miryeong Gohyang jip ) à Chōsen le 16 février 1942. ^[14] Selon un camarade de la mère de Kim, Lee Min, le mot de La naissance de Kim a d’abord atteint un camp militaire à Vyatskoye par radio et que Kim et sa mère n’y sont retournés que l’année suivante. ^{[15] [16]} Les rapports indiquent que sa mère est décédée en couches en 1949. ^[17]

En 1945, Kim avait quatre ans lorsque la Seconde Guerre mondiale a pris fin et que la Corée a retrouvé son indépendance du Japon . Son père est retourné à Pyongyang en septembre et fin novembre, Kim est retourné en Corée via un navire soviétique, atterrissant à Sonbong . La famille a emménagé dans un ancien manoir d’officier japonais à Pyongyang, avec un jardin et une piscine. Le frère de Kim s’y est noyé en 1948. ^[18]

Éducation

Selon sa biographie officielle, Kim a terminé le cours d’enseignement général entre septembre 1950 et août 1960. Il a fréquenté l’école primaire n ° 4 et l’école intermédiaire n ° 1 ( Namsan Higher Middle School ) à Pyongyang. ^{[19] [20]} Ceci est contesté par des universitaires étrangers, qui pensent qu’il est plus susceptible d’avoir reçu son éducation précoce en République populaire de Chine par précaution pour assurer sa sécurité pendant la guerre de Corée . ^{[21] [ page nécessaire ]}

Tout au long de sa scolarité, Kim a été impliqué dans la politique. Il a été actif au sein de l’Union coréenne des enfants et de la Ligue démocratique de la jeunesse de Corée du Nord (DYL), participant à des groupes d’étude sur la théorie politique marxiste et d’autres littératures. En septembre 1957, il devient vice-président de la branche DYL de son collège (le président doit être enseignant). Il a poursuivi un programme d’anti-factionnalisme et a tenté d’encourager une plus grande éducation idéologique parmi ses camarades de classe. ^[22]

On dit aussi que Kim a reçu l’éducation de langue anglaise à Malte au début des années 1970 ^{[23] [24]} sur ses vacances peu fréquentes là comme un invité de Premier ministre Dom Mintoff . ^[25]

L’aîné Kim s’était entre-temps remarié et avait eu un autre fils, Kim Pyong-il . Depuis 1988, Kim Pyong-il a servi dans une série d’ambassades nord-coréennes en Europe et a été l’ambassadeur nord-coréen en Pologne . Des commentateurs étrangers soupçonnent Kim Pyong-il d’avoir été envoyé dans ces postes lointains par son père afin d’éviter une lutte de pouvoir entre ses deux fils. ^[26]

Héritier présomptif

Cette section a besoin de citations supplémentaires pour vérification . ( juillet 2021 ) Please help improve this article by adding citations to reliable sources. Unsourced material may be challenged and removed. (Learn how and when to remove this template message)

Au moment du sixième congrès du parti en octobre 1980, le contrôle de Kim sur le fonctionnement du parti était complet. Il s’est vu confier des postes importants au Présidium , à la Commission militaire et au Secrétariat du parti . Selon sa biographie officielle, le Comité central du WPK l’avait déjà nommé successeur de Kim Il-sung en février 1974. Lorsqu’il a été nommé membre de la septième Assemblée populaire suprême en février 1982, les observateurs internationaux l’ont considéré comme l’ héritier présomptif de la Corée du Nord . . Avant 1980, il n’avait aucun profil public et n’était appelé que le «centre du parti». ^[27] À cette époque, Kim a pris le titre de “Cher chef” ( coréen : 친애하는 지도자 ; MR : ch’inaehanŭn jidoja ), ^[28] le gouvernement a commencé à construire autour de lui un Culte de la personnalité calqué sur celui de son père, le “Grand Leader”. Kim a été régulièrement salué par les médias comme le “leader intrépide” et “le grand successeur de la cause révolutionnaire”. Il est devenu la figure la plus puissante derrière son père en Corée du Nord.

Dans les années 1980, la Corée du Nord a commencé à connaître une grave stagnation économique. La politique de Juche (autosuffisance) de Kim Il-sung a coupé le pays de presque tout commerce extérieur, même avec ses partenaires traditionnels, l’Union soviétique et la Chine. La Corée du Sud a accusé Kim d’avoir ordonné l’ attentat à la bombe de 1983 à Rangoon , en Birmanie, qui a tué 17 responsables sud-coréens en visite, dont quatre membres du cabinet, et un autre en 1987 qui a tué les 115 personnes à bord du vol 858 de Korean Air . ^[29] Un agent nord-coréen, Kim Hyon-hui , a avoué avoir posé une bombe dans le cas du second, affirmant que l’opération avait été ordonnée par Kim personnellement. ^[30]

Le 24 décembre 1991, Kim a également été nommé Commandant suprême de l’armée populaire coréenne . ^[31] Le ministre de la Défense Oh Jin-wu , l’un des subordonnés les plus fidèles de Kim Il-sung, a organisé l’acceptation de Kim par l’armée en tant que prochain chef de la Corée du Nord, malgré son manque de service militaire. Le seul autre candidat possible à la direction, le Premier ministre Kim Il (aucun lien de parenté), a été démis de ses fonctions en 1976. En 1992, Kim Il-sung a déclaré publiquement que son fils était en charge de toutes les affaires intérieures de la République populaire démocratique.

En 1992, les émissions de radio ont commencé à se référer à lui comme le “Cher Père”, au lieu du “Cher Leader”, suggérant une promotion. Son 50e anniversaire en février a été l’occasion de célébrations massives, dépassées seulement par celles du 80e Anniversaire de Kim Il-sung lui-même le 15 avril de la même année.

En 1992, Kim a prononcé son premier discours public lors d’un défilé militaire pour le 60e anniversaire de la KPA et a déclaré: ^[32] “Gloire aux officiers et aux soldats de l’héroïque armée populaire coréenne!”. ^[33] Ces mots ont été suivis d’un tonnerre d’applaudissements de la part de la foule sur la place Kim Il-sung de Pyongyang où le défilé a eu lieu.

Kim a été nommé Président de la commission de la défense nationale le 9 avril 1993, faisant de lui le commandant au jour le jour des forces armées. ^[34]

Selon le transfuge Hwang Jang-yop , le système gouvernemental nord-coréen est devenu encore plus centralisé et Autocratique dans les années 1980 et 1990 sous Kim qu’il ne l’avait été sous son père. Dans un exemple expliqué par Hwang, bien que Kim Il-sung ait exigé que ses ministres lui soient loyaux, il a néanmoins et fréquemment sollicité leur avis lors de la prise de décision. En revanche, Kim Jong-il exigeait une obéissance et un accord absolus de la part de ses ministres et des responsables du parti, sans conseil ni compromis, et il considérait tout léger écart par rapport à sa pensée comme un signe de déloyauté. Selon Hwang, Kim Jong-il a personnellement dirigé même des détails mineurs des affaires de l’État, tels que la taille des maisons des secrétaires du parti et la livraison de cadeaux à ses subordonnés. ^[35]

Portrait idéalisé de Kim Jong-il

Chef de la Corée du Nord

Les Nord-Coréens s’inclinant devant les statues de Kim Jong-il et de son père, Kim Il-sung , au Mansu Hill Grand Monument

Le 8 juillet 1994, Kim Il-sung est décédé à l’âge de 82 ans d’une crise cardiaque. ^[36] Kim Jong-il avait été le successeur désigné de son père dès 1974, ^[37] nommé commandant en chef en 1991, ^[38] et est devenu le chef suprême à la mort de son père. ^[39]

Il a officiellement repris l’ancien poste de son père en tant que secrétaire général du Parti des travailleurs de Corée le 8 octobre 1997. ^[40] En 1998, il a été réélu Président de la commission de la défense nationale et un amendement constitutionnel a déclaré ce poste à être “le poste le plus élevé de l’État”. ^[41] Toujours en 1998, l’ Assemblée populaire suprême a retiré le poste de président de la constitution et a désigné Kim Il-sung comme le « président éternel » du pays afin d’honorer sa mémoire pour toujours. ^[42]

Officiellement, Kim faisait partie d’un triumvirat à la tête de la branche exécutive du gouvernement nord-coréen avec le premier ministre Choe Yong-rim et le président du parlement Kim Yong-nam (sans lien de parenté). Kim commandait les forces armées, Choe Yong-rim dirigeait le gouvernement et s’occupait des affaires intérieures et Kim Yong-nam s’occupait des relations extérieures. Cependant, dans la pratique, Kim, comme son père avant lui, exerçait un contrôle absolu sur le gouvernement et le pays. Bien qu’il ne soit pas tenu de se présenter aux élections populaires à ses postes clés, il a été élu à l’unanimité à l’Assemblée populaire suprême tous les cinq ans, représentant une circonscription militaire, en raison de ses capacités simultanées de commandant suprême du KPA et de président du NDC. ^[43]

Politiques économiques

Kim avait la “réputation d’être presque comiquement incompétent en matière de gestion économique”. ^[44] L’ économie de la Corée du Nord a connu des difficultés tout au long des années 1990, principalement en raison d’une mauvaise gestion. De plus, la Corée du Nord a connu de graves inondations au milieu des années 1990, exacerbées par une mauvaise gestion des terres. ^{[45] [46] [47]} Ceci, aggravé par le fait que seulement 18% de la Corée du Nord est constituée de terres arables ^[48] et l’incapacité du pays à importer les biens nécessaires au maintien de l’industrie, ^[49] a conduit à une grave famine et laissé la Corée du Nord économiquement dévastée. Face à un pays en décadence, Kim a adopté une politique “Militaire d’abord”renforcer le pays et renforcer le régime. ^[50] À l’échelle nationale, le ministère japonais des Affaires étrangères reconnaît que cela s’est traduit par un taux de croissance positif pour le pays depuis 1996, avec la mise en place de « pratiques économiques de marché de type socialiste historique » en 2002, maintenant le Nord à flot malgré une dépendance continue vis-à-vis de l’aide étrangère pour l’alimentation. ^[51]

À la suite de la dévastation des années 1990, le gouvernement a commencé à approuver officiellement certaines activités de troc et de commerce à petite échelle. Comme l’observe Daniel Sneider, directeur associé de la recherche au Centre de recherche Asie-Pacifique de l’université de Stanford , ce flirt avec le capitalisme était “assez limité, mais – surtout par rapport au passé – il existe désormais des marchés remarquables qui créent l’apparence d’un marché libre”. système”. ^[52]

En 2002, Kim a déclaré que “l’argent devrait être capable de mesurer la valeur de toutes les marchandises”. ^[53] Ces gestes vers la réforme économique reflètent des actions similaires prises par le Chinois Deng Xiaoping à la fin des années 80 et au début des années 90. Lors d’une rare visite en 2006, Kim a exprimé son admiration pour le progrès économique rapide de la Chine. ^[54]

Une dévaluation infructueuse du won nord-coréen en 2009, initiée ou approuvée par Kim personnellement, ^[44] a provoqué un bref chaos économique et a révélé la vulnérabilité du tissu sociétal du pays face à la crise. ^[55]

Relations étrangères

Kim s’entretient avec le président russe Vladimir Poutine lors de leur réunion de 2001 à Moscou

Kim était connu comme un diplomate habile et manipulateur. ^[44] En 1998, le président sud-coréen Kim Dae-jung a mis en place la « Sunshine Policy » pour améliorer les relations Nord-Sud et permettre aux entreprises sud-coréennes de démarrer des projets dans le Nord. Kim a annoncé son intention d’importer et de développer de nouvelles technologies pour développer l’industrie logicielle naissante de la Corée du Nord. À la suite de la nouvelle politique, le Parc industriel de Kaesong a été construit en 2003 juste au nord de la zone démilitarisée . ^[56]

Kim Ok , secrétaire personnel de Kim, avec le secrétaire américain à la Défense William Cohen , 2000

En 1994, la Corée du Nord et les États-Unis ont signé un accord-cadre conçu pour geler et éventuellement démanteler le programme d’armes nucléaires du Nord en échange d’une aide à la production de deux réacteurs nucléaires générateurs d’électricité et de l’assurance qu’il ne serait plus envahi. En 2000, après une rencontre avec Madeleine Albright , il accepte un moratoire sur la construction de missiles. ^{[57] [58]} En 2002, le gouvernement de Kim a admis avoir produit des armes nucléaires depuis l’accord de 1994. Le régime de Kim a fait valoir que la production secrète était nécessaire à des fins de sécurité – citant la présence d’armes nucléaires appartenant aux États-Unis en Corée du Sud et les nouvelles tensions avec les États-Unis sous le présidentGeorge W. Bush . ^[59] Le 9 octobre 2006, l’agence de presse centrale coréenne de Corée du Nord a annoncé qu’elle avait mené avec succès un essai nucléaire souterrain . ^[60]

Culte de la personnalité

Un isoloir nord-coréen contenant des portraits de Kim Il-sung et Kim Jong-il sous le drapeau national (sous les portraits se trouve l’urne)

Kim était au centre d’un Culte de la personnalité élaboré hérité de son père et fondateur de la RPDC, Kim Il-sung. Kim Jong-il était souvent au centre de l’attention tout au long de la vie ordinaire en RPDC. Le jour de son 60e anniversaire (sur la base de sa date de naissance officielle), des célébrations de masse ont eu lieu dans tout le pays à l’occasion de son Hwangap . ^[61] En 2010, les médias nord-coréens ont rapporté que les vêtements distinctifs de Kim avaient défini les tendances de la mode mondiale. ^[62]

Le point de vue dominant est que l’adhésion du peuple au Culte de la personnalité de Kim était uniquement par respect pour Kim Il-sung ou par peur d’être puni pour ne pas avoir rendu hommage. ^[63] Les médias et les sources gouvernementales de l’extérieur de la Corée du Nord soutiennent généralement ce point de vue, ^{[64] [65] [66] [67] [68]} tandis que les sources gouvernementales nord-coréennes affirment qu’il s’agissait d’un véritable culte du héros. ^[69] La chanson ” No Motherland Without You “, chantée par le KPA State Merited Choir, a été créée spécialement pour Kim en 1992 et est fréquemment diffusée à la radio et par des haut-parleurs dans les rues de Pyongyang. ^[70]

Dossier des droits de l’homme

Selon un rapport de Human Rights Watch de 2004 , le gouvernement nord-coréen sous Kim était “l’un des gouvernements les plus répressifs au monde”, comptant jusqu’à 200 000 prisonniers politiques selon des responsables américains et sud-coréens, sans liberté de presse ni de religion, d’opposition politique ou une éducation égale : « Pratiquement tous les aspects de la vie politique, sociale et économique sont contrôlés par le gouvernement. » ^[71]

Le gouvernement de Kim a été accusé de ” crimes contre l’humanité ” pour sa culpabilité présumée dans la création et la prolongation de la famine des années 1990 . ^{[45] [46] [72]} Human Rights Watch l’a qualifié de dictateur et l’a accusé de violations des droits de l’homme . ^[73] Amnesty International l’ a condamné pour avoir laissé « des millions de Nord-Coréens embourbés dans la pauvreté » et détenu des centaines de milliers de personnes dans des camps de prisonniers. ^[74]

Kim Jong-il a affirmé que le baromètre permettant de distinguer si une personne peut être considérée comme un membre de la société nord-coréenne et donc avoir droit à des droits “ne repose pas sur la base de sa classe sociale mais sur la base de son idéologie”. ^[75]

Santé et rumeurs de déclin du pouvoir

rapports 2008

Dans un numéro d’août 2008 de l’hebdomadaire japonais Shūkan Gendai , Toshimitsu Shigemura, professeur à l’Université de Waseda , une autorité de la péninsule coréenne , ^[76] a affirmé que Kim était mort du diabète à la fin de 2003 et avait été remplacé lors d’apparitions publiques par un ou plusieurs stand- ins précédemment employé pour le protéger des tentatives d’assassinat. ^[77] Dans un best-seller ultérieur, The True Character of Kim Jong-il, Shigemura a cité des personnes apparemment anonymes proches de la famille de Kim ainsi que des sources de renseignement japonaises et sud-coréennes, affirmant qu’ils avaient confirmé que le diabète de Kim s’était aggravé au début de 2000 et qu’à partir de là jusqu’à sa mort supposée trois ans et demi plus tard, il utilisait un fauteuil roulant. Shigemura a en outre affirmé qu’une analyse de l’empreinte vocale de Kim parlant en 2004 ne correspondait pas à un enregistrement antérieur connu. Il a également été noté que Kim n’était pas apparu en public pour le relais de la flamme olympique à Pyongyang le 28 avril 2008. La question aurait “déconcerté les agences de renseignement étrangères pendant des années”. ^[78]

Le 9 septembre 2008, diverses sources ont rapporté qu’après qu’il ne s’était pas présenté ce jour-là pour un défilé militaire célébrant le 60e anniversaire de la Corée du Nord, les agences de renseignement américaines pensaient que Kim pourrait être “gravement malade” après avoir subi un accident vasculaire cérébral. Il avait été vu pour la dernière fois en public un mois plus tôt. ^[79]

Un ancien responsable de la CIA a déclaré que les rapports antérieurs sur une crise sanitaire étaient probablement exacts. Les médias nord-coréens sont restés silencieux sur la question. Un rapport de l’Associated Press a déclaré que les analystes pensaient que Kim avait soutenu les modérés au ministère des Affaires étrangères, tandis que la puissante armée nord-coréenne était contre les soi-disant négociations à six avec la Chine, le Japon, la Russie, la Corée du Sud et les États-Unis visant à débarrasser La Corée du Nord des armes nucléaires. Certains responsables américains ont noté que peu de temps après que des rumeurs sur la santé de Kim aient été rendues publiques un mois auparavant, la Corée du Nord avait adopté une “ligne plus dure dans les négociations nucléaires”. Fin août, l’agence de presse officielle de la Corée du Nord a annoncé que le gouvernement “à leur état d’origine, comme l’ont fortement demandé ses institutions compétentes”. Les analystes ont déclaré que cela signifiait que “l’armée avait peut-être pris le dessus et que Kim n’exerçait peut-être plus l’autorité absolue”. Le 10 septembre, il y avait des rapports contradictoires. Des responsables gouvernementaux ont déclaré que Kim avait subi une intervention chirurgicale après avoir subi un accident vasculaire cérébral mineur et avait apparemment “l’intention d’assister à l’événement du 9 septembre dans l’après-midi, mais a décidé de ne pas le faire en raison des conséquences de l’opération” . “Alors que nous voulions célébrer le 60e anniversaire du pays avec le secrétaire général Kim Jong-Il, nous avons célébré nous-mêmes”, a déclaré Song Il-Ho, l’ambassadeur de Corée du Nord : “Nous considérons ces rapports non seulement comme sans valeur, maismais plutôt comme un complot”.Le journal Chosun Ilbo a rapporté que “l’ambassade de Corée du Sud à Pékin avait reçu un rapport de renseignement selon lequel Kim s’était effondré le 22 août”. ^[80] Le New York Times a rapporté le 9 septembre que Kim était “très malade et avait très probablement subi un accident vasculaire cérébral il y a quelques semaines, mais les services de renseignement américains ne pensent pas que sa mort soit imminente”. ^[81] La BBC a noté que le gouvernement nord-coréen a nié ces informations, déclarant que les problèmes de santé de Kim n’étaient “pas assez graves pour menacer sa vie”, ^{[82] [83]} bien qu’ils aient confirmé qu’il avait subi un accident vasculaire cérébral le 15 août. . ^[84]

Kim lors d’une réunion lors de sa visite avec Dmitri Medvedev en août 2011

L’agence japonaise Kyodo News a rapporté le 14 septembre que “Kim s’est effondré le 14 août en raison d’un accident vasculaire cérébral ou d’une hémorragie cérébrale , et que Pékin a dépêché cinq médecins militaires à la demande de Pyongyang. Kim aura besoin d’une longue période de repos et de rééducation avant d’être pleinement récupère et a de nouveau la maîtrise complète de ses membres, comme pour les victimes typiques d’un AVC”. Le Japonais Mainichi Shimbun a affirmé que Kim avait parfois perdu connaissance depuis avril. ^[85] Tokyo Shimbun du Japonle 15 septembre, a ajouté que Kim séjournait à la Bongwha State Guest House. Il était apparemment conscient “mais il a besoin de temps pour se remettre de son récent accident vasculaire cérébral, certaines parties de ses mains et de ses pieds étant paralysées”. Il a cité des sources chinoises qui ont affirmé que l’une des causes de l’attaque aurait pu être le stress provoqué par le retard des États-Unis à retirer la Corée du Nord de sa liste d’États parrainant le terrorisme. ^[86]

Le 19 octobre, la Corée du Nord aurait ordonné à ses diplomates de rester près de leurs ambassades pour attendre “un message important”, selon le Japonais Yomiuri Shimbun , déclenchant de nouvelles spéculations sur la santé du dirigeant malade. ^[87]

Le 29 octobre 2008, des rapports indiquaient que Kim avait subi un grave revers et avait été ramené à l’hôpital. ^[88] Le New York Times a rapporté que le Premier ministre japonais Taro Aso , le 28 octobre 2008, a déclaré lors d’une session parlementaire que Kim avait été hospitalisé : « Son état n’est pas si bon. Cependant, je ne pense pas qu’il soit totalement incapable de prendre des décisions”. Aso a en outre déclaré qu’un neurochirurgien français était à bord d’un avion pour Pékin, en route vers la Corée du Nord. En outre, Kim Sung-ho, directeur du Service national de renseignement sud-coréen, a déclaré aux législateurs lors d’une session parlementaire à huis clos à Séoul que “Kim semblait se rétablir assez rapidement pour commencer à s’acquitter de ses tâches quotidiennes”. Le journal Dong-a Ilbo a rapporté “un grave problème” avec la santé de Kim. Le réseau japonais Fuji Television a rapporté que le fils aîné de Kim, Kim Jong-nam , s’était rendu à Paris pour engager un neurochirurgien pour son père et avait montré des images où le chirurgien avait embarqué sur le vol CA121 à destination de Pyongyang depuis Pékin le 24 octobre. L’hebdomadaire français Le Point l’a identifié comme étant François-Xavier Roux, directeur de neurochirurgie de l’hôpital Sainte-Anne de Paris, mais Roux lui-même a déclaré qu’il était à Pékin depuis plusieurs jours et non en Corée du Nord. ^[90] Le 19 décembre 2011, Roux a confirmé que Kim avait subi un accident vasculaire cérébral débilitant en 2008 et avait été soigné par lui-même et d’autres médecins français à Pyongyang .l’hôpital de la Croix-Rouge. Roux a déclaré que Kim avait subi peu d’effets durables. ^[91]

Le 5 novembre 2008, l’agence de presse centrale nord-coréenne a publié 2 photos montrant Kim posant avec des dizaines de soldats de l’armée populaire coréenne (KPA) lors d’une visite à l’unité militaire 2200 et à la sous-unité de l’unité 534. Montré avec sa coiffure bouffante habituelle, avec ses lunettes de soleil emblématiques et une parka d’hiver blanche, Kim se tenait devant des arbres au feuillage d’automne et une bannière rouge et blanche. ^{[92] [93] [94] [95]} Le Times a mis en doute l’authenticité d’au moins une de ces photos. ^[96]

En novembre 2008, la chaîne de télévision japonaise TBS a rapporté que Kim avait subi un deuxième accident vasculaire cérébral en octobre, qui “affectait le mouvement de son bras et de sa jambe gauches ainsi que sa capacité à parler”. ^[97] Cependant, l’agence de renseignement sud-coréenne a rejeté ce rapport. ^[97]

En réponse aux rumeurs concernant la santé de Kim et sa prétendue perte de pouvoir, en avril 2009, la Corée du Nord a publié une vidéo montrant Kim visitant des usines et d’autres endroits du pays entre novembre et décembre 2008. ^[98] En 2010, des documents publiés par WikiLeaks prétendaient attesté que Kim souffrait d’ épilepsie . ^[99]

Selon The Daily Telegraph , Kim était un grand fumeur . ^[100]

Portraits de Kim Jong-il et de son père au Grand People’s Study House de Pyongyang

Successeur

Les trois fils de Kim et son beau-frère, ainsi que O Kuk-ryol , un général de l’armée, avaient été notés comme successeurs possibles, mais le gouvernement nord-coréen avait pendant un certain temps été totalement silencieux à ce sujet. ^[101]

Kim Yong Hyun, expert politique à l’Institut des études nord-coréennes de l’Université Dongguk de Séoul , a déclaré en 2007 : “Même l’establishment nord-coréen ne préconiserait pas la continuation de la dynastie familiale à ce stade”. ^[102] Le fils aîné de Kim, Kim Jong-nam , était auparavant considéré comme l’héritier désigné, mais il semble être tombé en disgrâce après avoir été arrêté à l’aéroport international de Narita près de Tokyo en 2001, où il a été surpris en train de tenter d’entrer au Japon avec un faux passeport . pour visiter Tokyo Disneyland . ^[103]

Le 2 juin 2009, il a été signalé que le plus jeune fils de Kim, Kim Jong-un , devait être le prochain dirigeant de la Corée du Nord. ^[104] Comme son père et son grand-père, il a également reçu un sobriquet officiel , The Brilliant Comrade. ^[105] Avant sa mort, il avait été rapporté que Kim devait officiellement désigner le fils comme son successeur en 2012. ^[106]

Réélection en tant que chef

Le 9 avril 2009, Kim a été réélu Président de la commission de la défense nationale ^[107] et a fait une apparition à l’Assemblée populaire suprême. C’était la première fois que Kim était vu en public depuis août 2008. Il a été réélu à l’unanimité et a reçu une ovation debout. ^[108]

Le 28 septembre 2010, Kim a été réélu secrétaire général du Parti des travailleurs de Corée. ^[109]

Visites à l’étranger 2010 et 2011

Kim avec le président russe Dmitri Medvedev dans la garnison militaire de Sosnovy-Bor , district de Zaigrayevsky Buriatya le 24 août 2011

Kim aurait visité la République populaire de Chine en mai 2010. Il est entré dans le pays par son train personnel le 3 mai et a séjourné dans un hôtel à Dalian . ^[110] En mai 2010, le secrétaire d’État américain adjoint aux affaires de l’Asie de l’Est et du Pacifique, Kurt Campbell , a déclaré aux responsables sud-coréens que Kim n’avait plus que trois ans à vivre, selon les informations médicales qui avaient été compilées. ^[111] Kim s’est de nouveau rendu en Chine en août 2010, cette fois avec son fils, alimentant les spéculations à l’époque selon lesquelles il était prêt à céder le pouvoir à son fils, Kim Jong-un . ^[112]

Il est de nouveau retourné en Chine en mai 2011, marquant le 50e anniversaire de la signature du Traité d’amitié, de coopération et d’assistance mutuelle entre la Chine et la RPDC. ^[113] Fin août 2011, il s’est rendu en train dans l’Extrême-Orient russe pour rencontrer le président Dmitri Medvedev pour des entretiens non précisés. ^[114]

Fin 2011

Il y avait des spéculations selon lesquelles les visites de Kim à l’étranger en 2010 et 2011 étaient un signe de l’amélioration de sa santé et un éventuel ralentissement de la succession pourrait s’ensuivre. Après la visite en Russie, Kim a participé à un défilé militaire à Pyongyang le 9 septembre, accompagné de Kim Jong-un. ^[115]

La mort

Un portrait officiel de Kim, publié après sa mort

Il a été rapporté que Kim était décédé d’une crise cardiaque présumée le 17 décembre 2011 à 8 h 30 alors qu’il voyageait en train vers une zone à l’extérieur de Pyongyang . ^{[116] [117]} Il a été rapporté en décembre 2012, cependant, qu’il était mort “dans un accès de rage” suite à des défauts de construction dans un projet de centrale électrique crucial à Huichon dans la province de Jagang. ^[118] Il a été remplacé par son plus jeune fils Kim Jong-un , qui a été salué par l’agence de presse centrale coréenne comme le “grand successeur”. ^{[119] [120] [121]} Selon l’agence de presse centrale coréenne (KCNA), lors de sa mort, une violente tempête de neige “s’est arrêtée” et “Le mont Paektu ” et la glace d’un lac célèbre ont également craqué si fort qu’il a semblé ” secouer les cieux et la terre “. ^[122]

Les funérailles de Kim ont eu lieu le 28 décembre à Pyongyang, avec une période de deuil qui a duré jusqu’au lendemain. L’armée sud-coréenne a été immédiatement mise en alerte après l’annonce et son Conseil de sécurité nationale s’est réuni pour une réunion d’urgence, craignant que les manœuvres politiques en Corée du Nord ne déstabilisent la région. Les marchés boursiers asiatiques ont chuté peu après l’annonce, en raison de préoccupations similaires. ^[116]

Le 12 janvier 2012, la Corée du Nord a qualifié Kim de “leader éternel” et a annoncé que son corps serait conservé et exposé au palais commémoratif de Kumsusan à Pyongyang . Les responsables ont également annoncé leur intention d’installer des statues, des portraits et des “tours à son immortalité” à travers le pays. ^{[123] [124]} Son anniversaire du 16 février a été déclaré “la plus grande fête de bon augure de la nation” et a été appelé le Jour de l’Étoile Brillante. ^[125]

En février 2012, à l’occasion de ce qui aurait été son 71e anniversaire, Kim a été nommé à titre posthume Dae Wonsu (généralement traduit par généralissime , littéralement Grand Maréchal ), le plus haut grade militaire du pays. Il avait été nommé Wonsu (maréchal) en 1992 lorsque le fondateur nord-coréen Kim Il-sung a été promu Dae Wonsu. ^[126] Toujours en février 2012, le gouvernement nord-coréen a créé l’ Ordre de Kim Jong-il en son honneur et l’a décerné à 132 personnes pour leurs services dans la construction d’une «nation socialiste prospère» et pour l’augmentation des capacités de défense. ^[127]

Vie privée

Famille

Kim Jong-il et son père Kim Il-sung

Aucune information officielle n’est disponible sur l’histoire conjugale de Kim Jong-il, mais on pense qu’il s’est officiellement marié deux fois et qu’il a eu trois maîtresses . ^[128] Il avait trois fils connus : Kim Jong-nam , Kim Jong-chul et Kim Jong-un . Ses deux filles connues sont Kim Sol-song et Kim Yo-jong . ^{[1] [129]}

La première épouse de Kim, Hong Il-chon , était la fille d’un martyr mort pendant la guerre de Corée . Elle a été triée sur le volet par son père et mariée avec lui en 1966. Ils ont une fille appelée Kim Hye-kyung , ^[130] qui est née en 1968. Bientôt, ils ont divorcé en 1969.

La première maîtresse de Kim, Song Hye-rim , était une star des films nord-coréens. Elle était déjà mariée à un autre homme et avait un enfant quand ils se sont rencontrés. ^[131] Kim aurait forcé son mari à divorcer. Cette relation, qui a commencé en 1970, n’a pas été officiellement reconnue. Ils ont eu un fils, Kim Jong-nam (1971-2017), qui était le fils aîné de Kim Jong-il. Kim a gardé à la fois la relation et l’enfant secrets (même de son père) jusqu’à ce qu’il accède au pouvoir en 1994. ^{[131] [132]} Cependant, après des années d’éloignement, Song serait décédé à Moscou à l’ hôpital clinique central. en 2002. ^[133]

L’épouse officielle de Kim, Kim Young-sook , était la fille d’un officier militaire de haut rang. Son père Kim Il-Sung l’a choisie pour épouser son fils. ^[128] Les deux ont été séparés pendant quelques années avant la mort de Kim. Kim a eu une fille de ce mariage, Kim Sol-song (née en 1974). ^[129]

Sa deuxième maîtresse, Ko Yong-hui , était une coréenne d’origine japonaise et une danseuse. Elle avait repris le rôle de Première Dame jusqu’à sa mort – apparemment d’un cancer – en 2004. Ils eurent deux fils, Kim Jong-chul (en 1981) et Kim Jong-un, également “Jong Woon” ou “Jong Woong” ( en 1983). ^{[132] [134]} Ils ont également eu une fille, Kim Yo-jong, qui avait environ 23 ans en 2012. ^{[1] [135]}

Après la mort de Ko, Kim a vécu avec Kim Ok , sa troisième maîtresse, qui était sa secrétaire personnelle depuis les années 1980. Elle “a pratiquement agi en tant que première dame de Corée du Nord” et a fréquemment accompagné Kim lors de ses visites dans des bases militaires et lors de réunions avec des dignitaires étrangers en visite. Elle a voyagé avec Kim lors d’un voyage secret en Chine en janvier 2006, où elle a été reçue par des responsables chinois en tant qu’épouse de Kim. ^[136]

Selon Michael Breen, auteur du livre Kim Jong Il: North Korea’s Dear Leader , les femmes intimement liées à Kim n’ont jamais acquis de pouvoir ou d’influence de conséquence. Comme il l’explique, leurs rôles se limitaient à celui de la romance et de la domesticité. ^[137]

Il avait une sœur cadette, Kim Kyong-hui . Elle était mariée à Jang Sung-taek , qui a été exécuté en décembre 2013 à Pyongyang , après avoir été accusé de trahison et de corruption. ^[138]

Personnalité

Kim en 2000

Comme son père, Kim avait peur de voler ^[139] et voyageait toujours en train blindé privé pour des visites d’État en Russie et en Chine. ^[140] La BBC a rapporté que Konstantin Pulikovsky , un émissaire russe qui a voyagé avec Kim à travers la Russie en train, a déclaré aux journalistes que Kim faisait transporter des homards vivants par avion tous les jours et les mangeait avec des baguettes en argent. ^[141]

On disait que Kim était un grand fan de cinéma, possédant une collection de plus de 20 000 cassettes vidéo et DVD . ^{[142] [143]} Ses franchises de films préférées signalées comprenaient James Bond , Friday the 13th , Rambo , Godzilla , Otoko wa Tsurai yo et Hong Kong action cinema , ^{[144] [145]} avec Sean Connery et Elizabeth Taylor ses hommes et femmes préférés acteurs. ^{[144] [146]} Kim aurait également été fan des comédies d’Ealing, inspirés par l’accent mis sur l’esprit d’équipe et un prolétariat mobilisé. ^[147] Il est l’auteur de Sur l’art du cinéma . En 1978, sur les ordres de Kim, le réalisateur sud-coréen Shin Sang-ok et sa femme actrice Choi Eun-hee ont été kidnappés afin de construire une industrie cinématographique nord-coréenne. ^[148] En 2006, il a participé à la production du film The Schoolgirl’s Diary basé sur le Juche , qui dépeignait la vie d’une jeune fille dont les parents sont des scientifiques, avec un reportage de KCNA déclarant que Kim “a amélioré son scénario et a guidé son production”. ^[149]

Bien que Kim ait apprécié de nombreuses formes de divertissement étrangères, selon l’ancien garde du corps Lee Young Kuk , il a refusé de consommer des aliments ou des boissons non produits en Corée du Nord, à l’exception du vin de France. ^[150] Son ancien chef Kenji Fujimoto , cependant, a déclaré que Kim l’envoyait parfois dans le monde entier pour acheter une variété de spécialités étrangères . ^[151]

Kim aurait aimé le basket. L’ancienne secrétaire d’État américaine Madeleine Albright a terminé son sommet avec Kim en lui remettant un ballon de basket signé par la légende de la NBA Michael Jordan . ^[152] Sa biographie officielle affirme également que Kim a composé six opéras et a aimé mettre en scène des comédies musicales élaborées . ^[153]

Kim Jong-il et son père Kim Il-sung

L’envoyé spécial des États-Unis pour les pourparlers de paix coréens, Charles Kartman, qui a participé au sommet de Madeleine Albright en 2000 avec Kim, a qualifié Kim d’homme raisonnable dans les négociations, au point, mais avec un sens de l’humour et personnellement attentif au peuple. il hébergeait. ^[154] Cependant, les évaluations psychologiques concluent que les caractéristiques antisociales de Kim , telles que son intrépidité face aux sanctions et aux châtiments, ont rendu les négociations extrêmement difficiles. ^[155]

Le domaine de la psychologie a longtemps été fasciné par l’évaluation de la personnalité des dictateurs, une notion qui a abouti à une évaluation approfondie de la personnalité de Kim. Le rapport, compilé par Frederick L. Coolidge et Daniel L. Segal (avec l’aide d’un psychiatre sud-coréen considéré comme un expert du comportement de Kim), a conclu que le “big six” groupe de troubles de la personnalité partagé par les dictateurs Adolf Hitler , Joseph Staline et Saddam Hussein ( sadique , paranoïaque , antisocial , narcissique , schizoïde et schizotypique ) étaient également partagés par Kim – coïncidant principalement avec le profil de Saddam Hussein.^[156]

L’évaluation a révélé que Kim semblait être fier de l’indépendance de la Corée du Nord, malgré les difficultés extrêmes qu’elle semble imposer au peuple nord-coréen – un attribut semblant émaner de son modèle de personnalité antisociale. ^[155]

Les transfuges ont affirmé que Kim possédait 17 palais et résidences différents dans toute la Corée du Nord, dont un complexe privé près de la montagne Baekdu , un pavillon en bord de mer dans la ville de Wonsan et la résidence Ryongsong , un complexe de palais au nord-est de Pyongyang entouré de plusieurs clôtures, bunkers et batteries anti-aériennes. ^[157]

Finances

Selon un rapport de 2010 du Sunday Telegraph , Kim avait 4 milliards de dollars américains en dépôt dans des banques européennes au cas où il aurait besoin de fuir la Corée du Nord. Le Sunday Telegraph a rapporté que la majeure partie de l’argent se trouvait dans des banques au Luxembourg . ^[158]

Titres officiels

Kim a reçu de nombreux titres pendant son règne. En avril 2009, la Constitution de la Corée du Nord a été amendée pour le désigner, ainsi que ses successeurs, comme le “chef suprême de la RPDC”. ^[159]

Statues équestres de versions plus jeunes de Kim Jong-il (à droite) et Kim Il-sung, Pyongyang

• Centre du parti du WPK et membre du Comité central du WPK (années 1970) ^[160]
• Cher chef ( Chinaehaneun Jidoja ) (fin des années 1970 à 1994) ^[160]
• Membre, Présidium de l’Assemblée populaire suprême de la RPDC
• Secrétaire, Comité central du Parti des travailleurs de Corée (1974–1997)
• Membre du Présidium , Comité central du WPK (1980-2011)
• Commandant suprême, Armée populaire coréenne (25 décembre 1991 – 17 décembre 2011) ^[31]
• Maréchal de la RPDC (1993-2011) ^[161]
• Président, Commission de la défense nationale (1993-2011) ^[34]
• Grand chef ( Widehan Ryongdoja ) (juillet 1994 – décembre 2011) ^[160]
• Secrétaire général, Parti des travailleurs de Corée (octobre 1997 – décembre 2011) ^[109]
• Président, Commission militaire centrale (RPDC) (octobre 1997 – décembre 2011)
• Eternal Leader (posthume) (janvier 2012 – présent) ^[123]
• Généralissime de la RPDC (posthume) (janvier 2012 – présent) ^[162]
• Secrétaire général éternel, Parti des travailleurs de Corée (posthume) (11 avril 2012 – présent) ^[163]
• Président éternel de la Commission de la défense nationale (posthume) (13 avril 2012 – présent) ^[164]
• Chef éternel du Parti des travailleurs de Corée (posthume) (7 mai 2016 – présent) ^[165]
• Chef éternel du Juche Corée (posthume) (29 juin 2016 – présent) ^[166]

Ouvrages publiés

Livres écrits par Kim Jong-il

Selon des sources nord-coréennes, Kim a publié quelque 890 ouvrages au cours d’une période de sa carrière allant de juin 1964 à juin 1994. ^[167] Selon KCNA, le nombre d’ouvrages de 1964 à 2001 était de 550. ^[168] En 2000, il était a rapporté que la maison d’édition du Parti des travailleurs de Corée a publié au moins 120 œuvres de Kim. ^[169] En 2009, KCNA a mis les chiffres comme suit :

Au moins 354 000 exemplaires [des œuvres de Kim Jong-il] ont été traduits dans près de 70 langues et sont sortis des presses dans environ 80 pays au cours du nouveau siècle. Il y a eu plus de 500 activités d’étude et de diffusion des œuvres dans au moins 120 pays et régions en 2006. L’année suivante a vu un total de plus de 600 événements de formes diverses dans au moins 130 pays et régions. Et 2008 a vu au moins 3 000 fonctions tenues dans plus de 150 pays et régions dans le même but. ^[170]

The Selected Works of Kim Jong-il (Enlarged Edition) , dont la publication s’est poursuivie à titre posthume, se poursuit jusqu’au volume 24 en coréen ^[171] et jusqu’au volume 15 en anglais. ^[172] Les volumes trois à huit n’ont jamais été publiés en anglais. ^[173]

La collection complète des œuvres de Kim Jong-il est actuellement dans le volume 13. ^[174] Il existe une « maison d’exposition des œuvres de Kim Jong-il » dédiée à ses œuvres en Corée du Nord, contenant 1 100 de ses œuvres et manuscrits. ^[175]

Durant son adolescence et ses années universitaires, Kim avait écrit des poèmes. ^[176] Il a également écrit des paroles de chansons. ^[177] Son premier ouvrage littéraire majeur fut Sur l’art du cinéma en 1973. ^[178]

Voir également

• Portail de la Corée du Nord
• Portail politique

• Récompenses et décorations reçues par Kim Jong-il
• Politique de la Corée du Nord
• Résidences des dirigeants nord-coréens
• Jeongju Gim (Kim)

Remarques

1. ^ Les biographies nord-coréennes, qui revendiquent sa date de naissance le 16 février 1942, ne sont généralement pas considérées comme factuellement fiables.
2. ↑ Officiellement transcrit en Kim Jong Il par des sources nord-coréennes.
3. ↑ Le prénom Jong-il / Jong Il se prononce[tsɔŋ.il] isolément.
4. ↑ russe : Юрий Ирсенович Ким , prononciation russe : [ˈjʉrjɪj ɪrsɛˈnofit͡ɕ ˈkjim]
5. ↑ Des sources disent que Kim dirigeait la Corée du Nord comme unedictature totalitaire . ^{[3] [4] [5]}

Références

Citations

1. ^ ^{un bc} Lee Young-jong ^; Kim Hee-jin (8 août 2012). “La soeur de Kim Jong-un s’amuse” . Corée JoongAng Daily . Archivé de l’original le 11 août 2012 . Récupéré le 8 août 2012 .
2. ^ “Kim Jong-il”. Collins English Dictionary: Complete and Unabridged . Thefreedictionary.com (12e éd.). Éditeurs HarperCollins. 2014 . Récupéré le 22 mars 2021 – via The Free Dictionary .
3. ^ Scobell, André. (2006). Kim Jong Il et la Corée du Nord : le leader et le système . Institut d’études stratégiques. OCLC 66049956 .
4. ^ McEachern, Patrick (2010). À l’intérieur de la boîte rouge : la politique post-totalitaire de la Corée du Nord . Presse universitaire de Columbia. ISBN 978-0-231-15322-5. OCLC 747083533 .
5. ^ Je suis, Chae-ch’on (2011). Le leadership de Kim Jong Il en Corée du Nord . Routledge. ISBN 978-1-134-01711-9. OCLC 1100459946 .
6. ^ Chung, Byoung-sun (22 août 2002). “Sergeyevna se souvient de Kim Jong Il” . Le Chosun Ilbo . Archivé de l’original le 11 mars 2007 . Récupéré le 19 février 2007 .
   Feuilles, Lawrence (12 février 2004). “Une visite au lieu de naissance russe de Kim Jong Il” . NPR . Récupéré le 19 février 2007 .
7. ^ “Transcriptions” . CNN.com.
8. ^ “Kim Jong-Il, Kim Il-Sung – Dans l’entreprise familiale – Corée du Nord : Secrets et mensonges – Galerie de photos” . La vie . Récupéré le 19 décembre 2011 .
9. ^ “Profil : Kim Jong-il” . Nouvelles de la BBC . 16 janvier 2009 . Récupéré le 28 décembre 2011 .
10. ^ Christopher Richardson (2017), “Hagiographie des Kims et l’enfance des saints”, dans Adam Cathcart ; Robert Winstanley-Chesters; Christopher K. Green (eds.), Change and Continuity in North Korean Politics , Londres / New York : Routledge, p. 121, ISBN 9781134811045
11. ^ Lim Jae-cheon (2009), Kim Jong Il’s Leadership of North Korea (1 éd.), Londres: Routledge, pp. 9–10, ISBN 978-0-203-88472-0
12. ^ Corée et Affaires mondiales, Volume 27 . Centre de recherche pour la paix et l’unification. 2003. p. 246.
13. ^ Ness, Emmanuel; Faire face, Zak (29 avril 2016). L’Encyclopédie Palgrave de l’impérialisme et de l’anti-impérialisme . Springer. p. 112. ISBN 978-0-230-39278-6.
14. ^ Kim Jong Il: Brève histoire 1998 , p. 1.
15. ^ Breen 2012 , p. 45.
16. ^ “Entretien avec Lee Min”. Hankyoreh Shinmoun . Octobre 1999.
17. ^ “La Corée du Nord des Kims” . Temps d’Asie . 4 juin 2005. Archivé de l’original le 13 juin 2005 . Récupéré le 28 décembre 2011 . {{cite web}}: CS1 maint: unfit URL (link)
18. ^ Poste, Jerrold M.; Alexandre George (2004). Les dirigeants et leurs partisans dans un monde dangereux : la psychologie du comportement politique . Cornell University Press . p. 243–244 . ISBN 978-0-8014-4169-1.
19. ^ Kongdan Oh; Ralph C. Hassig (2004). La Corée du Nord à travers le miroir . Brookings Institution Press. p. 86. ISBN 978-0-8157-9820-0.
20. ^ Kim Jong Il: Brève histoire 1998 , pp. 5–6.
21. ^ Martin, Bradley K. (2004). Sous les soins affectueux du leader paternel , New York: St. Martin’s Press. ISBN 0-312-32221-6 .
22. ^ Kim Jong Il: Brève histoire 1998 , pp. 7–9.
23. ^ Ltd, Journaux alliés. “Le séjour secret du cher chef à Malte” . Temps de Malte . Récupéré le 4 avril 2019 .
24. ^ “Le mentor maltais improbable de Kim Jong Il et un accord militaire secret” . NK News – Nouvelles de la Corée du Nord. 11 juin 2014 . Récupéré le 4 avril 2019 .
25. ^ Preston, Peter (30 décembre 2002). “Kim est un bébé qui secoue les côtés d’un lit” . Le Gardien . Londres . Récupéré le 28 décembre 2011 .
26. ^ “Joyeux anniversaire, cher chef – qui est le prochain dans la file?” . Temps d’Asie . 14 février 2004. Archivé de l’original le 13 février 2004 . Récupéré le 28 décembre 2011 . {{cite web}}: CS1 maint: unfit URL (link)
27. ^ Buzo 2002 , p. 127.
28. ^ “Le cher leader de la Corée du Nord moins cher” , Fairfax Digital, 19 novembre 2004.
29. ^ “Corée du Nord : impasse nucléaire” , The Online NewsHour , PBS , 19 octobre 2006.
30. ^ Fausses cendres, très réelles sanctions nord-coréennes , Asia Times Online , 16 décembre 2004.
31. ^ ^{un b} “Kim Jong-un ‘commandant suprême’ ” . 24 décembre 2011 . Récupéré le 6 janvier 2020 .
32. ^ Jae-Cheon Lim (2008). Le leadership de Kim Jong-il en Corée du Nord . Routledge. p. 155. ISBN 978-1-134-01712-6. Récupéré le 21 juillet 2015 .
33. ^ Ian Jeffries (2012). Corée du Nord, 2009-2012 : Un guide des développements économiques et politiques . Routledge. p. 674.ISBN _ 978-1-135-11698-9. Récupéré le 21 juillet 2015 .
34. ^ ^{un b} “le 20ème Anniversaire d’Élection de Kim Jong Il comme le Président de NDC Commémoré” . nkleadershipwatch.wordpress.com . 8 avril 2014. Archivé de l’original le 20 février 2015 . Récupéré le 15 décembre 2014 .
35. ^ “Témoignage de Hwang Jang-yop” .
36. ^ Kleiner 2001 , p. 291.
37. ^ Lim 2015 , p. 90.
38. ^ Becker 2006 , p. 129.
39. ^ “La montée de Kim Jong Il – Preuve des archives est-allemandes” . www.wilsoncenter.org . Récupéré le 28 avril 2020 .
40. ^ Buzo 2002 , p. 175.
41. ^ Kleiner 2001 , p. 296.
42. ^ Kleiner 2001 , p. 274.
43. ^ “Le Secrétariat Personnel” . nkleadershipwatch.wordpress.com. 21 août 2010 . Récupéré le 19 avril 2013 .
44. ^ ^{un bc Lankov} 2014 , p. 130.
45. ^ ^{un b} Noland, Marcus (2004). “Famine et Réforme en Corée du Nord”. Documents économiques asiatiques . 3 (2): 1–40. CiteSeerX 10.1.1.6.8390 . doi : 10.1162/1535351044193411 . S2CID 57565869 .
46. ^ ^{un b} Haggard; Nolan; Sén (2009). Famine en Corée du Nord : marchés, aide et réforme . p. 209. ISBN 978-0-231-14001-0. Cette tragédie est le résultat d’une stratégie malavisée d’autosuffisance qui n’a fait qu’accroître la vulnérabilité du pays aux chocs tant économiques que naturels… La culpabilité de l’État dans cette vaste misère élève la famine nord-coréenne au rang de crime contre l’humanité.
47. ^ “Corée du Nord : Une terrible vérité” . L’Économiste . 17 avril 1997 . Récupéré le 24 septembre 2011 .
48. ^ “Agriculture de la Corée du Nord” , Division fédérale de la recherche de la Bibliothèque du Congrès. Récupéré le 11 mars 2007.
49. ^ “Autre industrie – Cibles nord-coréennes” Fédération des scientifiques américains, 15 juin 2000.
50. ^ Homer T. Hodge. “Stratégie militaire de la Corée du Nord” . Archivé de l’original le 9 juin 2007 . Récupéré le 5 juillet 2012 ., Paramètres , US Army War College Quarterly, 2003.
51. ^ “La politique militaire d’abord de Kim est une solution miracle” , Asia Times Online , 4 janvier 2007.
52. ^ “Expérience capitaliste de la Corée du Nord” Archivé le 16 février 2009 à la Wayback Machine , Council on Foreign Relations, 8 juin 2006.
53. ^ “Dans les rues de la Corée du Nord, les bus roses et mandarines” , The Christian Science Monitor , 2 juin 2005.
54. ^ “À l’intérieur de la Corée du Nord: un dialogue conjoint américano-chinois” , United States Institute of Peace, janvier 2007.
55. ^ Lankov 2014 , pp. 131–133.
56. ^ “Asan, KOLAND autorisé à développer le complexe Kaesong” , The Korea Times , 23 avril 2004. ^{[ lien mort permanent ]}
57. ^ “Histoire du” cadre convenu “et comment il a été brisé” , À propos de: US Gov Info/Resources, 12 mars 2007.
58. ^ “Des atomes pour Pyongyang” , Affaires étrangères, 14 juin 2017.
59. ^ “Motivation derrière la confession nucléaire de la Corée du Nord” , Plateforme GLOCOM, 28 octobre 2002.
60. ^ “La RPDC mène avec succès un essai nucléaire souterrain” . KCNA. 10 octobre 2006. Archivé de l’original le 26 octobre 2006 . Récupéré le 10 octobre 2006 .
61. ^ “La Corée du Nord marque l’anniversaire du leader” . BBC. 16 février 2002 . Récupéré le 18 décembre 2007 .
62. ^ “Le leader de N.Korea définit la tendance de la mode mondiale, selon Pyongyang” . L’Indépendant . 8 avril 2010 . Récupéré le 14 juillet 2014 .
63. ^ Mansourov, Alexandre. ” “Korean Monarch Kim Jong Il: Technocrat Ruler of the Hermit Kingdom Facing the Challenge of Modernity”, The Nautilus Institute” . Archivé de l’original le 16 août 2007. Récupéré le 18 décembre 2007 .
64. ^ Scanlon, Charles (16 février 2007). “L’accord sur le nucléaire alimente les célébrations de Kim” . BBC . Récupéré le 18 décembre 2007 .
65. ^ Coonan, Clifford (21 octobre 2006). “Kim Jong Il, le tyran passionné par le vin, les femmes et la bombe” . L’Indépendant . Londres. Archivé de l’original le 26 octobre 2007 . Récupéré le 18 décembre 2007 .
66. ^ Richard Lloyd Parry. “‘Cher Leader’ s’accroche au pouvoir tandis que son peuple en paie le prix” , The Times. 10 octobre 2006. Récupéré le 18 décembre 2007.
67. ^ “Le ‘Cher Leader’ de la Corée du Nord fait étalage de prouesses nucléaires” . Le New Zealand Herald . Reuters . 10 octobre 2006 . Récupéré le 13 octobre 2011 .
68. ^ Compilé par le Bureau de la démocratie, des droits de l’homme et du travail. “Rapports nationaux sur les pratiques en matière de droits de l’homme” Département d’État des États-Unis. 25 février 2004. Récupéré le 18 décembre 2007.
69. ^ LaBouyer, Jason (mai-juin 2005). “Quand les amis deviennent ennemis – Comprendre l’hostilité de gauche à la RPDC” (PDF) . Lodestar . Korea-DPR.com. p. 7–9. Archivé de l’original (PDF) le 19 mars 2009 . Récupéré le 18 décembre 2007 .
70. ^ Marshall Cavendish Corporation (2007). Monde et ses peuples : Asie orientale et méridionale . Maréchal Cavendish. p. 929.ISBN _ 978-0-7614-7631-3.
71. ^ “Les droits de l’homme en Corée du Nord” . Observatoire des droits de l’homme . juillet 2004 . Récupéré le 2 août 2007 .
72. ^ “Corée du Nord : Une terrible vérité” . L’Économiste . 17 avril 1997 . Récupéré le 24 septembre 2011 .
73. ^ “Corée du Nord : rien à célébrer à propos de Kim Jong-Il” . Observatoire des droits de l’homme . 13 février 2015 . Récupéré le 25 janvier 2019 .
74. ^ “Corée du Nord: la mort de Kim Jong-il pourrait être une opportunité pour les droits de l’homme” . www.amnesty.org . Amnistie Internationale . 19 décembre 2011. Archivé de l’original le 16 mars 2016.
75. ^ Weatherley, Robert; Jiyoung, Song (juin 2008). “L’évolution de la pensée des droits de l’homme en Corée du Nord”. Journal des études communistes et de la politique de transition . 24 (2): 272–296. doi : 10.1080/13523270802003111 . S2CID 143231124 .
76. ^ Sheridan, Michael (7 septembre 2008). “La Corée du Nord ‘utilise des sosies pour cacher la mort de Kim’ ” . The Times . Londres . Récupéré le 5 décembre 2008 .
77. ^ “Kim de la Corée du Nord est décédé en 2003; remplacé par un sosie, dit le professeur Waseda” , Japan Today , 24 août 2008.
78. ^ Sheridan, Michael, “La Corée du Nord” utilise des doubles pour cacher la mort de Kim “” , Sunday Times , 7 septembre 2008. Récupéré le 8 septembre 2008.
79. ^ Pamela Hess et Matthew Lee (10 septembre 2008). “Kim Jong Il de la Corée du Nord pourrait être gravement malade, compromettant les progrès sur l’arrêt des armes nucléaires” . Tribun des étoiles . Archivé de l’original le 11 septembre 2008 . Récupéré le 19 décembre 2011 .
80. ^ “Le leader coréen a subi un accident vasculaire cérébral: renseignement de Séoul” . Agence France-Presse. 9 septembre 2008. Archivé de l’original le 10 septembre 2008.
81. ^ [1] Archivé le 16 décembre 2008 à la Wayback Machine
82. ^ “Le mystère a entouré Kim Jong Il” . CNN. 10 septembre 2008 . Récupéré le 7 mai 2010 .
83. ^ “La Corée du Nord insiste sur le fait que Kim n’est pas malade” . Nouvelles de la BBC . 10 septembre 2008 . Récupéré le 5 janvier 2010 .
84. ^ Jae-Soon Chang (11 septembre 2008). “Corée du Nord : Kim a subi une chirurgie cérébrale” . Temps . Presse associée. Archivé de l’original le 13 septembre 2008 . Récupéré le 11 septembre 2008 .
85. ^ “N. Korean Kim ayant des problèmes à utiliser les membres” . Le Seoul Times . Récupéré le 19 décembre 2011 .
86. ^ “Kim Jong Il hors de la vue du public en tant que passes de vacances majeures” . Archivé de l’original le 16 décembre 2008 . Récupéré le 16 décembre 2008 . . Yahoo! Nouvelles. 15 septembre 2008.
87. ^ Ha, Michael (19 octobre 2008). “Les diplomates NK en attente d’une annonce importante” . The Korea Times . Récupéré le 12 avril 2017 .
88. ^ “Le rapport suscite plus de spéculations sur la santé de Kim Jong Il” . Indépendant irlandais . 29 octobre 2008 . Récupéré le 26 mai 2016 .
89. ^ Onishi, Norimitsu (29 octobre 2008). “Kim Jong-Il hospitalisé mais à la barre, dit le Japon” . Le New York Times . Récupéré le 7 mai 2010 .
90. ^ “LCI, Corée du Nord : Le chirurgien français dément toute visite à Kim Jong II” . Archivé de l’original le 1er novembre 2008.
91. ^ Un médecin français confirme que Kim a eu un accident vasculaire cérébral en 2008 Archivé le 4 juin 2016 à la Wayback Machine (Associated Press via PhilStar), 19 décembre 2011.
92. ^ Image JPG Archivée le 16 décembre 2008 à la Wayback Machine
93. ^ “Un chirurgien du cerveau français admet avoir visité Pyongyang: rapport” . Agence France-Presse. 4 novembre 2008. Archivé de l’original le 28 décembre 2009 . Récupéré le 11 mars 2010 .
94. ^ Image JPG, archivée de “cdn.turner.com (CNN, 2008)” . Archivé de l’original le 5 novembre 2008 . Récupéré le 5 novembre 2008 .ou “news.xinhuanet.com” . Archivé de l’original le 18 décembre 2008 . Récupéré le 5 novembre 2008 .
95. ^ “Kim Jong Il regarde l’entraînement de l’armée” . Agence de presse Xinhua. 5 novembre 2008. Archivé de l’original le 11 mars 2009 . Récupéré le 11 mars 2010 .
96. ^ Hamilton, Fiona (7 novembre 2008). « Kim Jong Il : supercherie numérique ou récupération étonnante après un AVC ? » . Le Temps . Londres. Archivé de l’original le 8 novembre 2008 . Récupéré le 7 mai 2010 .
97. ^ ^{un b} “Kim Jong-il avait un deuxième coup possible” . Reuters . 11 novembre 2008.
98. ^ “Vidéo de Kim Jong-il” . Nouvelles de la BBC . 7 avril 2009 . Récupéré le 19 décembre 2011 .
99. ^ Hutchison, Peter (28 novembre 2010). “WikiLeaks : les États-Unis ont qualifié Ahmadinejad d'”Hitler” ” . The Daily Telegraph . Londres. Archivé de l’original le 10 janvier 2022 . Récupéré le 30 décembre 2010 .
100. ^ Fife-Yeomans, Janet (20 décembre 2011). “Kim Jong-il – la grande vie d’un dictateur maléfique” . Le Daily Telegraph . Récupéré le 20 décembre 2011 . Quand le cher leader de la Corée du Nord, le fumeur à la chaîne Kim Jong-il, 69 ans, est décédé samedi
101. ^ “Successeurs possibles de Kim de Corée du Nord” . Reuters . 10 septembre 2008.
102. ^ “La Corée du Nord est silencieuse sur le successeur de Kim Jong Il” . Indiaenews.com. 14 février 2007. Archivé de l’original le 9 février 2008 . Récupéré le 28 décembre 2011 . {{cite web}}: CS1 maint: unfit URL (link)
103. ^ “Le Japon expulse un homme prétendant être Kim Jong-Nam” , ABC News: The World Today, 4 mai 2001 (voir Arbre généalogique )
104. ^ “Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-il” nomme son plus jeune fils comme successeur ” ” . The Guardian . Londres. Associated Press. 2 juin 2009 . Récupéré le 28 décembre 2011 .
105. ^ “Corée du Nord: Un” brillant camarade ” ” . Le New York Times . 12 juin 2009 . Récupéré le 13 juin 2009 .
106. ^ Lankov 2014 , p. 144.
107. ^ “Kim Jong Il élu président du NDC de la RPDC” . KCNA. 9 avril 2009. Archivé de l’original le 12 octobre 2014 . Récupéré le 11 mars 2010 .
108. ^ “Le chef de la Corée du Nord apparaît en public” . Nouvelles de la BBC . 9 avril 2009 . Récupéré le 28 décembre 2011 .
109. ^ ^{un b} “Kim de la Corée du Nord ouvre la voie à la succession familiale” . Nouvelles de la BBC . 28 septembre 2010 . Récupéré le 12 avril 2017 .
110. ^ “Kim de la Corée du Nord” visite la Chine ” ” . BBC News . 3 mai 2010 . Récupéré le 7 mai 2010 .
111. ^ “Kim Jong-il ‘a 3 ans à vivre'” , Chosun Ilbo , 17 mars 2010.
112. ^ McCurry, Justin; Watts, Jonathan (26 août 2010). “Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-il ‘visite la Chine avec son fils’ ” . BBC News . Londres . Récupéré le 28 août 2010 .
113. ^ 颜筱箐 (27 mai 2011). “Le dirigeant de la RPDC Kim Jong-Il visite la Chine” . China.org.cn . Récupéré le 19 décembre 2011 .
114. ^ Schwirtz, M. “Kim Il-Jong visite la Russie pour rencontrer le président Medvedev”, The New York Times . 21 août 2011.
115. ^ Laurence, Jeremy (9 septembre 2011). “Le défilé militaire de la Corée du Nord montre que la succession du chef est en cours” . Reuters . Récupéré le 19 avril 2013 .
116. ^ ^{un b} “le leader N-coréen Kim Jong-il meurt” . Nouvelles de la BBC . 19 décembre 2011 . Récupéré le 19 décembre 2011 . décédé samedi
117. ^ “Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-il est mort” . ABC Nouvelles . 19 décembre 2011 . Récupéré le 19 décembre 2011 .
118. ^ “Le défunt dirigeant nord-coréen Kim Jong Il est mort” dans un accès de rage “à cause des dommages causés à un projet crucial de centrale électrique: rapport” . Nouvelles quotidiennes . New York. 31 décembre 2012 . Récupéré le 31 décembre 2012 . Les médias sud-coréens rapportent que le «commandant suprême» a subi une crise cardiaque après avoir appris qu’un barrage hydroélectrique avait subi une fuite majeure.
119. ^ “Le plus jeune fils de Kim Jong Il surnommé” grand successeur “” . Nouvelles NBC. 19 décembre 2011.
120. ^ “Le fils de Kim Jong-il, Kim Jong-un, prêt à diriger la Corée du Nord” . Poste nationale . Canada. 10 octobre 2010 . Récupéré le 20 décembre 2011 .
121. ^ Demick, Barbara (19 décembre 2011). “Mort de Kim Jong Il: un oncle puissant pourrait éclipser le fils de Kim” . Los Angeles Times .
122. ^ “Mort de Kim Jong-il: ‘La nature pleure’ le leader de la Corée du Nord” . BBC. 22 décembre 2011 . Récupéré le 28 décembre 2011 .
123. ^ ^{a b} “Kim Jong Il sera consacré comme” chef éternel ” ” . Nouvelles de CBS .
124. ^ Sang-hun, Choe (12 janvier 2012). “La Corée du Nord prévoit une exposition permanente du corps de Kim Jong-il” . Le New York Times .
125. ^ “Kim Jong-il doit être exposé” . ABC Sidney . 13 janvier 2012 . Récupéré le 12 janvier 2012 .
126. ^ “Kim Jong Un de la Corée du Nord ajoute” maréchal “à la liste des titres officiels, cimentant le pouvoir sur l’armée” . Nouvelles de CBS . PA. 18 juillet 2012 . Récupéré le 2 avril 2018 .
127. ^ “La Corée du Nord décerne 132 médailles pour commémorer l’anniversaire de Kim Jong-il” . Le Télégraphe . 14 février 2012. Archivé de l’original le 10 janvier 2022 . Récupéré le 11 août 2013 .
128. ^ ^{un b} “Les Femmes dans la Vie de Kim” . Archivé de l’original le 10 juillet 2010 . Récupéré le 10 juillet 2010 . . Temps.
129. ^ ^{un b} “la Fille de Kim Jong-Il Sert de Son Secrétaire” . Theseoultimes.com . Récupéré le 28 décembre 2011 .
130. ^ Breen 2012 , p. 64.
131. ^ ^{un b} “Un transfuge nord-coréen dit que Kim Jong Il lui a volé la vie” , Los Angeles Times , 21 décembre 2011.
132. ^ ^{un b} “la Famille secrète de Kim” . Archivé de l’original le 26 juin 2003 . Récupéré le 26 juin 2003 . , Time Asia , 23 juin 2003 (archives).
133. ^ Martin, Bradley K. (2004). Sous les soins affectueux du leader paternel : la Corée du Nord et la dynastie Kim . New York, NY : Livres de Thomas Dunne. pages 693–694. ISBN 978-0-312-32322-6. Bien qu’une vague de dépêches de presse au moment de la défection de sa sœur ait affirmé que Hye-rim était partie avec Hye-rang, en fait, [Hye-rim] a continué à vivre à Moscou jusqu’à sa mort en mai 2002.
134. ^ “N. Korea Heir Apparent ‘Donné un anniversaire plus propice” . Le Chosun Ilbo . 11 décembre 2009.
135. ^ “Kim Yo Jong” . nkleadershipwatch.wordpress.com. 11 juillet 2012 . Récupéré le 8 août 2012 .
136. ^ “Rapport : Kim Jong Il vivant avec l’ancien secrétaire” . Chaîne Fox News. 24 juillet 2006. Archivé de l’original le 25 octobre 2014 . Récupéré le 28 décembre 2011 .
137. ^ Glionna, John M. (24 décembre 2011). “Beaucoup de femmes étaient liées à Kim Jong Il, mais peu avaient une quelconque influence” – via LA Times.
138. ^ “L’oncle du dirigeant nord-coréen” exécuté pour corruption ” ” . BBC. 12 décembre 2013 . Récupéré le 12 décembre 2013 .
139. ^ Swift, Andrew (4 mai 2010). “Profils en phobie” . Politique étrangère . Récupéré le 6 mai 2010 .
140. ^ Stephen Kurczy (6 mai 2010). “Visite secrète en Chine : Tous à bord du train de luxe de Kim Jong-il” . Le Moniteur de la Science Chrétienne .
141. ^ “Profil : Kim Jong-il” . Nouvelles de la BBC . 16 janvier 2009 . Récupéré le 28 décembre 2011 .
142. ^ “Le leader nord-coréen aime Hennessey, les films Bond” , CNN, 8 janvier 2003.
143. ^ Savage, Mark (19 décembre 2011). “Kim Jong-il : Le despote cinéphile” . Nouvelles de la BBC . Récupéré le 19 décembre 2014 .
144. ^ ^{un b} Savage, Mark (19 décembre 2011). “Kim Jong-il : Le despote cinéphile” . Nouvelles de la BBC . Récupéré le 30 novembre 2014 .
145. ^ Gourevitch, Philip (2 novembre 2003). “La folie de Kim Jong Il” . Le Gardien . Londres . Récupéré le 19 décembre 2011 .
146. ^ “Le cinéphile Kim Jong-Il cherche des coentreprises de films étrangers” . Worldtribune.com. Archivé de l’original le 5 janvier 2012 . Récupéré le 28 décembre 2011 .
147. ^ “Kim Jong-il : Le despote cinéphile” . Nouvelles de la BBC . 19 décembre 2011.
148. ^ Thomson, Mike (5 mars 2003). “Enlevé par la Corée du Nord” . Nouvelles de la BBC . Récupéré le 28 décembre 2011 .
149. ^ “Film ‘Diary of a Girl Student’, Close Companion of Life” Archivé le 1er septembre 2006 à la Wayback Machine , Korea News Service, 10 août 2006.
150. ^ Macintyre, Donald (18 février 2002). “Le Supremo dans son labyrinthe” . Temps . Archivé de l’original le 13 juin 2010 . Récupéré le 9 juin 2010 .
151. ^ “Kim Jong-il satisfait son appétit gastronomique pendant que son peuple meurt de faim” . Archivé de l’original le 11 mars 2005 . Récupéré le 30 août 2004 . . Le Chosun Ilbo . 27 juin 2004.
152. ^ “Le fan le plus étrange” , UT San Diego , 29 octobre 2006.
153. ^ “ASIE-PACIFIQUE | Profil : Kim Jong-il” . Nouvelles de la BBC . 9 juin 2000 . Récupéré le 28 décembre 2011 .
154. ^ “Entretien : Charles Kartman” . Première ligne . Service public de radiodiffusion . 20 février 2003 . Récupéré le 14 avril 2010 .
155. ^ ^{un b} Coolidge & Segal 2009 , p. 200.
156. ^ Coolidge & Segal 2009 , p. 199.
157. ^ “Kim Jong Il, où il dort et où il travaille” Archivé le 16 mai 2013 à la Wayback Machine , Daily NK, 15 mars 2005.
158. ^ Arlow, Oliver, ” Kim Jong-il conserve un ‘fonds d’urgence’ de 4 milliards de dollars dans les banques européennes “, The Sunday Telegraph , 14 mars 2010.
159. ^ McGivering, Jill (29 septembre 2009). “La Constitution de la Corée du Nord renforce Kim” . Nouvelles de la BBC . Récupéré le 7 mai 2010 .
160. ^ ^{un bc 전, 영선} (2006). 다시 고쳐 쓴 북한의 사회와 문화[ Une nouvelle vision de la société et de la culture nord-coréennes ]. 역락. ISBN 978-89-5556-491-4.
161. ^ McCurry, Justin (18 juillet 2012). “Kim Jong-un de la Corée du Nord nommé maréchal” . Le Gardien . ISSN 0261-3077 . Récupéré le 6 janvier 2020 .
162. ^ “Kim Jong-il a décerné la plus haute distinction de la Corée du Nord” . Télégraphe quotidien . 15 février 2012. ISSN 0307-1235 . Archivé de l’original le 10 janvier 2022 . Récupéré le 6 janvier 2020 .
163. ^ Gambino, Lauren (11 avril 2012). “Kim Jong-il nommé secrétaire général d’Eternity lors d’une cérémonie en Corée du Nord” . Télégraphe quotidien . ISSN 0307-1235 . Archivé de l’original le 10 janvier 2022 . Récupéré le 6 janvier 2020 .
164. ^ “Profil de pays de la Corée du Nord” . 6 mai 2016 . Récupéré le 6 janvier 2020 .
165. ^ “Documents du 7ème Congrès du Parti des Travailleurs” (PDF) . NCNK .
166. ^ Constitution de la Corée du Nord (2012) Wikisource
167. ^ “1. Un grand penseur et théoricien” . naenara.com.kp . Mai 2008 . Récupéré le 11 décembre 2015 .
168. ^ “Plus de 530 œuvres de Kim Jong Il publiées” . KCNA. 8 juin 2001. Archivé de l’original le 12 octobre 2014 . Récupéré le 6 mai 2016 .
169. ^ “Plus de 120 œuvres de Kim Jong Il ont sorti” . web.archive.org . KCNA. 26 décembre 2000. Archivé de l’original le 12 octobre 2014 . Récupéré le 29 février 2016 .
170. ^ “Kim Jong Il Auteurs Beaucoup d’Oeuvres” . KCNA. 25 août 2009. Archivé de l’original le 12 octobre 2014 . Récupéré le 6 mai 2016 .
171. ^ ” ‘Œuvres sélectionnées de Kim Jong Il’ (édition agrandie) Vol. 24 Off Press” . KCNA. 22 novembre 2014. Archivé de l’original le 8 janvier 2016 . Récupéré le 6 mars 2016 .
172. ^ Catalogue de l’Association coréenne d’échange de publications (PDF) . Association coréenne d’échange de publications. 2015. p. [27]. Archivé de l’original (PDF) le 2 avril 2017 . Récupéré le 12 avril 2017 .
173. ^ “Oeuvres sélectionnées” . corée-du-nord- books.com . Archivé de l’original le 30 avril 2016 . Récupéré le 6 mai 2016 .
174. ^ ” ‘Collection complète des œuvres de Kim Jong Il’ Vol. 13 Publié” . Rodong Sinmun . 6 mai 2016. Archivé de l’original le 13 mai 2016 . Récupéré le 6 mai 2016 .
175. ^ “Le personnel de service, les gens visitent la maison d’exposition des œuvres de Kim Jong Il” . KCNA. 18 février 2015. Archivé de l’original le 24 novembre 2019 . Récupéré le 6 mars 2016 .
176. ^ “23. Leader Kim Jong Il, génie de la littérature et de l’art” . naenara.com.kp . mars 2010 . Récupéré le 11 décembre 2015 .
177. ^ “Paroles de chansons de Kim Jong Il” . naenara.com.kp . Récupéré le 11 février 2016 .
178. ^ Lim 2015 , p. 28.

Sources

• Becker, Jaspe (2006). Rogue Regime: Kim Jong Il et la menace imminente de la Corée du Nord . États-Unis : Oxford University Press. ISBN 978-0-19-530891-4.
• Breen, Michael (2012). Kim Jong-il: le cher leader de la Corée du Nord: qui est-il, ce qu’il veut et que faire de lui (édition révisée et mise à jour). Singapour : John Wiley & Sons Singapour. ISBN 978-1-118-15377-2.
• Buzo, Adrien (2002). La fabrication de la Corée moderne . Londres : Routledge. ISBN 978-0-415-23749-9.
• Coolidge, Frederick L.; En ligneSégal, Daniel L. (2009). “Est-ce que Kim Jong-il est comme Saddam Hussein et Adolf Hitler ? Une évaluation des troubles de la personnalité” (PDF) . Sciences comportementales du terrorisme et de l’agression politique . 1 (3): 195-202. doi : 10.1080/19434470903017664 . S2CID 20256106 . Archivé de l’original (PDF) le 9 octobre 2016 . Récupéré le 8 décembre 2018 .
• Kim Jong Il: Bref historique (PDF) . Pyongyang : Maison d’édition en langues étrangères. 1998. OCLC 272459470 .
• Kleiner, Jürgen (2001). Corée, un siècle de changement . River Edge: World Scientific. ISBN 978-981-279-995-1.
• Lankov, Andreï (2014). La vraie Corée du Nord : vie et politique dans l’utopie stalinienne ratée . Oxford : presse universitaire d’Oxford. ISBN 978-0-19-939003-8.
• Lim, Jae-Cheon (2015). Symboles de leader et Culte de la personnalité en Corée du Nord : l’État leader . Routledge. ISBN 978-1-317-56741-7.{{cite book}}: CS1 maint: ref duplicates default (link)
• Norland, Marcus (2004). “Famine et Réforme en Corée du Nord”. Documents économiques asiatiques . 3 (2): 1–40. CiteSeerX 10.1.1.6.8390 . doi : 10.1162/1535351044193411 . S2CID 57565869 .

Lectures complémentaires

• Histoire des activités révolutionnaires du président Kim Jong Il (PDF) . Pyongyang : Maison d’édition en langues étrangères. 2015. ISBN 978-9946-0-1309-1.
• Jo Song-baek (1999). La philosophie du leadership de Kim Jong Il (PDF) . Pyongyang : Maison d’édition en langues étrangères. OCLC 68890556 .
• Kim Chol-u (2002). Songun Politique de Kim Jong Il (PDF) . Pyongyang : Maison d’édition en langues étrangères.
• Kim Jong Il : Biographie (PDF) . Vol. 1. Pyongyang : Maison d’édition en langues étrangères. 2005.
• Kim Jong Il : Biographie (PDF) . Vol. 2. Pyongyang : Maison d’édition en langues étrangères. 2006.
• Kim Jong Il : Biographie (PDF) . Vol. 3. Pyongyang : Maison d’édition en langues étrangères. 2008.
• Kim Jong Il : Courte biographie (PDF) . Pyongyang : Maison d’édition en langues étrangères. OCLC 79301411 .
• Kim Nam-jin (1997). Guiding Light Général Kim Jong Il . Pyongyang : Maison d’édition en langues étrangères.
• Ri Il-bok ; Yun Sang-hyon (1989). Le Grand Homme Kim Jong Il : Anecdotage . Vol. 1. Pyongyang : Maison d’édition en langue étrangère. OCLC 223172604 .
• Ri Il-bok (1995). Le Grand Homme Kim Jong Il : Anecdotage (PDF) . Vol. 2. Pyongyang : Maison d’édition en langue étrangère. OCLC 37141068 .
• Pae Kyong-su (1993). Kim Jong Il : L’individu, les pensées et le leadership . Vol. 1. Pyongyang : Maison d’édition en langues étrangères. OCLC 51345314 .
• Pae Kyong-su (1995). Kim Jong Il : L’individu, les pensées et le leadership . Vol. 2. Pyongyang : Maison d’édition en langues étrangères. OCLC 867581955 .
• Takashi Nada (2000). La Corée à l’époque de Kim Jong Il . Pyongyang : Maison d’édition en langues étrangères. OCLC 272459531 .

Liens externes

Kim Jong Ildans les projets frères de Wikipédia

• Définitions du Wiktionnaire
• Médias de Commons
• Nouvelles de Wikinews
• Citations de Wikiquote
• Textes de Wikisource
• Manuels de Wikibooks
• Ressources de Wikiversité

• “Kim Jong-il a recueilli des nouvelles et des commentaires” . Le New York Times .
• Œuvres de ou sur Kim Jong-il dans les bibliothèques ( catalogue WorldCat )
• “Né en URSS” . Archivé de l’original le 2 novembre 2006 . Récupéré le 13 septembre 2004 . – L’enfance de Kim Jong-il.
• Les nombreux secrets de famille de Kim Jong Il
• “Hidden Daughter” rend visite à Kim Jong-il chaque année (comprend également des photos de Kim pendant sa jeunesse)
• BBC, la “première famille” secrète de Corée du Nord
• Nécrologie : Kim Jong-il , BBC News, 19 décembre 2011.
• Kim Jong-il chez Curlie

Bureaux politiques du parti
Précédé par Kim Yongju	Chef du Département Organisation et Orientation 1974–1992	succédé par Yun Sung-gwan
Précédé par Yun Sung-gwan	Directeur du Département Organisation et Orientation 1994–2011	succédé par Finalement, Choe Ryong-hae
Vacant Dernier titre détenu par Kim Il-sung	Secrétaire général du Parti des travailleurs de Corée (secrétaire général éternel 2012-2021) 1997-2011	succédé par Kim Jong Un comme premier secrétaire
Président de la Commission militaire centrale du WPK 1997–2011	succédé par Kim Jong Un
Bureaux politiques
Précédé par	Premier vice-Président de la commission de la défense nationale 1990–1993	succédé par O Chin-u
Précédé par Kim Il-sung	Président de la commission de la défense nationale (président éternel 2012-2016) 1993-2011	succédé par Kim Jong Un en tant que premier président
Bureaux militaires
Précédé par Kim Il-sung	Commandant suprême de l’armée populaire coréenne 1991-2011	succédé par Kim Jong Un
Titres honorifiques
Nouveau titre	Chef éternel de la Corée du Nord Oint : 2016 A servi aux côtés de : Kim Il-sung	Éternel