Dassault Rafale
Le Dassault Rafale ( prononciation française : [ ʁafal] , signifiant littéralement “rafale de vent”, [1] et “rafale de feu” dans un sens plus militaire) [2] est un bimoteur français , à aile delta canard , multirôle avion de chasse conçu et construit par Dassault Aviation . Doté d’un large éventail d’armes, le Rafale est destiné à effectuer la suprématie aérienne , l’ interdiction , la reconnaissance aérienne , l’appui au sol , la frappe en profondeur, la frappe anti-navire et la dissuasion nucléaire . missions. Le Rafale est qualifié d’avion « omnirôle » par Dassault.
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De nombreuses caractéristiques et avioniques de l’avion, telles que l’entrée vocale directe , le radar à réseau actif à balayage électronique (AESA) RBE2 AA et le capteur de recherche et de poursuite infrarouge frontal à secteur optronique (IRST), ont été développées et produites au niveau national pour le programme Rafale. . Initialement prévu pour entrer en service en 1996, le Rafale a subi d’importants retards dus aux coupes budgétaires de l’après- guerre froide et aux changements de priorités. L’avion est disponible en trois variantes principales : le Rafale C en version terrestre monoplace, le Rafale B en version terrestre biplace et le Rafale M en version embarquée monoplace. Introduit en 2001, le Rafale est produit à la fois pour l’Armée de l’air française et pour les opérations embarquées de la marine française. Le Rafale a été commercialisé à l’exportation vers plusieurs pays, et a été sélectionné pour l’achat par l’ armée de l’air égyptienne , l’ armée de l’air indienne , l’Armée de l’air du Qatar , l’ armée de l’air hellénique , l’ armée de l’air croate , l’ armée de l’air indonésienne et les Émirats arabes unis . Armée de l’air des Emirats . Le Rafale a été utilisé au combat en Afghanistan, en Libye, au Mali, en Irak et en Syrie. DéveloppementOriginesAu milieu des années 1970, l’ Armée de l’Air et la Marine Nationale avaient besoin d’une nouvelle génération de chasseurs pour remplacer ceux en service ou sur le point de le faire. [3] Parce que leurs exigences étaient similaires et pour réduire les coûts, les deux ministères ont lancé une demande de proposition commune. [4] En 1975, le ministère français de l’Aviation a lancé des études pour un nouvel avion pour compléter le Dassault Mirage 2000 à venir et plus petit, chaque avion étant optimisé pour des rôles différents. [5] En 1979, la société française Dassault rejoint le projet MBB / BAe « European Collaborative Fighter » qui est rebaptisé « European Combat Aircraft » (ECA). [6] La société française a contribué à la disposition aérodynamique d’un futur chasseur bimoteur monoplace; cependant, le projet s’est effondré en 1981 en raison des exigences opérationnelles différentes de chaque pays partenaire. [5] En 1983, le programme “Future European Fighter Aircraft” (FEFA) est lancé, réunissant l’Italie, l’Espagne, l’Allemagne de l’Ouest , la France et le Royaume-Uni pour développer conjointement un nouveau chasseur, bien que ces trois derniers aient leurs propres développements d’avions . [7] Un certain nombre de facteurs ont conduit à la scission éventuelle entre la France et les quatre autres pays. Vers 1984, la France a réitéré son exigence d’une version compatible avec les transporteurs et a exigé un rôle de premier plan. Il a également insisté sur un chasseur à rôle oscillant plus léger que la conception privilégiée par les quatre autres nations. L’Allemagne de l’Ouest, le Royaume-Uni et l’Italie se sont retirés et ont établi un nouveau programme européen d’avions de chasse (EFA). [3] [N 1] À Turin , le 2 août 1985, l’Allemagne de l’Ouest, le Royaume-Uni et l’Italie ont convenu de poursuivre l’ALE et ont confirmé que la France, avec l’Espagne, avait choisi de ne pas continuer en tant que membre du projet. [9] [10]Malgré la pression de la France, l’Espagne a rejoint le projet Eurofighter au début de septembre 1985. Le projet de quatre nations a finalement abouti au développement de l’ Eurofighter Typhoon . [11] Phase de conception et prototypeEn France, le gouvernement a poursuivi son propre programme. Le ministère français de la Défense avait besoin d’un avion capable d’effectuer des opérations air-air et air-sol, toute la journée et par mauvais temps. Contrairement à d’autres projets de chasseurs européens contemporains qui nécessitaient un certain niveau de collaboration internationale et de partage des coûts, la France était le seul développeur de la cellule , de l’ avionique , du système de propulsion et de l’ armement du Rafale , et en tant que tel, l’avion devait remplacer une multitude d’avions en France . Forces armées . Le Rafale remplirait des rôles auparavant remplis par un assortiment de plates-formes spécialisées, dont le Jaguar ,Mirage F1C/CR/CT , Mirage 2000C/-5 / N dans l’Armée de l’air française, et les F-8P Crusader , Étendard IVP/M et Super Étendard dans l’Aéronavale française. [3] [12] En octobre-décembre 1978, avant l’adhésion de la France à l’ECA, Dassault a reçu des contrats pour le développement du projet ACT 92 ( Avion de Combat Tactique , qui signifie «avion de combat tactique»). L’année suivante, l’Office national d’études et de recherches aéronautiques commence à étudier les configurations possibles du nouveau chasseur sous le nom de code Rapace (signifiant « oiseau de proie »). En mars 1980, le nombre de configurations avait été réduit à quatre, dont deux avaient une combinaison de canards , d’ ailes delta et d’une seule dérive verticale . [5] En octobre 1982, le ministère français de la Défense a annoncé que Dassault construirait un démonstrateur technologiquenommé Avion de Combat expérimental (Experimental Combat Airplane, ACX). La France voulait collaborer avec l’Allemagne de l’Ouest et le Royaume-Uni sur le projet, mais était prête à construire l’ACX par elle-même. En 1984, le gouvernement a décidé de procéder à une variante de combat de l’ACX en raison des critères techniques contradictoires des pays participants respectifs de la FEFA. [5] [13] Le démonstrateur de technologie Rafale A qui en a résulté était un chasseur à ailes grand delta, avec des canards tout en mouvement, incarnant un système de commande de vol fly-by-wire (FBW) . [3] La construction du démonstrateur a commencé en mars 1984, avant même qu’un contrat ne soit signé avec la DGA , la régie française des marchés publics de la défense . [5] Le démonstrateur technologique a été déployé en décembre 1985 à Saint-Cloud et a effectué son vol inaugural le 4 juillet 1986 depuis la base aérienne d’Istres-Le Tubé dans le sud de la France. [3] Pendant le vol d’une heure, le pilote d’essai en chef du projetGuy Mitaux-Maurouard a emmené l’avion à une altitude de 11 000 mètres (36 000 pieds) et à une vitesse de Mach 1,3. Le démonstrateur de 9,5 tonnes (21 000 lb) s’est arrêté à 300 mètres (980 pieds) à l’atterrissage. [14] Tout au long du programme d’essais en vol , le Rafale A a effectué de nombreux décollages et atterrissages de jour comme de nuit à bord des porte-avions Clemenceau et Foch pour étudier le champ de vision du pilote lors des opérations du porte-avions. Il a atteint une vitesse de Mach 2 (2 450 km/h ; 1 520 mph ; 1 320 nœuds) et une hauteur de 13 000 mètres (42 000 pieds). [15] Le démonstrateur était initialement propulsé par des turbosoufflantes à postcombustion General Electric F404-GE-400 du F/A-18 Hornet , au lieu du Snecma M88 , pour réduire le risque qui accompagne souvent un premier vol, et puisque le M88 a été pas considéré comme suffisamment mature pour le programme d’essais initial. [3] [16]Ce n’est qu’en mai 1990 que le M88 a remplacé le port F404 dans le démonstrateur pour permettre à l’avion d’atteindre Mach 1,4 et de faire la démonstration d’une super croisière , ou d’un Vol supersonique soutenu sans utilisation de postcombustion . Après 865 vols avec quatre pilotes, le Rafale A est retiré en janvier 1994. [3] [15] [17] Lors du vol inaugural du Rafale A, la France est entrée en pourparlers infructueux avec la Belgique, le Danemark, les Pays-Bas et la Norvège sur une éventuelle collaboration sur le Rafale en tant que projet multinational ; à l’époque, la Belgique aurait été intéressée par le Rafale B. En juin 1987, le Premier ministre Jacques Chirac a déclaré que le pays poursuivrait le projet de 30 milliards de dollars. Par la suite, le 21 avril 1988, le gouvernement français a attribué à Dassault un contrat pour quatre prototypes de Rafale : un Rafale C, deux Rafale M et un Rafale B. Le premier des 330 Rafale attendus devait entrer en service en 1996. [18] [19] [20] [21] Cependant, la chute du mur de Berlin , qui a marqué la fin de la guerre froide, ainsi que la nécessité de réduire le déficit national, ont contraint le gouvernement français à réduire drastiquement son budget de la défense ; le budget 1994 du programme Rafale a été réduit de 340 millions de dollars. [22] [23] Cela a réduit la taille des commandes de Rafale, qui, selon Dassault et d’autres sociétés impliquées, ont entravé la gestion de la production et entraîné une augmentation des coûts, et retardé la mise en service de l’avion. L’Armée de l’air française a été réorganisée, le Mirage 5F a été complètement supprimé et un total de 55 Mirage F1C ont été mis à niveau vers une configuration de chasseur tactique, rebaptisé Mirage F1CT. Les coupes budgétaires ont considérablement prolongé le développement du Rafale. [3] [24] [25] Au cours du programme d’essais en vol du Rafale A, le gouvernement français a considéré en 1989 le F/A-18 Hornet comme un remplaçant potentiel du F-8 Crusader , vieillissant rapidement, qui servait depuis les années 1950. La marine française a acheté des F / A-18 d’occasion avec l’Australie, le Canada et les États-Unis, après que la décision a été prise de ne pas mettre à niveau les Crusaders. La marine américaine a accepté de fournir deux F/A-18 à la marine française pour des “tests d’interopérabilité” à bord du porte-avions français Foch . Le gouvernement français n’a pas procédé à l’achat du chasseur bimoteur. [26] [27] Essai Pour répondre aux différents rôles attendus du nouvel appareil, l’armée de l’air avait besoin de deux variantes : le monoplace “Rafale C” ( chasseur , signifiant “combattant” ou littéralement “chasseur”) et le “Rafale B” ( biplace , soit deux -place). Le prototype du modèle C (désigné C01) a effectué son premier vol le 19 mai 1991, marquant le début d’un programme d’essais qui visait principalement à tester les moteurs M88-2, l’interface homme-machine et les armes, et à élargir le domaine de vol . [28] En raison de contraintes budgétaires, le deuxième prototype monoplace n’a jamais été construit. [29] Le C01 différait sensiblement du Rafale A. Bien que superficiellement identique au démonstrateur technologique, il était plus petit et plus furtif en raison de la verrière dorée, d’une refonte de l’articulation fuselage-aileron et de l’ajout de matériaux absorbant les radars. (RAM). Cet avion a également vu une application intensive de matériaux composites et autres, qui ont tous deux réduit la section efficace du radar (RCS) et le poids. De plus, Dassault a choisi de rejeter les admissions variables du moteur et un frein à air dédié , ce qui réduit les charges de maintenance et économise du poids. [30] Le B01, le seul prototype de la variante biplace B, a effectué son vol inaugural le 30 avril 1993. [28]Il pesait 350 kilogrammes (770 lb) de plus que la monoplace, mais transportait 400 litres (110 gal US) de carburant en moins. L’avion a été utilisé pour tester des systèmes d’armes. Plus tard, il a été chargé de valider la séparation des armes et, plus précisément, le transport de charges lourdes. Le chargement typique de l’avion consistait en deux réservoirs externes de 2 000 litres (530 gal US), deux missiles de croisière Apache / Scalp , en plus de quatre missiles air-air . [31] La Marine, quant à elle, cherchait un avion embarqué pour remplacer sa flotte vieillissante d’Étendard IV Ms & Ps, F-8P Crusaders et Super Étendard Modernisés . Alors que la Marine a initialement modernisé les Crusaders, à long terme, l’exigence a été satisfaite avec le Rafale M navalisé. Le M01, le prototype naval, a volé pour la première fois le 12 décembre 1991, suivi du second le 8 novembre 1993. [28] [32] Comme la France n’avait pas d’installation d’essai de catapulte terrestre, des essais de catapulte ont d’abord été effectués entre juillet et août 1992 et au début de l’année suivante, au NAS Lakehurst dans le New Jersey . L’avion a ensuite effectué des essais à bord du porte-avions Fochen avril 1993. Piloté par le pilote d’essai en chef de Dassault, Yves Kerhervé, M02 a effectué son vol inaugural en novembre de la même année, tandis que le premier prototype a terminé la troisième série d’essais à Lakehurst en novembre et décembre 1993. [33] Production et mises à niveauInitialement, le Rafale B ne devait être qu’un entraîneur, mais la guerre du Golfe a montré qu’un second équipier était précieux dans les missions de frappe et de reconnaissance . Ainsi, en 1991, l’armée de l’air a basculé ses préférences vers le biplace, annonçant que la variante constituerait 60% de la flotte Rafale. [34] Le service envisageait initialement de prendre livraison de 250 Rafale, mais cela a été initialement revu à la baisse à 234 appareils, composés de 95 modèles “A” et 139 “B” [32] [35] et plus tard à 212 appareils. [34] La Marine, quant à elle, avait commandé 60 Rafale, contre 86 en raison de coupes budgétaires [32] [34] Sur les 60, 25 seraient des monoplaces M et 35 des N biplaces,[35] bien que le biplace ait été plus tard annulé. [15] La production de la première série d’avions a officiellement commencé en décembre 1992, mais a été suspendue en novembre 1995 en raison de l’incertitude politique et économique. La production n’a repris qu’en janvier 1997 après que le ministère de la Défense et Dassault se soient mis d’accord sur une production de 48 appareils (28 fermes et 20 options) avec livraison entre 2002 et 2007. [34] Une nouvelle commande de 59 F3 Rafales a été annoncée en décembre 2004 [36] En novembre 2009, le gouvernement français a commandé 60 appareils supplémentaires pour porter la commande totale de l’armée de l’air et de la marine françaises à 180. [37] Lors de la phase de conception du Rafale, Dassault a tiré parti de CATIA ( Computer Aided Three-dimensional Interactive Application) de Dassault Systèmes , une suite logicielle tridimensionnelle de conception , de fabrication et d’ingénierie assistée par ordinateur qui allait devenir la norme dans l’industrie. [38] CATIA a permis des améliorations de la numérisation et de l’efficacité tout au long du programme Rafale, car il a mis en œuvre des processus récemment développés tels que la maquette numérique et la gestion des données produit . Il se composait de bases de données de 15 Go de chacun des composants du Rafale, aidant à divers aspects de la conception, de la fabrication et du support tout au long de la vie. [38] Selon le magazine français L’Usine nouvelle , hormis quelques composants non sensibles sourcés aux États-Unis, le Rafale est fabriqué presque entièrement en France. Différents éléments sont produits dans de nombreuses usines à travers le pays et l’assemblage final a lieu près de l’aéroport de Bordeaux-Mérignac . Par exemple, les gouvernes de vol sont fabriquées en Haute-Savoie , les ailes et l’avionique en Gironde, le fuselage central dans le Val-d’Oise , et les moteurs dans l’ Essonne . [39] Environ 50 % du Rafale est produit par Dassault et l’autre moitié est répartie entre deux partenaires majeurs, Thales et Safran, qui s’appuient sur un réseau de 500 sous – traitants . Au total, le programme emploie 7 000 travailleurs. En 2012 [update], le processus de fabrication de chaque chasseur prenait 24 mois, avec un taux de production annuel de onze avions. [39] Les livraisons de la version navale du Rafale étaient une priorité élevée pour remplacer les F-8 Crusaders considérablement vieillis de la Marine, et ainsi le premier modèle de production pour la Marine française a entrepris son premier vol le 7 juillet 1999. [40] Leur premier déploiement naval a eu lieu en 2002 à bord du Charles de Gaulle ; en mars 2002, le porte-avions était stationné dans le golfe d’Oman , où son complément de Rafales entreprenait des opérations d’entraînement. [41] En décembre 2004, l’armée de l’air reçoit ses trois premiers Rafale B au standard F2 au Centre d’Expériences Aériennes Militaires (CEAM) de Mont-de-Marsan, où ils ont été chargés d’entreprendre une évaluation opérationnelle et une formation pilote de conversion. [32] Le coût total du programme, à partir de l’exercice 2013, était d’environ 45,9 milliards d’euros, [42] ce qui s’est traduit par un coût unitaire du programme d’environ 160,5 millions d’euros. Ce chiffre tient compte de l’amélioration du matériel de la norme F3, et qui inclut les coûts de développement sur une période de 40 ans, inflation comprise. [43] Le prix unitaire flyaway en 2010 était de 101,1 millions d’euros pour la version F3+. [44] En 2008, des responsables français auraient envisagé d’équiper le Rafale pour lancer des satellites miniaturisés . [45] En 2011, les mises à niveau envisagées comprenaient une liaison radio et satellite logicielle, une nouvelle nacelle de ciblage laser, des bombes plus petites et des améliorations de la capacité de fusion de données de l’avion. [46] En juillet 2012, des mises à niveau à l’échelle de la flotte des capacités de communication et d’interopérabilité du champ de bataille du Rafale ont commencé. [47] [48] En janvier 2014, le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a annoncé qu’un milliard d’euros était alloué au développement de la norme F3R. La norme verra l’intégration du missile Meteor BVR, entre autres armes et mises à jour logicielles. La norme devait être validée d’ici 2018. [49] [50] [51] Du 26 au 29 avril 2021, une première campagne d’essais a été réalisée par des avions configurés avec la nouvelle norme F4-1. [52] Le Rafale est prévu pour être le principal avion de combat de l’Armée de l’air française jusqu’en 2040 ou plus tard, [53] jusqu’à son remplacement par le chasseur franco-allemand de nouvelle génération . Remplacement futurEn 2018, Dassault a annoncé le successeur du Rafale en tant que chasseur de nouvelle génération . Cet avion de chasse, en cours de développement par Dassault Aviation et Airbus Defence and Space , doit remplacer le Rafale français, l’Eurofighter Typhoon allemand et le F/A-18 Hornet espagnol à l’horizon 2030-2040. [54] ConcevoirAperçuLe Rafale a été développé comme un chasseur à réaction moderne avec un très haut niveau d’agilité ; Dassault a choisi de combiner une aile delta avec un canard monobloc actif pour maximiser la maniabilité. L’avion est capable de supporter de -3,6 g à 9 g (10,5 g sur l’affichage solo du Rafale et un maximum de 11 g peut être atteint en cas d’urgence [55] [56] ). Le Rafale est un avion aérodynamiquement instable et utilise des commandes de vol numériques pour imposer et maintenir artificiellement la stabilité. [56] [N 2] Les canards de l’avion agissent également pour réduire la vitesse minimale d’atterrissage à 115 nœuds(213 km/h; 132 mph); en vol, des vitesses aussi basses que 15 nœuds (28 km / h; 17 mph) ont été observées lors de missions d’entraînement. [56] Selon les simulations de Dassault, le Rafale a des performances à basse vitesse suffisantes pour fonctionner à partir de porte-avions configurés STOBAR , et peut décoller en utilisant un saut à ski sans aucune modification. [58] Le Rafale M dispose d’un train d’ atterrissage fortement renforcé pour faire face aux contraintes supplémentaires des débarquements navals, d’un crochet d’arrêt et d’une roue avant “jump strut”, qui ne s’étend que lors de décollages courts, y compris les lancements de catapulte . [28] Il comprend également une échelle intégrée, un système d’atterrissage à micro -ondes basé sur un transporteur et le nouveau système Telemir à pointe d’aileron pour synchroniser le système de navigation inertielle avec un équipement externe. [31] Au total, les modifications navales du Rafale M augmentent son poids de 500 kilogrammes (1 100 lb) par rapport aux autres variantes. [33] Le Rafale M conserve environ 95 % de points communsavec des variantes de l’Air Force, y compris, [59] bien qu’inhabituel pour les avions basés sur des porte-avions, étant incapable de plier ses ailes à plusieurs longerons pour réduire l’espace de stockage. Les contraintes de taille ont été compensées par l’introduction de Charles de Gaulle , le premier porte-avions à propulsion nucléaire de France , qui était considérablement plus grand que les porte-avions précédents, Foch et Clemenceau . [31] Signature radar Bien qu’il ne s’agisse pas d’un avion furtif plein aspect , dont le coût était considéré comme inacceptablement excessif, le Rafale a été conçu pour une section efficace radar (RCS) et une signature infrarouge réduites . [60] [61] Afin de réduire le RCS, les changements par rapport au démonstrateur technologique initial incluent une réduction de la taille de l’aileron arrière, le remodelage du fuselage, le repositionnement des entrées d’air du moteur sous l’aile de l’avion et l’utilisation intensive de matériaux composites et motifs dentelés pour la construction des bords de fuite des ailes et des canards. [53] [60]70 % de la surface du Rafale est en composite. [62] De nombreuses fonctionnalités conçues pour réduire la visibilité du Rafale face aux menaces restent classifiées. [57] Poste de pilotageLe cockpit en verre du Rafale a été conçu autour du principe de la fusion de données : un ordinateur central sélectionne et hiérarchise les informations à afficher aux pilotes pour un commandement et un contrôle plus simples. [63] Les commandes de vol principales sont disposées dans une configuration compatible avec l’accélérateur et le manche (HOTAS), avec un contrôleur de manche latéral droit et une manette des gaz gauche. [64] Le siège est incliné vers l’arrière à un angle de 29° pour améliorer la tolérance à la force g pendant les manœuvres et pour offrir une vue pilote externe moins restreinte. [65] Une combinaison de vol intelligenteporté par le pilote est automatiquement contrôlé par l’avion pour contrecarrer en réponse aux forces g calculées. [66] Une grande importance a été accordée à la minimisation de la charge de travail des pilotes dans toutes les opérations. [57] Parmi les caractéristiques du cockpit hautement numérisé se trouve un système intégré d’entrée vocale directe (DVI), permettant de contrôler une gamme de fonctions de l’avion par des commandes vocales parlées, simplifiant l’accès du pilote à de nombreuses commandes. [64] Développé par Crouzet , le DVI est capable de gérer les systèmes de radiocommunications et de contre- mesures , la sélection des modes d’armement et radar, et de contrôler les fonctions de navigation. [67] Pour des raisons de sécurité, le DVI n’est délibérément pas utilisé pour les éléments critiques pour la sécurité du fonctionnement de l’avion, tels que le largage final des armes. [68] Pour afficher les informations recueillies à partir d’une gamme de capteurs à travers l’avion, le cockpit comprend un système d’affichage tête haute (HUD) holographique grand angle , deux écrans plats multifonctions couleur (MFD) tête basse ainsi qu’un écran central affichage collimaté . Ces écrans ont été stratégiquement placés pour minimiser la distraction du pilote de l’environnement extérieur. [69] Certains écrans disposent d’une Interface tactile pour faciliter l’interaction homme-ordinateur (HCI). [5] Un visiocasque (HMD) reste à intégrer pour profiter pleinement de ses missiles MICA. [64] [70] [71]Le cockpit est entièrement compatible avec les lunettes de vision nocturne (NVG). [64] Dans le domaine du maintien de la vie , le Rafale est équipé d’un siège éjectable Martin-Baker Mark 16F “zéro-zéro” , capable de fonctionner à vitesse nulle et à altitude nulle. Un système de génération d’oxygène embarqué , développé par Air Liquide , permet de s’affranchir de l’emport de bouteilles d’oxygène encombrantes. [72] L’ordinateur de vol du Rafale a été programmé pour contrer la désorientation du pilote et pour utiliser la récupération automatique de l’avion lors de conditions de vol négatives. Les commandes du pilote automatique et de l’ automanette sont également intégrées et sont activées par des interrupteurs situés sur les commandes de vol principales. [64] Avionique et équipementLes systèmes avioniques de base du Rafale utilisent une avionique modulaire intégrée (IMA), appelée MDPU (modular data processing unit). Cette architecture héberge toutes les principales fonctions de l’avion telles que le système de gestion de vol , la fusion de données, la conduite de tir et l’interface homme-machine. [57] [N 3] La valeur totale du radar, des communications électroniques et de l’équipement d’autoprotection représente environ 30 % du coût de l’ensemble de l’avion. [73] L’IMA a depuis été installé sur plusieurs chasseurs Mirage 2000 améliorés, [74] et incorporé dans l’avion de ligne civil, l’ Airbus A380 . [75]Selon Dassault, l’IMA aide grandement les opérations de combat via la fusion de données, l’intégration et l’analyse continues des différents systèmes de capteurs dans l’avion, et a été conçu pour l’intégration de nouveaux systèmes et avioniques tout au long de la durée de vie du Rafale. [57] Le Rafale dispose d’un système intégré d’aides défensives nommé SPECTRA , qui protège l’avion contre les menaces aériennes et terrestres, développé en joint-venture entre Thales et MBDA . [76] Diverses méthodes de détection, de brouillage et de leurre ont été incorporées, et le système a été conçu pour être hautement reprogrammable pour faire face aux nouvelles menaces et incorporer des sous-systèmes supplémentaires à l’avenir. [77] [N 4] Les opérations au-dessus de la Libye ont été grandement assistées par SPECTRA, permettant aux Rafales d’effectuer des missions indépendamment du soutien des plates-formes dédiées à la suppression des défenses aériennes ennemies (SEAD).[78] La capacité d’attaque au sol du Rafale dépend fortement des modules de ciblage sensoriel [79] , tels que le module de reconnaissance Reco New Generation/Areos de Thales Optronics et le module de désignation électro-optique/laser Damocles . [73] Ensemble, ces systèmes fournissent des informations de ciblage, permettent des missions de reconnaissance tactique et sont intégrés à l’architecture IMA du Rafale pour fournir des flux de données analysées aux unités amies et aux stations au sol, ainsi qu’au pilote. [80] Damoclès fournit des informations de ciblage aux différents armements portés par le Rafale et est directement intégré à la VHF / UHF du Rafaleradio sécurisée pour communiquer des informations sur la cible avec d’autres aéronefs. Il remplit également d’autres fonctions clés telles que la surveillance optique aérienne et est intégré au système de navigation en tant que FLIR . [80] Le pod de désignation Damocles a été décrit comme “manquant de compétitivité” par rapport à des rivaux tels que les pods Sniper et LITENING ; [81] alors le travail a commencé sur une nacelle améliorée, désignée Damocles XF, avec des capteurs supplémentaires et une capacité supplémentaire à transmettre des flux vidéo en direct. [82] Un nouveau pod de ciblage Thales, le Talios, a été officiellement dévoilé au Farnborough Air Show 2014 [83] et devrait être intégré sur le Rafale d’ici 2018. [84] Le pod de reconnaissance Areos de Thales est un système de reconnaissance de nuit et de jour utilisé sur le Rafale, et offre une capacité de reconnaissance considérablement améliorée par rapport aux plates-formes précédentes. [85] [N 5]Areos a été conçu pour effectuer des reconnaissances sous divers profils et conditions de mission, en utilisant plusieurs capteurs jour/nuit et ses propres liaisons de données de communication indépendantes. [80] Radar et capteurs Le Rafale a d’abord été équipé du radar passif multimode à balayage électronique Thales RBE2 . Thales affirme avoir atteint des niveaux accrus de connaissance de la situation par rapport aux avions précédents grâce à la détection et au suivi plus précoces de plusieurs cibles aériennes pour le combat rapproché et l’interception à longue distance, ainsi qu’à la génération en temps réel de cartes tridimensionnelles pour le suivi du terrain. et la génération en temps réel de cartes au sol haute résolution pour la navigation et le ciblage. [86] Au début de 1994, il a été rapporté que des difficultés techniques avec le radar avaient retardé le développement du Rafale de six mois. [61] En septembre 2006, Flight Internationala rapporté que le coût unitaire du Rafale avait considérablement augmenté en raison de travaux de développement supplémentaires pour améliorer la portée de détection du RBE2. [87] Le radar à réseau actif à balayage électronique (AESA) RBE2 AA remplace désormais l’ancien RBE2 à balayage passif. On rapporte que le RBE2 AA offre une plus grande portée de détection de 200 km, [88] une fiabilité améliorée et des exigences de maintenance réduites par rapport au radar précédent. [89] Un démonstrateur Rafale a commencé des vols d’essai en 2002 et a totalisé 100 heures de vol en décembre 2011. En décembre 2009, la production des radars RBE2 AA de pré-série était en cours. [85] Début octobre 2012, le premier Rafale équipé d’un radar RBE2 AA est arrivé à la base aérienne de Mont-de-Marsan pour le service opérationnel (le développement a été décrit par Thales et Dassault comme “dans les délais et dans les limites du budget”). [89]Début 2014, le premier escadron de première ligne de l’armée de l’air était censé recevoir des Rafale équipés du radar AESA, après la Marine nationale qui devait recevoir des Rafale équipés d’AESA à partir de 2013. [90] Pour permettre au Rafale de jouer son rôle de suprématie aérienne, il intègre plusieurs systèmes de capteurs passifs. Le système électro-optique secteur avant ou Optronique Secteur Frontal (OSF), développé par Thales, est complètement intégré à l’avion et peut fonctionner aussi bien dans le visible que dans l’ infrarouge . [91] L’OSF permet le déploiement de missiles infrarouges tels que le MICA à des distances au -delà de la portée visuelle ; il peut également être utilisé pour détecter et identifier des cibles aéroportées, ainsi que celles au sol et en mer. [92] Dassault décrit l’OSF comme étant à l’abri du brouillage et capable de fournir une surveillance secrète à longue portée. [86]En 2012, une version améliorée de l’OSF a été déployée opérationnellement. [89] Armement et normesLes livraisons initiales du Rafale M étaient au standard F1 (“France 1”), qui étaient équipés pour les fonctions de combat d’intercepteur air-air, mais manquaient d’armement pour les opérations air-sol. La norme F1 est devenue opérationnelle en 2004. [93] [94] Les livraisons ultérieures étaient à la norme “F2”, qui a ajouté la capacité de mener des opérations air-sol; le premier Rafale M standard F2 a été livré à la marine française en mai 2006 . a été signalé que tous les avions construits selon les normes F1 et F2 antérieures devaient être mis à niveau pour devenir des F3.[64] [71] Les Rafale standard F3 sont capables d’entreprendre de nombreux rôles de mission différents avec une gamme d’équipements, à savoir des missions de défense aérienne / supériorité avec des missiles air-air Mica IR et EM, et des attaques au sol de précision utilisant généralement des missiles de croisière SCALP EG et des missiles AASM Hammer . missiles à la surface. De plus, des missions anti-navigation pourraient être effectuées à l’aide du missile d’écrémage en mer AM39 Exocet , tandis que les vols de reconnaissance utiliseraient une combinaison d’équipements de capteurs embarqués et externes basés sur des nacelles. De plus, l’avion pourrait mener des frappes nucléaires lorsqu’il est armé de missiles ASMP-A . [96] En 2010, la France a commandé 200 missiles hors-portée MBDA Meteor ce qui augmentera fortement la distance à laquelle le Rafale pourra engager des cibles aériennes lors de la mise en service du missile. [97] [98] Le programme standard F4 a été lancé le 20 mars 2017 par le ministère français de la défense. [99] Pour la compatibilité avec des armements de types et d’origines variés, le système de gestion des magasins embarqués du Rafale est conforme à la norme MIL-STD-1760 , une interface électrique entre un avion et ses magasins de transport, simplifiant ainsi l’incorporation de bon nombre de leurs armes et équipements existants. [57] Le Rafale est généralement équipé de 14 points d’ emport (seulement 13 sur la version Rafale M), dont cinq sont adaptés à l’armement lourd ou à des équipements tels que des réservoirs de carburant auxiliaires, et a une capacité de charge externe maximale de neuf tonnes. En plus des équipements ci-dessus, le Rafale embarque le canon revolver GIAT 30 de 30 mm et peut être équipé d’une gamme de bombes à guidage laser et de munitions d’attaque au sol. [57]Selon Dassault, les systèmes de mission embarqués du Rafale permettent de mener des opérations d’attaque au sol et de combat air-air en une seule sortie, avec de nombreuses fonctions capables d’être exécutées simultanément en conjonction avec une autre, augmentant la capacité de survie et la polyvalence. [57] Moteurs Le Rafale est équipé de deux moteurs Snecma M88, chacun capable de fournir jusqu’à 50 kilonewtons (11 000 livres-force) de poussée sèche et 75 kN (17 000 lb f ) avec postcombustion. Les moteurs présentent plusieurs avancées, notamment une chambre de combustion non polluante [ clarification nécessaire ] , des aubes de turbine monocristallines, des disques de métallurgie des poudres et une technologie permettant de réduire les signatures radar et infrarouge . [57] Le M88 permet au Rafale de super-croisière tout en emportant quatre missiles et un réservoir de largage. [100] [101] La qualification du moteur M88-2 a pris fin en 1996 et le premier moteur de production a été livré à la fin de l’année. [102] En raison de retards dans la production de moteurs, le démonstrateur Rafale A était initialement propulsé par le moteur General Electric F404. [3] [103] En mai 2010, un Rafale a volé pour la première fois avec le moteur M88-4E, une variante améliorée avec une plus grande poussée et des exigences de maintenance inférieures au M88-2 précédent. [104] Le moteur est de conception modulaire pour faciliter la construction et la maintenance et pour permettre aux moteurs plus anciens d’être modernisés avec des sous-sections améliorées selon la disponibilité, comme les M88-2 existants mis à niveau vers la norme M88-4E. [102]Des clients potentiels à l’exportation, tels que les Émirats arabes unis (EAU), ont manifesté leur intérêt pour des moteurs M88 plus puissants. [105] À partir de 2007, une variante de vectorisation de poussée du moteur désignée sous le nom de M88-3D était également en cours de développement. [94] Historique opérationnelFrance Aéronavale française En décembre 2000, l’ Aéronavale ( Aéronavale ), la branche aérienne de la Marine nationale, reçoit ses deux premiers chasseurs Rafale M. Le 18 mai de l’année suivante, l’escadron Flottille 12F , qui avait précédemment exploité le F-8 Crusader, devient le premier escadron à exploiter le Rafale après sa réactivation officielle avant la livraison du sixième Rafale. [106] La Flottille 12F a immédiatement participé au Trident d’Or à bord du porte-avions Charles de Gaulle avec des navires de guerre de dix autres nations. Pendant l’ exercice maritime, la Marine a testé l’avionique du Rafale lors d’interceptions simulées avec divers avions étrangers, en plus des décollages et atterrissages de porte-avions. [106] [107] Après près de quatre ans d’entraînement, le Rafale M est déclaré opérationnel auprès de la Marine nationale en juin 2004. [108] Le Rafale M est entièrement compatible avec les porte- avions de l’US Navy et certains pilotes de la Marine française se sont qualifiés pour piloter l’avion depuis les ponts d’envol de l’US Navy. [109] Le 4 juin 2010, lors d’un exercice sur l’ USS Harry S. Truman , un Rafale français devient le premier chasseur à réaction d’une marine étrangère à voir son moteur remplacé à bord d’un porte-avions américain. [110] En 2002, les Rafale ont d’abord été déployés en zone de combat ; sept Rafale M ont embarqué à bord du Charles de Gaulle de la Marine nationale française lors de la « Mission Héraclès », la participation française à « l’opération Enduring Freedom ». Ils ont volé depuis le porte-avions au-dessus de l’Afghanistan, mais la norme F1 excluait les missions air-sol et le Rafale n’a vu aucune action. En juin 2002, alors que le Charles de Gaulle se trouve en mer d’Oman, le Rafale effectue plusieurs patrouilles près de la frontière indo-pakistanaise. [5] [111] En 2016, des Rafale opérant depuis Charles de Gaulle ont frappé des cibles associées à l’ État islamique d’Irak et du Levant . [112] En décembre 2015, des responsables militaires américains et français auraient discuté de la possibilité que le Rafale Ms de la marine française effectue des missions de combat à partir d’un porte-avions de classe Nimitz de la marine américaine dès janvier 2017. Cela permettrait la poursuite des opérations de la marine française contre l’EIIL pendant que Charles de Gaulle subit son radoub majeur d’un an et demi, prévu pour début 2017. Bien que des Rafale aient été lancés et atterris sur des porte-avions américains pour démontrer leur interopérabilité, ce serait la première fois qu’ils effectueraient des missions de combat à partir d’un seul. Jusqu’à 18 Rafale M pourraient être déployés sur un porte-avions, même s’il faudrait faire de la place pour les équipages de soutien de la Marine française familiarisés avec la maintenance du Rafale, ainsi que pour les pièces de rechange et les munitions. [113]L’opération Chesapeake, un test de cette interopérabilité, a été menée en mai 2018, lorsque 12 Rafale des flottilles 11F, 12F et 17F , ainsi que près de 350 personnels de soutien ont embarqué à bord du USS George HW Bush pour deux semaines de qualifications et d’exercices de transport après avoir effectué un mois de formation à terre à Naval Air Station Oceana . [114] Armée de l’air et de l’espace française Les Rafale ont été livrés à l’Armée de l’air française plusieurs années après la variante navale, initialement avec le Centre d’Expériences Aériennes Militaires (Centre d’évaluation de l’Armée de l’air française) à la base aérienne de Mont-de-Marsan dans le rôle d’essais et d’entraînement. À cette époque, on s’attendait à ce que l’escadron de chasse 1/7 à Saint -Dizier reçoive un noyau de 8 à 10 Rafale F2 au cours de l’été 2006, en vue d’un service opérationnel complet (avec un air-to robuste -capacités d’attaque de précision air et air-sol à distance) à partir de la mi-2007 (lorsque l’ EC 1/7 aurait environ 20 avions, 15 biplaces et cinq monoplaces). [108] [115] En 2007, après un “crash program”, six Rafale ont reçu la capacité de larguer des bombes à guidage laser, en vue de les engager en Afghanistan. Trois de ces appareils appartenant à l’armée de l’air ont été déployés à Douchanbé au Tadjikistan, tandis que les trois autres étaient des Rafale Marine de la Marine nationale à bord du Charles De Gaulle . [116] La première mission a eu lieu le 12 mars 2007 et la première GBU-12 a été lancée le 28 mars pour soutenir les troupes néerlandaises assiégées dans le sud de l’Afghanistan, marquant le début opérationnel du Rafale. [117] Entre janvier 2009 et décembre 2011, un minimum de trois Rafale étaient stationnés à l’aéroport international de Kandaharmener des opérations de combat en appui aux forces terrestres de l’OTAN. [118] Le 19 mars 2011, les Rafale français ont commencé à mener des missions de reconnaissance et de frappe au-dessus de la Libye dans le cadre de l’ opération Harmattan , en appui à la résolution 1973 du Conseil de sécurité des Nations unies ; les cibles initiales étaient des pièces d’artillerie assiégeant la ville rebelle de Benghazi . [119] Le Rafale pourrait opérer en Libye sans le soutien des avions SEAD, en utilisant à la place le système d’autodéfense embarqué SPECTRA. [78] Le 24 mars 2011, il a été signalé qu’un Rafale avait détruit un avion léger d’attaque/entraînement G-2/Galeb de l’armée de l’air libyenne sur la piste. [120] Pendant le conflit, les Rafales effectuaient généralement des sorties de six heures au-dessus de l’espace aérien libyen, transportant un armement de quatre missiles air-air MICA, quatre ou six bombes AASM “Hammer”, une nacelle de ciblage Thales Damoclès et deux réservoirs largables ; [78] ces patrouilles nécessitaient plusieurs opérations de ravitaillement en vol par sortie des avions ravitailleurs de la coalition. [121] Le système d’arme à guidage de précision AASM, utilisant des bombes pesant entre 125 kilogrammes (280 lb) et 1 000 kg (2 200 lb), a permis au Rafale de mener des missions de bombardement à haute altitude. [121] Apparemment, les équipages de Rafale ont préféré utiliser des munitions guidées par GPS en raison d’une fiabilité et d’une portée supérieures. Cuir chevelu d’ ombre d’orageles armes n’ont été déployées que lors d’une ou deux sorties, dont une contre une base aérienne libyenne à Al-Jufra. [122] En 2011, le journaliste aéronautique Craig Hoyle a émis l’hypothèse que les performances du Rafale en Libye seraient probablement essentielles à son avenir d’exportation, rapportant que le Rafale avait maintenu un taux opérationnel élevé tout au long du déploiement. Hoyle a également noté que l’expérience de combat libyenne avait fait se présenter plusieurs exigences opérationnelles urgentes, telles que la nécessité d’une munition d’attaque au sol plus légère et de modifier l’arme AASM pour qu’elle soit plus efficace dans le rôle d’appui aérien rapproché . [121] En janvier 2013, le Rafale a participé à « Opération Serval », l’intervention militaire française en soutien au gouvernement du Mali contre le Mouvement pour l’unicité et le Jihad en Afrique de l’Ouest . [123] La première mission a été effectuée le 13 janvier, lorsque quatre Rafale ont décollé d’une base aérienne en France pour frapper des camps d’entraînement, des dépôts et des installations rebelles dans la ville de Gao , dans l’est du Mali. [124] Des frappes aériennes ultérieures dans les jours suivants par des combattants Rafale et Mirage auraient joué un rôle déterminant dans le retrait des forces militantes islamistes de Tombouctou et de Douentza . [125]Les avions Rafale et Mirage 2000D utilisés dans le conflit ont été basés en dehors de l’Afrique du Nord, utilisant des avions ravitailleurs en vol pour effectuer des sorties à longue distance dans l’espace aérien algérien et au Mali. [126] En août 2013, il a été proposé que la France puisse diviser par deux le nombre de Rafale à livrer au cours des six prochaines années pour un total de 26 appareils à livrer durant cette période ; les achats à l’étranger pour l’exportation ont été considérés comme essentiels pour maintenir la production dans le cadre de cette proposition. Alors que la production serait ralentie, la France recevrait toujours le même nombre de Rafale dans l’ensemble. [127] En septembre 2014, des Rafales ont commencé à effectuer des missions de reconnaissance au-dessus de l’Irak dans le cadre de l’ opération Chammal , la contribution de la France à l’effort international de lutte contre les militants de l’État islamique (EI). Six (plus tard neuf) Rafale ont été initialement chargés d’identifier les positions de l’EI en soutien aux frappes aériennes américaines , volant depuis la base aérienne d’Al Dhafra , aux Émirats arabes unis. [128] [129] Le 18 septembre, Rafales a rejoint les opérations américaines pour mener des attaques, lançant quatre frappes près de la ville de Zummar , dans le nord de l’Irak, qui ont détruit un dépôt logistique et tué des dizaines de combattants de l’EI. [130] [131] En avril 2018, pendant la guerre civile syrienne , cinq chasseurs Rafale B de l’ Escadron de Chasse 1/4 Gascogne ont participé aux frappes de missiles de 2018 contre la Syrie . Chaque jet était chargé de deux missiles SCALP EG . [132] EgypteEn novembre 2014, l’Égypte serait en négociation avec la France pour l’achat de 24 à 36 Rafale, sous réserve d’un accord de financement. [133] En février 2015, les deux pays négociaient un prêt auprès de l’agence française de crédit à l’exportation pour conclure un accord d’exportation portant sur jusqu’à 24 chasseurs Rafale. L’Égypte espérait conclure l’affaire rapidement pour avoir des avions exposés lors de l’inauguration de l’ expansion du canal de Suez en août 2015. [134] Le 16 février 2015, l’Égypte est devenue le premier client international du Rafale lorsqu’elle a officiellement commandé 24 Rafale [135] dans le cadre d’un accord plus vaste, comprenant une frégate polyvalente FREMM et des missiles, d’une valeur de 5,9 milliards de dollars (5,2 milliards d’euros). [136] [137] La commande comprenait 8 modèles monoplaces et 16 biplaces. En juillet 2015, une cérémonie marquant la réception par l’Égypte de ses trois premiers Rafale s’est tenue au centre d’essais en vol de Dassault à Istres . [138] En janvier 2016, l’Égypte a reçu trois autres Rafale pour un total de six combattants. [139] Les six appareils sont des modèles biplaces (Rafale DM) détournés des livraisons à l’Armée de l’air française. [140]L’Égypte a reçu le troisième lot de trois Rafale pilotés par des pilotes égyptiens depuis la France en avril 2017 ; cela comprenait le premier modèle monoplace (Rafale EM) à être livré à l’ armée de l’air égyptienne . [141] L’Égypte a pris livraison du quatrième lot de deux Rafale EM en juillet 2017. [142] Le cinquième lot, comprenant les 3 derniers Rafale EM, a été livré en novembre 2017, portant le nombre en service à 14 Rafale. [143] En juin 2016, l’Égypte a entamé des négociations avec Dassault pour acquérir 12 Rafale supplémentaires, avec l’intention d’exercer une option sur le premier contrat. [144] [145] Une délégation égyptienne s’est rendue en France en novembre 2017 pour des négociations. [146] En mai 2021, l’Égypte a commandé 30 autres Rafale dans le cadre d’un contrat d’une valeur de 4,5 milliards de dollars. [147] [148] Le 15 novembre 2021, l’Égypte a confirmé que son armée de l’air recevrait 30 Rafale F3R entre 2024 et 2026. [ citation nécessaire ] L’armée de l’air égyptienne est intéressée à acheter la variante Rafale F4 une fois que Dassault Aviation se préparera à variante F4 de nouvelle génération pour les acheteurs étrangers. [149] Qatar La Qatar Emiri Air Force a évalué le Rafale aux côtés du Boeing F/A-18E/F Super Hornet , du Boeing F-15E , de l’ Eurofighter Typhoon et du Lockheed Martin F-35 Lightning II pour remplacer sa flotte de Dassault Mirage 2000-5 . En juin 2014, Dassault affirmait être sur le point de signer un contrat avec le Qatar pour 72 Rafale. [150] Le 30 avril 2015, le cheikh Tamim bin Hamad Al Thani a annoncé au président français François Hollande que le Qatar commanderait 24 Rafale avec une option d’achat de 12 appareils supplémentaires. [151]Le 4 mai, un contrat de 6,3 milliards d’euros (7,02 milliards de dollars) pour 24 Rafale a été finalisé ; en outre, le contrat prévoyait la fourniture de missiles de croisière à longue portée et de missiles Meteor ainsi que la formation de 36 pilotes qataris et de 100 techniciens par l’armée française et plusieurs officiers du renseignement qataris ; ainsi, le prix peut être considéré comme 263 M € pour chaque avion. [152] [153] Le 7 décembre 2017, l’option pour 12 autres Rafale a été exercée pour 1,1 milliard d’euros (soit 92 millions d’euros chacun) tout en ajoutant une option supplémentaire pour 36 autres chasseurs. [154] Le premier Rafale qatari a été livré en février 2019. [155] [156] Inde Le Rafale était l’un des six avions en compétition dans la compétition indienne MRCA pour 126 chasseurs multirôles. A l’origine, le Mirage 2000 avait été envisagé pour la compétition, mais Dassault l’a retiré au profit du Rafale. [157] En février 2011, des Rafale français ont effectué des démonstrations en Inde, notamment des combats air-air contre des Su-30MKI . [158] En avril 2011, l’ armée de l’air indienne (IAF) a présélectionné le Rafale et l’Eurofighter Typhoon pour le contrat de 10,4 milliards de dollars. [159] Le 31 janvier 2012, l’IAF a annoncé le Rafale comme soumissionnaire préféré. [160] [161]Il a été proposé que 18 Rafale soient fournis à l’IAF d’ici 2015 en état de vol, tandis que les 108 autres seraient fabriqués par Hindustan Aeronautics Limited (HAL) en Inde dans le cadre d’accords de transfert de technologie . [162] [163] Le contrat pour 126 Rafale, les services et les pièces peut avoir valu jusqu’à 20 milliards de dollars américains. [164] [165] L’accord a été bloqué en raison de désaccords sur la production en Inde. Dassault a refusé d’assumer la responsabilité des 108 Rafales fabriqués par HAL, émettant des réserves sur la capacité de HAL à s’adapter à la fabrication complexe de l’avion et aux transferts de technologie; au lieu de cela, Dassault a déclaré qu’il devrait négocier deux contrats de production distincts par les deux sociétés. Le ministère indien de la Défense voulait plutôt que Dassault soit seul responsable de la vente et de la livraison des 126 avions. [166] [167] En mai 2013, le Times of India a rapporté que les négociations étaient « de retour sur les rails », avec des plans pour la livraison des 18 premiers Rafale en 2017. [168]En mars 2014, les deux parties auraient convenu que les 18 premiers Rafale seraient livrés à l’Inde en état de vol et que les 108 restants seraient construits à 70 % par HAL. [169] En décembre 2014, l’Inde et la France s’attendaient à signer un contrat d’ici mars 2015. [170] En avril 2015, lors de la visite du Premier ministre Narendra Modi à Paris, l’Inde a demandé la livraison rapide de 36 Rafale en état de vol. [171] [172] Le ministre indien de la Défense Manohar Parrikar a déclaré que ceux-ci seront intronisés dans l’IAF d’ici deux ans. [173] L’Inde a officiellement retiré l’appel d’offres MMRCA de 126 appareils le 30 juillet 2015. [174]Peu de temps après, l’Inde et la France ont raté l’objectif de juillet de finaliser l’accord sur les 36 avions. Les conditions précédemment convenues en avril totalisaient 8 milliards de dollars pour 36 avions coûtant 200 millions de dollars chacun, avec une exigence de compensation de 30% de la valeur de l’accord à réinvestir dans le secteur de la défense indien et à créer une infrastructure pour les opérations Rafale. L’Inde a insisté sur une compensation de 50% et deux bases, ce qui, selon la France, augmenterait les coûts et nécessiterait une infrastructure distincte et deux ensembles d’installations de maintenance, de formation et de stockage d’armement. [175] En janvier 2016, le gouvernement indien a ordonné à la marine indienne d’être informée par Dassault sur le Rafale navalisé pour ses porte-avions, promouvant la logistique et les points communs entre les chasseurs de la marine et de l’armée de l’air.[176] Le PDG de Dassault, Eric Trappier, a déclaré que la marine indienne pourrait commander jusqu’à 57 Rafale. [177] Le 23 septembre 2016, le ministre indien de la Défense Manohar Parrikar et son homologue français Jean-Yves Le Drian ont signé un contrat de 7,8 milliards d’euros pour 36 Rafale standard avec une option pour 18 autres au même prix corrigé de l’inflation. [178] Les premiers Rafale devaient être livrés d’ici 2019, et l’Inde devrait avoir les 36 d’ici six ans. [179] L’accord comprend des armes et des pièces de rechange, dont des missiles Meteor BVRAAM. [180] [181] L’ Inde a envisagé de commander 36 autres Rafale vers août 2017 dans un contexte de tensions avec la Chine. [182] Le Congrès national indien a soulevé un problème concernant le partenariat de Dassault avec Reliance Defence d’ Anil Ambani , désormais connue sous le nom de Reliance Naval and Engineering Limited (R-Naval), une société privée sans expérience en aviation, au lieu de la société d’État HAL. Apparemment, Dassault n’a pas eu le choix et a été contraint de choisir Reliance Defence comme partenaire. Rahul Gandhi a allégué qu’il s’agissait de favoritisme et de corruption. Le gouvernement français et Dassault ont publié un communiqué de presse indiquant que c’était la décision de Dassault de choisir Reliance Defence. [183] [184] Porte -parole du parti Manish Tewaria demandé que les détails de l’accord soient rendus publics et s’est demandé s’il y avait une augmentation du coût par avion de ₹ 7,15 milliards à ₹ 16 milliards. [185] En novembre 2018, le Congrès a allégué que les procédures de passation des marchés avaient été contournées lors de l’acquisition du Rafale. Une affaire de litige d’intérêt public (PIL) a été déposée devant la Cour suprême pour une enquête indépendante sur l’acquisition du Rafale. Le 14 décembre 2018, sur la base de tous les détails de tarification ainsi que des étapes de finalisation, le tribunal Apex a rejeté toutes les requêtes, déclarant qu’il n’avait trouvé aucune irrégularité dans l’achat; Reliance Defence devait recevoir un peu plus de 3% des 300 milliards de ₹ (équivalent à ₹340 milliards ou 4,5 milliards de dollars en 2020) de compensations, contrairement à l’impression qu’il devait être le plus grand bénéficiaire de l’accord Rafale. [186] [187] En mars 2019, des responsables du gouvernement indien ont demandé à des Rafales de remplacer les MiG-21 vieillissants et de contrer les F-16 pakistanais . [188] Avant la remise officielle du premier Rafale le 8 octobre 2019, Journée de l’armée de l’air indienne 2019, l’IAF a accepté l’avion à l’usine Dassault de Bordeaux lors d’un événement auquel ont assisté le ministre de la Défense Rajnath Singh et son homologue française, Florence Parly ; il avait le numéro de queue “RB-001” pour marquer le rôle du maréchal en chef désigné de l’IAF RKS Bhadauria dans l’accord de 2016. [189] En 2018, il a été signalé que le Rafale était en concurrence avec plusieurs autres avions dans le cadre d’un nouvel appel d’offres pour 114 avions de combat multi-rôles, appelé MMRCA 2.0 dans les médias indiens. [190]
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La livraison de 36 Rafale a commencé le 27 juillet 2020 avec les 5 premiers Rafale livrés à l’armée de l’air indienne depuis la France. [191] En juillet 2021, un total de 26 Rafale avaient été réceptionnés. [192]Trois Rafale avec des améliorations spécifiques à l’Inde ont été remis à l’IAF en France le 25 janvier 2022 et sont arrivés en Inde le 15 février 2022. Il s’agit notamment du missile air-air Meteor à longue portée, des brouilleurs de fréquence à bande basse, des systèmes de communication avancés, une radio plus performante. altimètre, récepteur d’alerte radar, démarrage moteur à haute altitude, radar à synthèse d’ouverture, indicateur et suivi de cible mobile au sol, systèmes d’avertissement d’approche de missile et leurres à très haute fréquence. Une fois ces Rafale testés et vérifiés, la mise à niveau des 32 autres avec des améliorations spécifiques à l’Inde sera effectuée avec tous les équipements associés déjà avec l’IAF. Le dernier Rafale arrivé en avril 2022 est un avion d’entraînement. [193]L’armée de l’air et la marine indiennes ont également manifesté leur intérêt pour davantage d’achats de chasseurs Rafale. [194] [195] GrèceEn août 2020, le gouvernement grec a annoncé l’acquisition de dix-huit avions multirôles Rafale. [196] [197] Les rapports initiaux indiquaient que dix seraient la nouvelle variante Rafale C au standard F3-R avec huit Rafale plus anciens au standard F1 et F2 utilisés par l’Armée de l’air française, qui seraient donnés à la Grèce. [198] Cependant, des rapports ultérieurs ont déclaré que les 18 avions seraient livrés selon la norme F3-R et remplaceraient un nombre égal d’anciens avions Mirage 2000 EGM en service avec l’ armée de l’air hellénique . [199] En janvier 2021, l’accord officiel avec Dassault Aviation a été ratifié par le Parlement hellénique et prévoyait l’achat de six avions F3-R neufs et de 12 avions d’occasion en service antérieur avec l’ Armée de l’Air pour un coût total de 2,4 milliards d’euros. , y compris leur armement et leur appui au sol. [200] [201] [202] L’accord intergouvernemental a été signé le 25 janvier 2021 par les ministres de la Défense de la Grèce et de la France. [203] [204] En avril 2021, il a été signalé que la Grèce envisageait d’acquérir six Rafale supplémentaires. [205] [206] Le premier avion, un Rafale B biplace, a été livré le 21 juillet 2021. [207] Le 11 septembre 2021, le Premier ministre Kyriakos Mitsotakis à la Foire internationale de Thessalonique 2021 a annoncé l’achat de 6 Rafale supplémentaires, portant le total de la commande à 24. [208] Le 24 mars 2022, la Grèce a signé le contrat d’achat des six chasseurs Rafale supplémentaires jets. Les avions doivent être livrés à partir de l’été 2024. [209] Le 19 janvier 2022, les 6 premiers Rafale atterrissent sur la base aérienne de Tanagra où a lieu une cérémonie d’accueil. [210] Futurs opérateursCroatie La Croatie a officiellement reçu une proposition de 12 Rafale F3R de l’Armée de l’air française d’occasion en septembre 2020 pour un appel d’offres visant à remplacer ses MiG-21 vieillissants . Le package total proposé coûte 1 milliard d’ euros (y compris les systèmes d’armes, les pièces de rechange, la logistique et la formation), et est en concurrence avec le nouveau F-16V Block 70, le F-16C/D Barak d’occasion israélien ramené à la configuration ACE standard, et le suédois Gripen C/ RÉ. [211] Le 28 mai 2021, le Premier ministre croate Andrej Plenković a annoncé la décision du gouvernement croate d’acheter 12 chasseurs français Rafale F3R d’occasion, pour remplacer les chasseurs MiG-21bis utilisés par l’armée de l’air croate . [212] [213] [214] [215]Le contrat a été signé le 25 novembre 2021. [216] [217] [218] [219] Indonésie En janvier 2020, le gouvernement indonésien a exprimé un certain intérêt à acheter jusqu’à 48 Rafale pour moderniser son armée de l’ air . [220] [221] En février 2021, le ministre indonésien de la Défense Prabowo Subianto a annoncé que l’achat de 36 unités, dans le cadre d’un ambitieux programme d’approvisionnement comprenant des ravitailleurs A330 et des produits américains complémentaires, est officiellement prévu et que des fonds ont été sécurisés pour sa finalisation. [222] Le 7 juin 2021, l’Indonésie a signé une lettre d’intention pour acheter à la France 36 chasseurs Rafale et les armes et ensembles de soutien associés. [223] Le 20 janvier 2022, le ministre indonésien de la Défense, Prabowo Subianto , a confirmé que l’Indonésie avait achevé la négociation du contrat en attendant l’activation de l’accord formel par la France. [224] Le 10 février 2022, Dassault Aviation a déclaré que l’Indonésie avait officiellement signé une commande de 42 Rafale F4, concluant deux ans de négociations avec 6 avions pour le lot I. [225] [226] L’avion est composé de 30 monoplaces et 12 places doubles. [227] Emirats Arabes Unis En 2009, l’ armée de l’air des Émirats arabes unis s’est intéressée à une version améliorée du Rafale avec des moteurs et un radar plus puissants et des missiles air-air avancés. [228] En octobre 2011, Dassault était convaincu qu’un accord de 10 milliards de dollars américains portant sur jusqu’à 60 avions Rafale serait signé. [229] Cependant, le commandant suprême adjoint des Forces de défense de l’Union , Mohammed bin Zayed Al Nahyan , a qualifié en novembre 2011 l’offre française de « non compétitive et irréalisable » ; [230] En 2010, la France avait demandé aux Émirats arabes unis de payer 2,6 milliards de dollars du coût total de la modernisation du Rafale. [231] Par conséquent, les EAU ont commencé à explorer un achat de l’Eurofighter Typhoon [232]ou le F/A-18E/F Super Hornet. [233] Le journal La Tribune a rapporté en février 2012 que les Émirats arabes unis envisageaient toujours un accord de 10 milliards de dollars pour 60 Rafale. L’interopérabilité des forces aériennes du Golfe a suscité un regain d’intérêt pour le Rafale depuis le Qatar et le Koweït. [234] En janvier 2013, le président Hollande a déclaré qu’il discuterait de la vente potentielle du Rafale aux EAU lors d’une visite officielle. [235] En décembre 2013, il a été annoncé que les EAU avaient décidé de ne pas conclure d’accord pour la fourniture de services de défense et de sécurité, y compris la fourniture d’avions Typhoon. [236] En septembre 2014, il a été annoncé que les Émirats arabes unis pourraient acquérir 40 Rafale en plus des mises à niveau de leurs Mirage 2000 existants. [237]En novembre 2015, Reuters a rapporté que le général de division Ibrahim Nasser Al Alawi, commandant de l’armée de l’air et de la défense aérienne des Émirats arabes unis, avait confirmé que les Émirats arabes unis étaient en négociations finales pour acheter 60 Rafale. [238] En 2019, une série d’essais de Rafale F3-R ont été menés à la base aérienne d’Al Dhafra aux Émirats arabes unis. [239] Le 3 décembre 2021, Dassault Aviation a annoncé que les Émirats arabes unis avaient signé une commande de 80 Rafale F4 dans le cadre d’un accord de gouvernement à gouvernement. [240] L’accord récent fait des Émirats arabes unis le plus grand opérateur Rafale de la région et le deuxième derrière la France. [241] Elle est intervenue après la visite d’Emmanuel Macron aux EAU. [242] L’accord a été critiqué par Human Rights Watch en raison de l’implication des Émirats dans les conflits au Yémen et en Libye. [243] Opérateurs potentielsLes analystes considèrent la série relativement rapide de 84 [244] commandes en provenance d’Égypte et du Qatar comme étant influencée par le printemps arabe et l’incertitude de l’implication américaine au Moyen-Orient. [245] Bengladesh En 2020 , La Tribune rapporte que, les 8 et 9 mars, la ministre française des Armées Florence Parly a “loué les performances du Rafale” au Premier ministre Cheikh Hasina , qui est également ministre de la Défense. [246] [247] [248] Irak En novembre 2020, le ministre irakien de la Défense Jumaa Adnan a déclaré que l’Irak prévoyait d’acheter des Rafales français pour l’armée de l’air irakienne . [249] En février 2022, il est rapporté que l’Irak a l’intention d’acquérir 14 avions de combat Rafale F4, payables en pétrole brut . [250] [251] Malaisie Le Rafale était un concurrent pour le remplacement du Mikoyan MiG-29 de la Royal Malaysian Air Force (RMAF) , avec l’obligation d’équiper trois escadrons de 36 à 40 nouveaux avions de chasse avec un budget estimé de 6 à 8 milliards de RM (États-Unis). 1,84 milliard de dollars à 2,46 milliards de dollars américains). Les autres concurrents du programme étaient l’Eurofighter Typhoon, le Boeing F/A-18/F Super Hornet et le Saab JAS 39 Gripen. [252] En juillet 2017, le projet d’acquisition de nouveaux chasseurs à réaction a été suspendu, la Royal Malaysian Air Force cherchant plutôt à acheter de nouveaux avions de patrouille maritime et des entraîneurs avancés dotés de capacités d’attaque légères pour faire face à la menace croissante des militants islamistes dans la région de l’Asie du Sud-Est. . [253] [254] Arabie Saoudite En février 2022, La Tribune rapportait que l’Arabie saoudite s’intéressait au Rafale. [255] Serbie Le président de la Serbie , Aleksandar Vučić , a déclaré dans une interview le 24 décembre 2021 que la Serbie était intéressée par l’achat de nouveaux avions Rafale, pour aider à renforcer l’ armée de l’air et la défense aérienne serbes . [256] [257] La Tribune a rapporté en avril 2022 que les autorités serbes et Dassault travaillent sur un contrat pour 12 nouveaux jets. [258] Suisse En février 2007, il a été signalé que la Suisse envisageait le Rafale et d’autres chasseurs pour remplacer ses Northrop F-5 Tiger II vieillissants . [259] Une évaluation d’un mois a débuté en octobre 2008 à la base aérienne d’Emmen, consistant en environ 30 vols d’évaluation ; le Rafale ainsi que le JAS 39 Gripen et le Typhoon ont été évalués. [260] Bien qu’un rapport d’évaluation de l’armée de l’air suisse ayant fait l’objet d’une fuite ait révélé que le Rafale avait remporté le concours pour des raisons techniques, [N 6] le 30 novembre 2011, le Conseil fédéral suisse a annoncé qu’il prévoyait d’acheter 22 Gripen NG en raison de la baisse de son acquisition et coûts de maintenance. [262] En raison d’ un référendum, cet achat n’a jamais eu lieu. En mars 2018, les autorités suisses ont nommé des prétendants à son programme Air 2030 : le Saab Gripen, Dassault Rafale, l’Eurofighter Typhoon, le Boeing F/A-18E/F Super Hornet et le Lockheed Martin F-35. [263] [264] En octobre 2018, l’armée de l’air suisse aurait été limitée à l’achat d’un chasseur monomoteur pour des raisons budgétaires. [265] En mai 2019, le Rafale a effectué des vols de démonstration à la base aérienne de Payerne pour comparaison avec d’autres offres. [266] Saab n’a pas participé avec le Gripen E car il n’était pas considéré comme prêt à effectuer tous les tests. [267] [268] [269] [270] Le 30 juin 2021, le Conseil fédéral suisse a décidé de proposer au Parlement l’acquisition de 36 F-35A [271] [272] [273] pour un coût pouvant atteindre 6 milliards de francs suisses (6,5 milliards de dollars), citant le coût de l’avion- et l’efficacité au combat. [274] Cependant, il a été confirmé par la suite que les coûts sont plafonnés pour une période de 10 ans seulement. [275] Il a également été rapporté que les coûts d’exploitation auraient été réduits en remplaçant certains vols réels par des simulateurs groupés. [276] Comme dans d’autres pays, il y a également eu des plaintes selon lesquelles le F-35 est 3 dB plus fort que le F/A-18C/D, [277]et les Verts libéraux ont promis d’examiner son impact environnemental. [278] Le groupe anti-militaire suisse GSoA a également l’intention de contester l’achat lors d’un référendum national soutenu par les Verts et les Socialistes . [279] Enchères échouéesLe Rafale a été commercialisé à l’export dans différents pays. Divers commentateurs et sources de l’industrie ont souligné que le coût élevé de l’avion était préjudiciable aux perspectives de vente du Rafale. Son coût d’acquisition est d’environ 100 millions de dollars américains (2010) [280] , tandis que son coût d’exploitation oscille autour de 16 500 dollars américains (2012) pour chaque heure de vol. [281] Le Saab JAS Gripen, en comparaison, ne coûte que 4 700 $ US par heure de vol à exploiter. [281] Selon un article de 2009 de l’Institute for Defence Studies and Analysis, contrairement au gouvernement américain et à sa relation avec Boeing et Lockheed Martin, le manque de communication entre le gouvernement français et Dassault a entravé un effort de vente coopératif à l’échelle mondiale, comme l’a démontré par le cas avec le Maroc en 2007.[282] Belgique En 2009, la Belgique a suggéré d’acheter des F-35 dans les années 2020 pour remplacer la flotte belge de 34 chasseurs F-16A/B MLU vieillissants. [283] Un article publié dans le journal belge L’Avenir le 19 avril 2015 a émis l’hypothèse que si le rôle de frappe nucléaire dans le cadre de la politique belge de partage du nucléaire était retenu dans l’appel d’offres, la Belgique serait presque obligée d’acheter le F-35 en afin de conserver ce rôle. [284] [285] La Belgique a officiellement lancé son programme de remplacement du F-16 en mars 2017, lançant des appels d’offres à trois constructeurs européens et deux constructeurs américains : Boeing Defence, Space & Security , Lockheed Martin , Dassault Aviation , Eurofighter GmbH et Saab Group , offrant le F/A- 18E/F Super Hornet , F-35 Lightning II , Dassault Rafale, Eurofighter Typhoon et Saab JAS 39 Gripen respectivement. [286] [287] Le 25 octobre 2018, la Belgique a officiellement retenu l’offre de 34 F-35A pour remplacer la flotte actuelle d’environ 54 F-16. Lors de la conférence de presse accompagnée, des responsables gouvernementaux ont déclaré que la décision de sélectionner le F-35 plutôt que l’ Eurofighter Typhoon se résumait au prix, et ont déclaré plus tard que “l’offre des Américains était la meilleure dans les sept critères d’évaluation”. Le prix d’achat total de l’avion et de son soutien jusqu’en 2030 s’est élevé à 4 milliards d’euros, soit 600 millions d’euros de moins que les 4,6 milliards d’euros initialement budgétés. [288] [289] En avril 2020, le premier contrat d’approvisionnement pour le F-35 a été signé, les livraisons devant commencer en 2023. [290] Brésil En juin 2008, l’ armée de l’air brésilienne a émis une demande d’informations sur les avions suivants : F/A-18E/F Super Hornet, F-16 Fighting Falcon, Rafale, Su-35 , Gripen NG et Eurofighter Typhoon. [291] En octobre 2008, le service a sélectionné trois finalistes pour le F-X2 – Dassault Rafale, Gripen NG et Boeing F/A-18E/F. [292] Le 5 janvier 2010, les médias ont déclaré que le rapport d’évaluation final de l’armée de l’air brésilienne plaçait le Gripen devant les deux autres concurrents sur la base des coûts unitaires et d’exploitation. [293] [294] En février 2011, la présidente brésilienne Dilma Rousseff aurait tranché en faveur du F/A-18. [295]Après des retards dus à des contraintes budgétaires [296] , en décembre 2013, le gouvernement brésilien a sélectionné le Gripen NG dans le cadre d’un contrat de 5 milliards de dollars américains pour équiper l’armée de l’air. [297] Canada Le Rafale faisait partie des différents chasseurs proposés pour répondre au besoin du Canada de remplacer la flotte de McDonnell Douglas CF-18 Hornet de l’ Aviation royale canadienne . [298] En 2005, selon Canada.com, un rapport compilé par le ministère de la Défense du Canada examinant plusieurs aéronefs a fait état de préoccupations concernant l’interopérabilité du Rafale avec les forces américaines; Dassault n’avait alors pas non plus été en mesure de confirmer les performances du moteur par temps froid. [299] En juillet 2010, le gouvernement canadien a annoncé que le remplaçant du CF-18 serait le F-35; la nation était déjà partenaire du programme Joint Strike Fighter depuis 1997 et partenaire de niveau 3 pour le F-35 depuis 2002. [300] [301]En décembre 2012, le gouvernement canadien a annoncé que l’achat du F-35 avait été abandonné en raison de la hausse des coûts et qu’un nouveau processus d’approvisionnement allait commencer. [302] En janvier 2013, Dassault a répondu à une demande de renseignements du Canada en annonçant qu’il était prêt à participer au concours. [303] Divers aéronefs ont été jugés conformes à l’exigence, dont le F-35. [304] En janvier 2014, Dassault aurait proposé un contrat avec transfert complet de technologie, permettant au Canada d’effectuer son propre soutien et ses mises à niveau, réduisant ainsi les coûts de service à long terme. [305] [306]En novembre 2018, Dassault s’est retiré de la compétition, apparemment en raison d’importantes exigences d’interopérabilité et de partage de renseignements, en particulier avec les forces américaines, compliquées par le manque d’implication de la France dans la communauté de partage de renseignements Five Eyes . [307] [308] Finlande En juin 2015, un groupe de travail mis en place par le ministère de la Défense finlandais a proposé de lancer le soi-disant programme HX Fighter pour remplacer la flotte actuelle de F/A-18 Hornets de l’ armée de l’air finlandaise . Le groupe reconnaît cinq types potentiels : Boeing F/A-18E/F Super Hornet , Dassault Rafale, Eurofighter Typhoon , Lockheed Martin F-35 Lightning II et Saab JAS 39 Gripen E/F . [309] En décembre 2015, le ministère de la Défense finlandais a envoyé une lettre à la Grande-Bretagne, à la France, à la Suède et aux États-Unis dans laquelle il a informé que le projet de chasseur avait été lancé dans les forces de défense. L’objectif du projet est de remplacer la flotte Hornet, qui sera déclassée à partir de 2025, par des chasseurs multirôles. Dassault Rafale est mentionné dans la lettre comme un combattant potentiel pour le programme. Le projet a été nommé HX Fighter Program. [310] La demande d’information concernant le programme a été envoyée début 2016 ; les cinq réponses ont été reçues en novembre 2016. Un appel d’offres sera lancé au printemps 2018 et la décision d’achat devrait intervenir en 2021. [311]Le journal finlandais Iltalehti a rapporté que plusieurs sources de politique étrangère et de sécurité avaient confirmé la recommandation des Forces de défense finlandaises du F-35 comme prochain chasseur finlandais avec la “capacité et la longue durée de vie prévue” du F-35 comme principales raisons. [312] [313] Koweit En février 2009, le président français Nicolas Sarkozy a annoncé que le Koweït envisageait d’acheter jusqu’à 28 Rafale. [314] En octobre 2009, lors d’une visite à Paris, le ministre koweïtien de la Défense manifeste son intérêt pour le Rafale et déclare attendre les conditions de Dassault. [315] Les législateurs islamistes de l’Assemblée nationale koweïtienne ont menacé de bloquer un tel achat, accusant le ministre de la Défense de manquer de transparence et d’être manipulé par des intérêts commerciaux. [316] En janvier 2012, le ministre français de la Défense a déclaré que le Koweït et le Qatar attendaient de voir si les Émirats arabes unis avaient d’abord acheté le Rafale et que le Koweït chercherait à acheter 18 à 22 Rafale. [317]Cependant, le 11 septembre 2015, Eurofighter a annoncé qu’un accord avait été conclu avec le Koweït pour acheter 28 Typhoons. [318] [319] Libye En janvier 2007, le journal français Journal du Dimanche a rapporté que la Libye recherchait 13 à 18 Rafale “dans le cadre d’un accord d’une valeur pouvant atteindre 3,24 milliards de dollars américains”. [320] En décembre 2007, Saif al-Islam Kadhafi a déclaré l’intérêt de la Libye pour le Rafale, [321] mais aucune commande n’a été passée. Les Rafales français ont ensuite attaqué des cibles en Libye dans le cadre de l’ intervention militaire internationale pendant la guerre civile libyenne de 2011 . [322] Singapour En 2005, l’ armée de l’air de la République de Singapour a lancé son programme Next Generation Fighter (NGF) pour remplacer sa flotte de A-4SU Super Skyhawks vieillissants . Un certain nombre d’options ont été envisagées et l’ Agence des sciences et technologies de la défense (DSTA) a mené une évaluation technique détaillée, ainsi que des simulations et d’autres tests pour déterminer la sélection finale. Suite à cela, la liste initiale des concurrents a été réduite aux deux derniers – Dassault Rafale et le F-15SG Strike Eagle . En décembre 2005, Singapour a commandé 12 avions F-15SG. [323] Selon le quotidien de l’industrie de la défense, l’une des principales raisons de la sélection était que, bien que le Rafale ait une aérodynamique supérieure, il manquait de portée et d’un radar capable, et avait une intégration insuffisante des armes et des capteurs. [324] Autres enchères En 2002, l’ armée de l’air de la République de Corée a choisi le F-15K Slam Eagle plutôt que le Dassault Rafale, l’Eurofighter Typhoon et le Sukhoi Su-35 pour sa compétition de chasseurs FX Phase 1 de 40 avions . [325] Fin 2007, La Tribune a rapporté qu’une vente potentielle de 2,85 milliards de dollars au Maroc avait échoué, le gouvernement ayant choisi le F-16C / D à la place. [326] [327] Alors que le ministre français de la Défense, Hervé Morin , l’a qualifiée de trop sophistiquée et trop coûteuse, les analystes de la défense ont déclaré que les erreurs de calcul du prix de l’offre de la DGA et les hésitations sur le financement étaient préjudiciables aux négociations. [327] [328] En février 2009, la France a proposé des Rafale à Oman pour remplacer sa flotte vieillissante de Jaguar SEPECAT . [329] En décembre 2012, Oman a passé une commande de 12 Typhoons. [330] [331] Variantes Les opérateurs
Accidents notables
Caractéristiques Données de Dassault Aviation, [371] Superfighters, [372] Marine Nationale, [373] Annuaire International des Avions Militaires [374] [375] Caractéristiques générales
9 850 kilogrammes (21 720 livres) ( C ) [64] [371] 10 600 kilogrammes (23 400 livres) ( M ) [64] [371]
Performance
1 390 km/h, 860 mph, 750 nœuds / Mach 1,1 à basse altitude
Armement
Avionique
Voir également
Listes associées
Remarques
Références
Bibliography
External links
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