Les Bahamas

Coordonnées : 24°15′N 76°00′O / 24.250°N 76.000°O / 24.250 ; -76.000

Les Bahamas ( / b ə ˈ h ɑː m ə z / ( écouter ) ), sont un pays de l’ archipel Lucayan des Antilles dans l’ atlantique . Il occupe 97% de la superficie terrestre de l’archipel Lucayan et abrite 88% de la population de l’archipel. L’ état archipel se compose de plus de 3000 [2] îles , cayes et îlots dans l’océan atlantique, et est situé au nord de Cuba et au nord-ouest de l’île d’ Hispaniola (divisée entre Haïtiet la République dominicaine ) et les îles Turques et Caïques , au sud – est de l’ État américain de Floride et à l’ est des Florida Keys . La capitale est Nassau sur l’île de New Providence . La Royal Bahamas Defence Force décrit le territoire des Bahamas comme englobant 470 000 km 2 (180 000 milles carrés) d’espace océanique.

Les Bahamas
Armoiries des Bahamas” height=”104″ src=”//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/8/8a/Coat_of_arms_of_the_Bahamas.svg/85px-Coat_of_arms_of_the_Bahamas.svg.png” width=”85″> Blason
Devise : “En avant, en haut, en avant, ensemble”
Hymne : « March On, Bahamaland » 1:15 Hymne royal : ” God Save the Queen ” [1] 1:04
Capital et la plus grande ville Nassau 25°4′N 77°20′O
 / 25.067°N 77.333°O / 25,067 ; -77.333
Langues officielles Anglais
Autres langues parlées Créole des Bahamas , Créole haïtien
Groupes ethniques (2010)
  • 90.6% Noir
  • 4,7% Blanc
  • 2,1 % Mixte
  • 1,9 % Autres
  • 0,7 % Non spécifié [2] [3]
La religion (2010) [4]
  • 95,8% Christianisme
  • —80,0 % protestantisme
  • —15,8 % Autre chrétien
  • 3,1% Aucune religion
  • 1,1 % Autres
Démonyme(s) bahamien
Gouvernement Monarchie constitutionnelle parlementaire unitaire [5] [6]
• Monarque Élisabeth II
• Gouverneur général Sir Cornelius A. Smith
• Premier ministre Philippe Davis
Corps législatif Parlement
• Chambre haute Sénat
• Chambre basse Chambre d’assemblée
Indépendance du Royaume-Uni
• Déclaration d’indépendance 10 juillet 1973 [7]
Région
• Total 13 878 km 2 (5 358 milles carrés) ( 155e )
• Eau (%) 28%
Population
• Estimation 2022 400 516 ( 177e )
• Recensement de 2018 385 637
• Densité 25,21/km 2 (65,3/sq mi) ( 181e )
PIB ( PPA ) Estimation 2022
• Total 16,130 milliards de dollars [8] ( 148e )
• Par habitant 40 274 ​​$ [8] ( 40e )
PIB (nominal) Estimation 2022
• Total 12,803 milliards de dollars [8] ( 130e )
• Par habitant 32 077 $ [8] ( 26e )
IDH (2019) 0,814 [9]
très élevé · 58e
Monnaie Dollar des Bahamas (BSD)
Fuseau horaire UTC −5 ( HNE )
• Été ( DST ) UTC −4 ( HAE )
Côté conduite la gauche
Indicatif d’appel +1 242
Norme ISO 3166 BS
TLD Internet .bs
  1. ^ Aussi appelédialecteoubahamianais [10]

Les îles Bahama ont été habitées par les Lucayans , une branche des Taíno de langue Arawakan , pendant de nombreux siècles. [11] Christophe Colomb a été le premier Européen à voir les îles, faisant son premier atterrissage dans le « Nouveau Monde » en 1492. Plus tard, les Espagnols ont expédié les Lucayens indigènes et les ont réduits en esclavage à Hispaniola , après quoi les îles des Bahamas ont été pour la plupart désertes. de 1513 à 1648, lorsque des colons anglais des Bermudes s’installent sur l’île d’ Eleuthera .

Les Bahamas sont devenues une colonie de la couronne britannique en 1718, lorsque les Britanniques ont réprimé la piraterie . Après la guerre d’indépendance des États-Unis , la Couronne a réinstallé des milliers de Loyalistes américains aux Bahamas ; ils ont emmené des esclaves avec eux et ont établi des plantations sur des concessions de terres. Les esclaves africains et leurs descendants constituent la majorité de la population à partir de cette période. La traite des esclaves a été abolie par les Britanniques en 1807; l’esclavage aux Bahamas a été aboli en 1834. Par la suite, les Bahamas sont devenues un refuge pour les esclaves africains libérés. Les Africains libérés des navires négriers illégaux ont été réinstallés sur les îles par la Royal Navy , tandis que certainsDes esclaves nord-américains et des Séminoles se sont enfuis aux Bahamas depuis la Floride. Les Bahamiens étaient même connus pour reconnaître la liberté des esclaves transportés par les navires d’autres nations qui atteignaient les Bahamas. Aujourd’hui, les Afro-Bahamiens représentent 90% de la population de 400 516. [11]

Le pays a obtenu son indépendance gouvernementale en 1973, dirigé par Sir Lynden O. Pindling , avec Elizabeth II comme reine . [11] En termes de produit intérieur brut par habitant, les Bahamas sont l’un des pays les plus riches des Amériques (après les États-Unis et le Canada), avec une économie basée sur le tourisme et la finance offshore. [12]

Étymologie

Le nom Bahamas est dérivé du nom lucayen Bahama (“grande île moyenne supérieure”), utilisé par le peuple indigène Taíno pour l’île de Grand Bahama . [13] [14] Les guides touristiques affirment souvent que le nom vient de l’espagnol baja mar (“mer peu profonde”). Wolfgang Ahrens de l’Université York soutient qu’il s’agit d’une étymologie populaire . [13] Alternativement, il peut provenir de Guanahani , un nom local de sens peu clair. [15]

Attesté pour la première fois sur le c. 1523 Turin Map , Bahama se référait à l’origine à Grand Bahama seul mais était utilisé inclusivement en anglais vers 1670. [16] Le toponyme Isaac Taylor soutient que le nom était dérivé de Bimani ( Bimini ), que les Espagnols d’Haïti ont identifié avec Palombe , un lieu légendaire où Les Voyages de John Mandeville ont dit qu’il y avait une fontaine de jouvence . [17]

Histoire

Histoire géologique

La masse continentale qui constitue les Bahamas modernes se situe dans la partie nord de la région des Grandes Antilles et aurait été formée il y a 200 millions d’années lorsqu’elles ont commencé à se séparer du supercontinent Pangée . La période glaciaire du Pléistocène, il y a environ 3 millions d’années, a eu un impact profond sur la formation de l’archipel.

Époque précoloniale

Les premiers habitants des Bahamas étaient le peuple Taino , qui s’est installé dans les îles inhabitées du sud d ‘ Hispaniola et de Cuba vers les années 800 à 1000 après JC, après y avoir émigré d’Amérique du Sud ; ils sont devenus connus sous le nom de peuple Lucayen . [18] Environ 30 000 Lucayens habitaient les Bahamas au moment de l’arrivée de Christophe Colomb en 1492. [19]

Arrivée des Espagnols

Une représentation du premier débarquement de Christophe Colomb, revendiquant la possession du Nouveau Monde pour la Couronne de Castille en caravelles ; la Niña et la Pinta , sur l’île de Watling, une île des Bahamas que les indigènes appelaient Guanahani et qu’il nomma San Salvador , le 12 octobre 1492. [20]

Le premier débarquement de Christophe Colomb dans ce qui était pour les Européens un “Nouveau Monde” était sur une île qu’il nomma San Salvador (connue des Lucayens sous le nom de Guanahani ). Bien qu’il existe un consensus général sur le fait que cette île se trouve dans les Bahamas, l’île précise sur laquelle Colomb a atterri est un sujet de débat scientifique. Certains chercheurs pensent que le site est l’actuelle île de San Salvador (anciennement connue sous le nom de Watling’s Island), située dans le sud-est des Bahamas, tandis qu’une théorie alternative soutient que Columbus a atterri au sud-est sur Samana Cay , selon des calculs effectués en 1986 par National Écrivain et éditeur géographique Joseph Judge, basé sur le journal de Colomb. Sur l’île d’atterrissage, Christophe Colomb a établi un premier contact avec les Lucayens et a échangé des marchandises avec eux, revendiquant les îles pour la couronne de Castille , avant de procéder à l’exploration des plus grandes îles des Grandes Antilles . [18]

Le traité de Tordesillas de 1494 divise théoriquement les nouveaux territoires entre le royaume de Castille et le royaume du Portugal , plaçant les Bahamas dans la sphère espagnole ; cependant, ils n’ont pas fait grand-chose pour faire valoir leur revendication sur le terrain. Les Espagnols ont cependant exploité les peuples indigènes de Lucayan, dont beaucoup ont été réduits en esclavage et envoyés à Hispaniola pour être utilisés comme travail forcé. [18] Les esclaves souffraient de dures conditions et la plupart mouraient de contracter des maladies contre lesquelles ils n’étaient pas immunisés ; la moitié des Taino sont morts de la seule variole . [21] À la suite de ces déprédations, la population des Bahamas a été sévèrement diminuée. [22]

Arrivée des Anglais

Les Anglais avaient manifesté un intérêt pour les Bahamas dès 1629. Cependant, ce n’est qu’en 1648 que les premiers colons anglais arrivèrent sur les îles. Connus sous le nom d’ aventuriers d’Eleutherian et dirigés par William Sayle , ils ont émigré des Bermudes à la recherche d’une plus grande liberté religieuse. Ces puritains anglais ont établi la première colonie européenne permanente sur une île qu’ils ont nommée Eleuthera , grec pour libre . Plus tard, ils s’établirent à New Providence , la nommant Sayle’s Island. La vie s’est avérée plus difficile que prévu cependant, et beaucoup – y compris Sayle – ont choisi de retourner aux Bermudes. [18] Pour survivre, les colons restantsmarchandises récupérées sur des épaves .

En 1670, le roi Charles II a accordé les îles aux seigneurs propriétaires des Carolines en Amérique du Nord. Ils ont loué les îles au roi avec des droits de commerce, d’impôt, de nomination de gouverneurs et d’administration du pays depuis leur base de New Providence. [23] [18] La piraterie et les attaques des puissances étrangères hostiles étaient une menace constante. En 1684, le corsaire espagnol Juan de Alcon a attaqué la capitale Charles Town (plus tard rebaptisée Nassau ), [24] et en 1703, une expédition conjointe franco-espagnole a brièvement occupé Nassau pendant la guerre de Succession d’Espagne.. [25] [26]

18ème siècle

Les Continental Marines débarquent à New Providence lors de la bataille de Nassau en 1776 Inscrivez-vous au Bill Baggs Cape Florida State Park commémorant des centaines d’ esclaves afro-américains qui se sont échappés vers la liberté au début des années 1820 aux Bahamas

Pendant le règne de la propriété, les Bahamas sont devenues un refuge pour les pirates , dont Blackbeard ( vers 1680-1718). [27] Pour mettre fin à la ” république des pirates ” et restaurer un gouvernement ordonné, la Grande-Bretagne a fait des Bahamas une colonie de la couronne en 1718, qu’ils ont surnommée “les îles Bahama” sous le poste de gouverneur de Woodes Rogers . [18] Après une lutte difficile, il réussit à réprimer la piraterie. [28] En 1720, les Espagnols ont attaqué Nassau pendant la Guerre de la Quadruple Alliance . En 1729, une assemblée locale a été créée, donnant un certain degré d’autonomie aux colons britanniques.[18] [29] Les réformes avaient été planifiées par le précédent gouverneur George Phenney et autorisées en juillet 1728. [30]

Pendant la guerre d’indépendance américaine à la fin du 18e siècle, les îles sont devenues une cible pour les forces navales américaines. Sous le commandement du Commodore Esek Hopkins , des US Marines , l’US Navy occupa Nassau en 1776, avant d’être évacuée quelques jours plus tard. En 1782, une flotte espagnole est apparue au large de Nassau et la ville s’est rendue sans combat . Plus tard, en avril 1783, lors d’une visite faite par le prince William du Royaume-Uni (qui deviendra plus tard le roi Guillaume IV ) à Luis de Unzaga dans sa résidence de la capitainerie générale de La Havane, ils conclurent des accords d’échange de prisonniers et s’occupèrent également des préliminaires. du traité de Paris (1783), dans laquelle les Bahamas récemment conquises seraient échangées contre la Floride orientale , qui devrait encore conquérir la ville de St. Augustine, Floride en 1784 sur ordre de Luis de Unzaga ; après cela, également en 1784, les Bahamas seraient déclarées colonie britannique. [31]

Après l’indépendance des États-Unis, les Britanniques ont réinstallé quelque 7 300 loyalistes avec leurs esclaves africains aux Bahamas, dont 2 000 de New York [32] et au moins 1 033 ancêtres européens, 2 214 africains et quelques Creeks amérindiens de l’est de la Floride . La plupart des réfugiés réinstallés de New York avaient fui d’autres colonies, dont la Floride occidentale , que les Espagnols ont capturée pendant la guerre. [33] Le gouvernement a accordé des terres aux planteurs pour aider à compenser les pertes sur le continent. Ces Loyalistes, qui comprenaient Deveaux et aussi Lord Dunmore , établirent des plantations sur plusieurs îles et devinrent une force politique dans la capitale. [18]Les Américains européens étaient plus nombreux que les esclaves afro-américains qu’ils amenaient avec eux, et les Européens de souche restaient une minorité sur le territoire.

19ème siècle

La loi de 1807 sur la traite des esclaves a aboli la traite des esclaves vers les possessions britanniques, y compris les Bahamas. Le Royaume-Uni a fait pression sur d’autres pays négriers pour qu’ils abolissent également la traite des esclaves et a donné à la Royal Navy le droit d’intercepter les navires transportant des esclaves en haute mer. [34] [35] Des milliers d’Africains libérés des navires négriers par la Royal Navy ont été réinstallés aux Bahamas.

Dans les années 1820, pendant la période des guerres séminoles en Floride, des centaines d’esclaves nord-américains et de séminoles africains se sont échappés du cap Floride vers les Bahamas. Ils se sont installés principalement au nord-ouest de l’île d’Andros , où ils ont développé le village de Red Bays. D’après des témoignages oculaires, 300 personnes se sont échappées lors d’un vol de masse en 1823, aidées par des Bahamiens dans 27 sloops , d’autres utilisant des canoës pour le voyage. Cela a été commémoré en 2004 par un grand panneau au Bill Baggs Cape Florida State Park . [36] [37] Certains de leurs descendants à Red Bays continuent les traditions séminoles africaines dans la fabrication de paniers et le marquage des tombes. [38]

En 1818, [39] le ministère de l’Intérieur de Londres avait décidé que “tout esclave amené aux Bahamas depuis l’extérieur des Antilles britanniques serait affranchi”. Cela a conduit à la libération d’un total de près de 300 esclaves appartenant à des ressortissants américains de 1830 à 1835 . Février 1834, respectivement. Lorsque les naufrageurs ont emmené les maîtres, les passagers et les esclaves à Nassau, les douaniers ont saisi les esclaves et les autorités coloniales britanniques les ont libérés, malgré les protestations des Américains. Il y avait 165 esclaves sur la Comèteet 48 sur l’ Encomium . Le Royaume-Uni a finalement payé une indemnité aux États-Unis dans ces deux cas en 1855, en vertu du Traité des revendications de 1853, qui a réglé plusieurs cas d’indemnisation entre les deux pays. [41] [42]

Le phare de Great Isaac Cay.

L’esclavage a été aboli dans l’Empire britannique le 1er août 1834. [18] Après cela, les autorités coloniales britanniques ont libéré 78 esclaves nord-américains de l’ Enterprise , qui est entrée aux Bermudes en 1835; et 38 du Hermosa , qui fit naufrage au large de l’île d’Abaco en 1840. [43] Le cas le plus notable fut celui du Créole en 1841 : à la suite d’une révolte d’esclaves à bord, les chefs ordonnèrent au brick américain de se rendre à Nassau. Il transportait 135 esclaves de Virginie destinés à la vente à la Nouvelle-Orléans . Les autorités bahamiennes ont libéré les 128 esclaves qui ont choisi de rester dans les îles. Le CréoleL’affaire a été décrite comme la “révolte d’esclaves la plus réussie de l’histoire des États-Unis”. [44]

Ces incidents, au cours desquels un total de 447 esclaves appartenant à des ressortissants américains ont été libérés de 1830 à 1842, ont accru la tension entre les États-Unis et le Royaume-Uni . Ils avaient coopéré à des patrouilles pour réprimer la traite internationale des esclaves. Cependant, inquiets de la stabilité de son important commerce intérieur d’esclaves et de sa valeur, les États-Unis ont fait valoir que le Royaume-Uni ne devrait pas traiter ses navires nationaux qui arrivaient dans ses ports coloniaux sous la contrainte comme faisant partie du commerce international. Les États-Unis craignaient que le succès des esclaves créoles à gagner leur liberté n’encourage davantage de révoltes d’esclaves sur les navires marchands.

Pendant la guerre civile américaine des années 1860, les îles ont brièvement prospéré en tant que centre d’intérêt pour les coureurs de blocus aidant les États confédérés . [45] [46]

Début du 20ème siècle

Les premières décennies du XXe siècle ont été difficiles pour de nombreux Bahamiens, caractérisées par une économie stagnante et une pauvreté généralisée. Beaucoup gagnaient leur vie grâce à l’agriculture de subsistance ou à la pêche. [18]

Le duc de Windsor et gouverneur des Bahamas de 1940 à 1945

En août 1940, le duc de Windsor est nommé gouverneur des Bahamas . Il arrive dans la colonie avec sa femme . Bien que découragés par l’état de Government House, ils “ont essayé de tirer le meilleur parti d’une mauvaise situation”. [47] Il n’a pas apprécié la position et s’est référé aux îles comme ” une colonie britannique de troisième classe “. [48] ​​Il a ouvert le petit parlement local le 29 octobre 1940. Le couple a visité les “Îles Extérieures” ce novembre, sur le yacht d’ Axel Wenner-Gren , qui a causé la controverse; [49] le ministère britannique des Affaires étrangèress’y sont vigoureusement opposés parce qu’ils avaient été informés par les services de renseignement américains que Wenner-Gren était un ami proche du commandant de la Luftwaffe Hermann Göring de l’Allemagne nazie. [49] [50]

Le duc a été félicité à l’époque pour ses efforts dans la lutte contre la pauvreté dans les îles. Une biographie de 1991 de Philip Ziegler le décrit cependant comme méprisant envers les Bahamiens et les autres peuples non européens de l’Empire. Il a été félicité pour sa résolution des troubles civils sur les bas salaires à Nassau en juin 1942, lorsqu’il y a eu une «émeute à grande échelle». [51] Ziegler a dit que le Duc a blâmé le problème sur ” les faiseurs de méfaits – les communistes ” et ” les hommes d’ origine juive d’Europe centrale , qui avaient obtenu les emplois comme un prétexte pour obtenir un ajournement de projet “. [52] Le duc a démissionné du poste le 16 mars 1945. [53] [54]

Après la Seconde Guerre mondiale

Les Bahamas étaient une colonie de la Couronne jusqu’à leur indépendance en 1973

Le développement politique moderne a commencé après la Seconde Guerre mondiale . Les premiers partis politiques ont été formés dans les années 1950, largement divisés selon des critères ethniques, avec le United Bahamian Party (UBP) représentant les Bahamiens d’origine anglaise (connus officieusement sous le nom de “Bay Street Boys”) [55] et le Parti libéral progressiste ( PLP) représentant la majorité afro-bahamienne. [18]

Une nouvelle constitution accordant aux Bahamas l’autonomie interne est entrée en vigueur le 7 janvier 1964, le ministre en chef Sir Roland Symonette de l’UBP devenant le premier Premier ministre. [56] : p.73 [57] En 1967, Lynden Pindling du PLP devient le premier premier ministre noir de la colonie des Bahamas ; en 1968, le titre du charge a été changé en Premier ministre . En 1968, Pindling a annoncé que les Bahamas demanderaient l’indépendance totale. [58] Une nouvelle constitution donnant aux Bahamas un contrôle accru sur ses propres affaires a été adoptée en 1968. [59] En 1971, l’UBP a fusionné avec une faction mécontente du PLP pour former un nouveau parti, le Mouvement national libre.(FNM), un parti déracialisé de centre-droit qui visait à contrer la montée en puissance du PLP de Pindling. [60]

La Chambre des lords britannique a voté pour donner aux Bahamas son indépendance le 22 juin 1973. [61] Le prince Charles a remis les documents officiels au Premier ministre Lynden Pindling , déclarant officiellement les Bahamas une nation pleinement indépendante le 10 juillet 1973, [62] et ce date est désormais célébrée comme le Jour de l’Indépendance du pays . [63] Il a rejoint le Commonwealth des Nations le même jour. [64] Sir Milo Butler a été nommé premier gouverneur général des Bahamas (le représentant officiel de la reine Elizabeth II ) peu après l’indépendance.[65]

Post-indépendance

Peu de temps après l’indépendance, les Bahamas ont rejoint le Fonds monétaire international et la Banque mondiale le 22 août 1973, [66] et plus tard les Nations Unies le 18 septembre 1973. [67]

Politiquement, les deux premières décennies ont été dominées par le PLP de Pindling, qui a remporté une série de victoires électorales. Les allégations de corruption, les liens avec les cartels de la drogue et les malversations financières au sein du gouvernement des Bahamas n’ont pas ébranlé la popularité de Pindling. Pendant ce temps, l’économie a connu une période de croissance spectaculaire alimentée par les deux piliers du tourisme et de la finance offshore , augmentant considérablement le niveau de vie sur les îles. L’économie en plein essor des Bahamas en a fait un phare pour les immigrants, notamment d’ Haïti . [18]

La destruction de l’ouragan Dorian aux Bahamas

En 1992 , Pindling est renversé par Hubert Ingraham du FNM. [56] : p.78 Ingraham a remporté les élections générales bahamiennes de 1997 , avant d’être battu en 2002 , lorsque le PLP est revenu au pouvoir sous Perry Christie . [56] : p.82 Ingraham est revenu au pouvoir de 2007 à 2012, suivi à nouveau de Christie de 2012 à 2017. La croissance économique chancelant, les Bahaméens ont réélu le FNM en 2017, Hubert Minnis devenant le quatrième Premier ministre. [18]

En septembre 2019, l’ouragan Dorian a frappé les îles Abaco et Grand Bahama à une intensité de catégorie 5 , dévastant le nord-ouest des Bahamas. La tempête a infligé au moins 7 milliards de dollars de dommages et tué plus de 50 personnes, [68] [69] et 1 300 personnes sont toujours portées disparues. [70]

En septembre 2021, le Mouvement national libre au pouvoir a perdu contre le Parti libéral progressiste de l’opposition lors d’ élections anticipées , alors que l’économie luttait pour se remettre de son crash le plus profond depuis au moins 1971. [71] [72] Le Parti libéral progressiste (PLP) a remporté 32 des 39 sièges de la Chambre d’assemblée. Le Mouvement national libre (FNM), dirigé par Minnis, a remporté les sièges restants. [73] Le 17 septembre 2021, le président du Parti libéral progressiste (PLP) Phillip « Brave » Davis a prêté serment en tant que nouveau Premier ministre des Bahamas pour succéder à Hubert Minnis. [74]

Géographie

Carte des Bahamas

Les Bahamas sont constituées d’un chapelet d’îles s’étendant sur quelque 800 kilomètres dans l’océan atlantique, situées à l’est de la Floride aux États-Unis, au nord de Cuba et d’ Hispaniola et à l’ouest du territoire britannique d’outre-mer des Turcs et des Îles Caïques (avec lesquelles elle forme l’ archipel Lucayan ). Il se situe entre les latitudes 20° et 28°N et les longitudes 72° et 80°W et chevauche le tropique du Cancer . [11] Il y a environ 700 îles et 2 400 cayes au total (dont 30 sont habitées) avec une superficie terrestre totale de 10 010 km 2(3 860 milles carrés). [11] [18]

Nassau , capitale des Bahamas, se trouve sur l’île de New Providence ; les autres principales îles habitées sont Grand Bahama , Eleuthera , Cat Island , Rum Cay , Long Island , San Salvador Island , Ragged Island , Acklins , Crooked Island , Exuma , Berry Islands , Mayaguana , les îles Bimini , Great Abaco et Great Inagua . La plus grande île est Andros . [18]

Toutes les îles sont basses et plates, avec des crêtes qui ne dépassent généralement pas 15 à 20 m (49 à 66 pieds). Le point culminant du pays est le mont Alvernia (anciennement Como Hill) sur l’île Cat à 64 m (210 pi). [11]

Le pays contient trois écorégions terrestres : les forêts sèches des Bahamas , la mosaïque de pins des Bahamas et les mangroves des Bahamas . [75] Il avait un score moyen de 7,35/10 pour l’indice d’intégrité du paysage forestier en 2019 , le classant au 44e rang mondial sur 172 pays. [76]

Climat

La carte des Bahamas de la classification climatique de Köppen.

Selon la classification climatique de Köppen , le climat des Bahamas est majoritairement un climat de savane tropicale ou Aw , avec une saison chaude et humide et une saison chaude et sèche. La basse latitude, le Gulf Stream tropical chaud et la basse altitude confèrent aux Bahamas un climat chaud et sans hiver. [77]

Comme dans la plupart des climats tropicaux, les précipitations saisonnières suivent le soleil et l’été est la saison la plus humide. Il n’y a qu’une différence de 7 ° C (13 ° F) entre le mois le plus chaud et le mois le plus frais dans la plupart des îles des Bahamas. Toutes les quelques décennies, les basses températures peuvent descendre en dessous de 10 ° C (50 ° F) pendant quelques heures lorsqu’une grave épidémie de froid descend du continent nord-américain, mais il n’y a jamais eu de gel ou de gel enregistré dans les îles des Bahamas. Une seule fois dans l’histoire enregistrée, de la neige a été vue dans l’air n’importe où aux Bahamas, cela s’est produit à Freeport le 19 janvier 1977, lorsque de la neige mélangée à de la pluie a été vue dans l’air pendant une courte période. [78]Les Bahamas sont souvent ensoleillées et sèches pendant de longues périodes et bénéficient en moyenne de plus de 3 000 heures ou 340 jours d’ensoleillement par an. Une grande partie de la végétation naturelle est constituée de broussailles tropicales et les cactus et plantes succulentes sont courants dans les paysages. [79]

Les tempêtes tropicales et les ouragans frappent occasionnellement les Bahamas. En 1992, l’ouragan Andrew est passé au-dessus des parties nord des îles et l’ouragan Floyd est passé près des parties est des îles en 1999. L’ouragan Dorian de 2019 est passé au-dessus de l’archipel à une force destructrice de catégorie 5 avec des vents soutenus de 298 km/h ( 185 mph) et des rafales de vent jusqu’à 350 km / h (220 mph), devenant le cyclone tropical le plus puissant jamais enregistré à avoir touché les îles du nord-ouest de Grand Bahama et Great Abaco. [80]

Géologie

Dean’s Blue Hole à Clarence Town sur Long Island, Bahamas . L’ île Blue Lagoon , Bahamas.

On croyait généralement que les Bahamas se sont formées il y a environ 200 millions d’années, lorsque la Pangée a commencé à se désagréger. À l’heure actuelle, il perdure comme un archipel contenant plus de 700 îles et cayes, bordées autour de différents récifs coralliens . Le calcaire qui compose les Bancs s’accumule depuis au moins le Crétacé , et peut-être dès le Jurassique ; aujourd’hui, l’épaisseur totale sous le Great Bahama Bank est de plus de 4,5 kilomètres (2,8 miles). [81] Comme le calcaire s’est déposé en eau peu profonde, la seule façon d’expliquer cette colonne massive est d’estimer que toute la plate-forme s’est affaisséesous son propre poids à un taux d’environ 3,6 centimètres (2 pouces) par 1 000 ans. [81] Les Bahamas font partie de l’ archipel de Lucayan , qui continue dans les îles Turques et Caïques, la banque Mouchoir , la banque Silver et la banque Navidad . [82] La plate-forme des Bahamas, qui comprend les Bahamas, le sud de la Floride, le nord de Cuba, les îles Turques et Caïques et le plateau de Blake , s’est formée environ 150 Ma , peu de temps après la formation de l’atlantique Nord. Les calcaires épais de 6,4 km (4,0 mi) , qui prédominent aux Bahamas, remontent au Crétacé. Ces calcaires auraient été déposés dans des mers peu profondes, supposées être une partie étirée et amincie de la croûte continentale nord-américaine . Les sédiments se formaient à peu près au même rythme que la croûte en dessous coulait en raison du poids supplémentaire. Ainsi, toute la zone se composait d’une grande plaine marine avec quelques îles. Puis, vers 80 Ma, la région a été inondée par le Gulf Stream . Cela a entraîné la noyade du plateau de Blake, la séparation des Bahamas de Cuba et de la Floride, la séparation du sud-est des Bahamas en banques distinctes, la création de la Cay Sal Bank , ainsi que des Little et Great Bahama Banks . Sédimentation de “l’usine de carbonate” de chaque rive, ou atoll, se poursuit aujourd’hui au rythme d’environ 20 mm (0,79 po) par kyr . Les récifs coralliens forment les “murs de soutènement” de ces atolls, au sein desquels se forment oolites et pastilles . [83]

La croissance des coraux était plus importante au Tertiaire , jusqu’au début des périodes glaciaires , et donc ces dépôts sont plus abondants en dessous d’une profondeur de 36 m (118 pieds). En fait, un ancien récif éteint existe à un demi-km au large de l’actuel, à 30 m (98 pieds) sous le niveau de la mer. Les oolithes se forment lorsque l’eau océanique pénètre dans les bancs peu profonds, augmentant la température d’environ 3 ° C (5,4 ° F) et la salinité de 0,5%. Les ooïdes cimentés sont appelés pierre de raisin. De plus, des stromatolithes géants se trouvent au large des Exuma Cays . [83] : 22, 29–30

Les changements du niveau de la mer ont entraîné une baisse du niveau de la mer, provoquant la formation d’oolites soufflées par le vent pour former des dunes de sable avec une stratification croisée distincte . Les dunes qui se chevauchent forment des crêtes oolithiques, qui se lithifient rapidement sous l’action de l’eau de pluie, appelée éolianite . La plupart des îles ont des crêtes allant de 30 à 45 m (98 à 148 pieds), bien que Cat Island ait une crête de 60 m (200 pieds) de hauteur. La terre entre les crêtes est propice à la formation de lacs et de marécages. [83] : 41–59, 61–64

L’ altération par dissolution du calcaire se traduit par une topographie “Bahamian Karst “. Cela comprend les nids -de-poule , les trous bleus tels que Dean’s Blue Hole , les gouffres , les beachrock tels que Bimini Road (“trottoirs d’Atlantis”), la croûte calcaire , les grottes dues au manque de rivières et les grottes marines . Plusieurs trous bleus sont alignés le long de la ligne de faille South Andros . Les vasières et les criques de marée sont courantes, mais les schémas de drainage les plus impressionnants sont formés par des creux et des canyons tels que le Great Bahama Canyon .avec la preuve de courants de turbidité et de dépôt de turbidite. [83] : 33–40, 65, 72–84, 86

La stratigraphie des îles se compose de la Formation de Owl’s Hole du Pléistocène moyen , recouverte par la Formation de Grotto Beach du Pléistocène supérieur, puis de la Formation de Rice Bay de l’ Holocène . Cependant, ces unités ne sont pas nécessairement empilées les unes sur les autres mais peuvent être situées latéralement. La formation la plus ancienne, Owl’s Hole, est coiffée d’un paléosol de terra rosa , tout comme la Grotto Beach, à moins qu’elle ne soit érodée . La Formation de Grotto Beach est la plus répandue. [82]

Gouvernement et politique

Le Parlement des Bahamas , situé à Nassau

Les Bahamas sont une monarchie constitutionnelle parlementaire , avec la reine des Bahamas ( Elizabeth II ) comme chef d’État représentée localement par un gouverneur général . [11] Les traditions politiques et juridiques suivent de près celles de l’Angleterre et du système de Westminster . [18] Les Bahamas sont un membre du Commonwealth des Nations et partagent leur chef d’état avec d’autres royaumes de Commonwealth . [84] [85]

Le Premier ministre est le chef du gouvernement et le chef du parti qui détient le plus de sièges à la Chambre d’assemblée . [11] [18] Le pouvoir exécutif est exercé par le Cabinet, choisi par le Premier ministre et tiré de ses partisans à la Chambre d’assemblée. L’actuel gouverneur général est l’honorable Cornelius A. Smith, et l’actuel premier ministre est l’hon. Philippe Davis député . [11]

Le pouvoir législatif est exercé par un parlement bicaméral , qui se compose d’une Chambre d’assemblée de 38 membres (la chambre basse ), avec des membres élus dans des circonscriptions uninominales , et d’un Sénat de 16 membres , avec des membres nommés par le gouverneur général, dont neuf sur l’avis du premier ministre, quatre sur l’avis du chef de la loyale opposition de Sa Majesté et trois sur l’avis du premier ministre après consultation du chef de l’opposition. Comme dans le système de Westminster, le premier ministre peut dissoudre le Parlement et déclencher des élections générales à tout moment au cours d’un mandat de cinq ans. [86]

Les garanties constitutionnelles comprennent la liberté d’ expression , de presse , de culte , de mouvement et d ‘ association . Le pouvoir judiciaire des Bahamas est indépendant de l’exécutif et du législatif. La jurisprudence est basée sur le droit anglais . [11]

Culture politique

Le Premier ministre bahamien Hubert Minnis avec le président américain Donald Trump le 22 mars 2019

Les Bahamas ont un système bipartite dominé par le Parti libéral progressiste de centre-gauche et le Mouvement national libre de centre-droit . Une poignée d’autres partis politiques n’ont pas été en mesure de remporter les élections au parlement ; ceux-ci ont inclus le Mouvement Démocratique des Bahamas , la Coalition pour la Réforme Démocratique, le Parti Nationaliste des Bahamas et l’ Alliance Nationale Démocratique . [87]

Relations étrangères

Les Bahamas entretiennent de solides relations bilatérales avec les États-Unis et le Royaume-Uni, représentés par un ambassadeur à Washington et un haut-commissaire à Londres . Les Bahamas s’associent également étroitement avec d’autres nations de la Communauté des Caraïbes (CARICOM). [88]

L’ambassade des États-Unis à Nassau a fait don de 3,6 millions de dollars au ministre de la préparation aux catastrophes, de la gestion et de la reconstruction pour des abris modulaires, des bateaux d’évacuation médicale et des matériaux de construction. Le don a été fait 2 semaines après le premier anniversaire de ‘ l’ ouragan Dorian ‘. [89]

Forces armées

HMBS Nassau (P-61)

L’armée des Bahamas est la Royal Bahamas Defence Force (RBDF), [90] la marine des Bahamas qui comprend une unité terrestre appelée Commando Squadron (Regiment) et une Air Wing (Air Force). En vertu de la loi sur la défense, la RBDF a été mandatée, au nom de la reine , pour défendre les Bahamas, protéger son intégrité territoriale, patrouiller ses eaux, fournir une assistance et des secours en cas de catastrophe, maintenir l’ordre en collaboration avec les forces de l’ordre des Bahamas, et s’acquitter de toutes les tâches telles que déterminées par le Conseil de sécurité nationale. [91] La Force de défense est également membre du Groupe de travail sur la sécurité régionale de la Communauté des Caraïbes ( CARICOM ). [90]

La RBDF a vu le jour le 31 mars 1980. Ses missions incluent la défense des Bahamas, la lutte contre le trafic de drogue , l’immigration clandestine et le braconnage, et l’assistance aux marins. La Force de défense dispose d’une flotte de 26 patrouilleurs côtiers et côtiers ainsi que de 3 avions et de plus de 1 100 personnes, dont 65 officiers et 74 femmes. [92]

divisions administratives

Les districts des Bahamas fournissent un système de gouvernement local partout sauf à New Providence(qui détient 70 pour cent de la population nationale), dont les affaires sont gérées directement par le gouvernement central. En 1996, le Parlement des Bahamas a adopté la «loi sur le gouvernement local» pour faciliter la création d’administrateurs des îles familiales, de districts de gouvernement local, de conseillers de district locaux et de comités municipaux locaux pour les différentes communautés insulaires. L’objectif général de cette loi est de permettre aux différents dirigeants élus de gouverner et de superviser les affaires de leurs districts respectifs sans l’ingérence du gouvernement central. Au total, il y a 32 districts, avec des élections organisées tous les cinq ans. Il y a 110 conseillers et 281 membres du comité municipal élus pour représenter les différents quartiers. [93]

Chaque conseiller ou membre du comité municipal est responsable de la bonne utilisation des fonds publics pour l’entretien et le développement de sa circonscription.

Les districts autres que New Providence sont : [94]

  1. Acklin
  2. Îles Berry
  3. Bimini
  4. Point noir , Exuma
  5. Île aux chats
  6. Abaco central
  7. Centre d’Andros
  8. Centre d’Eleuthera
  9. Ville de Freeport, Grand Bahama
  10. Île tordue
  11. East Grand Bahama
  12. Exuma
  13. Grand Cay , Abaco
  14. Île du port , Eleuthera
  15. Ville d’espoir , Abaco
  16. Inagua
  17. Long Island
  18. Mangrove Cay , Andros
  19. Mayaguana
  20. Île de Moore , Abaco
  21. Abaco du Nord
  22. Nord Andros
  23. Nord d’Eleuthera
  24. Île en lambeaux
  25. Rhum Cay
  26. San Salvador
  27. Abaco du Sud
  28. Andros du Sud
  29. Eleuthera du Sud
  30. Puits espagnols , Eleuthera
  31. West Grand Bahama

Districts des Bahamas

Économie

Une représentation proportionnelle des exportations des Bahamas en 2019.

En termes de PIB par habitant , les Bahamas sont l’un des pays les plus riches des Amériques . [95] [ échec de la vérification ] Sa monnaie (le dollar des Bahamas ) est maintenue à un parité de 1 pour 1 avec le dollar américain . [12]

Les Bahamas dépendent fortement du tourisme pour générer la majeure partie de leur activité économique. Le tourisme en tant qu’industrie représente non seulement environ 50% du PIB des Bahamas, mais fournit également des emplois à environ la moitié de la main-d’œuvre du pays. [12] [96] Les Bahamas ont attiré 5,8 millions de visiteurs en 2012, dont plus de 70 % étaient des croisiéristes. [97]

Après le tourisme, le deuxième secteur économique le plus important est la banque et les services financiers internationaux offshore , qui représentent environ 15 % du PIB. [12] Il a été révélé dans les Panama Papers que les Bahamas sont la juridiction qui compte le plus d’entités ou de sociétés offshore au monde. [98]

L’économie a un régime fiscal très compétitif (classé par certains comme un paradis fiscal ). Le gouvernement tire ses revenus des droits d’importation, de la TVA , des droits de licence, des taxes foncières et de timbre, mais il n’y a pas d’impôt sur le revenu, d’impôt sur les sociétés, d’impôt sur les plus-values ​​ou d’impôt sur la fortune. Les charges sociales financent les prestations d’assurance sociale et s’élèvent à 3,9 % à la charge du salarié et à 5,9 % à la charge de l’employeur. [99] En 2010, les recettes fiscales globales en pourcentage du PIB étaient de 17,2%. [2]

L’agriculture et l’industrie manufacturière forment le troisième secteur en importance de l’économie des Bahamas, représentant 5 à 7% du PIB total. [12] On estime que 80 % de l’approvisionnement alimentaire bahamien est importé. Les principales cultures sont les oignons , le gombo , les tomates , les oranges , les pamplemousses , les concombres , la canne à sucre , les citrons , les limes et les patates douces . [100]

L’accès à la biocapacité aux Bahamas est bien supérieur à la moyenne mondiale. En 2016, les Bahamas disposaient de 9,2 hectares globaux [101] de biocapacité par personne sur leur territoire, bien plus que la moyenne mondiale de 1,6 hectare global par personne. [102] En 2016, les Bahamas ont utilisé 3,7 hectares globaux de biocapacité par personne – leur empreinte écologique de consommation. Cela signifie qu’ils utilisent moins de biocapacité que les Bahamas n’en contiennent. En conséquence, les Bahamas gèrent une réserve de biocapacité. [101]

Le transport

Aéroport international Leonard M. Thompson

Les Bahamas contiennent environ 1 620 km (1 010 mi) de routes goudronnées. [11] Le transport inter-îles s’effectue principalement par voie maritime et aérienne. Le pays compte 61 aéroports, dont les principaux sont l’aéroport international Lynden Pindling de New Providence, l’aéroport international de Grand Bahama sur l’île de Grand Bahama et l’aéroport international Leonard M. Thompson (anciennement aéroport de Marsh Harbour) sur l’île d’Abaco.

Démographie

Démographie des Bahamas, données de la FAO ; nombre d’habitants en milliers

Les Bahamas avaient une population de 385 637 habitants au recensement de 2018, dont 25,9% avaient 14 ans ou moins, 67,2% 15 à 64 ans et 6,9% plus de 65 ans. Il a un taux de croissance démographique de 0,925% (2010), avec un taux de natalité de 17,81/1 000 habitants, taux de mortalité de 9,35/1 000 et taux de migration nette de −2,13 migrant(s)/1 000 habitants. [103] Le taux de mortalité infantile est de 23,21 décès/1 000 naissances vivantes. Les résidents ont une espérance de vie à la naissance de 69,87 ans : 73,49 ans pour les femmes, 66,32 ans pour les hommes. L’indice synthétique de fécondité est de 2,0 enfants nés/femme (2010). [2] La dernière estimation officielle (en 2022) est de 400 516.

Les îles les plus peuplées sont New Providence , où se trouve Nassau , la capitale et la plus grande ville ; [104] et Grand Bahama , qui abrite la deuxième plus grande ville de Freeport . [105]

Groupes raciaux et ethniques

Selon le taux de réponse de 99 % obtenu à la question raciale du questionnaire du recensement de 2010, 90,6 % de la population s’est identifiée comme étant noire , 4,7 % blanche et 2,1 % métissée (africaine et européenne). [106] Trois siècles auparavant, en 1722, lors du premier recensement officiel des Bahamas, 74% de la population était d’origine européenne et 26% d’origine africaine. [106]

Enfants afro-bahaméens dans une école locale

Depuis l’ère coloniale des plantations, les Africains ou Afro-Bahamiens ont été le plus grand groupe ethnique des Bahamas, dont l’ascendance principale était basée en Afrique de l’Ouest . Les premiers Africains arrivés aux Bahamas étaient des esclaves libérés des Bermudes ; ils sont arrivés avec les aventuriers d’Eleutheran à la recherche de nouvelles vies. [107]

La communauté haïtienne des Bahamas est également en grande partie d’origine africaine et compte environ 80 000 personnes. En raison d’une immigration extrêmement élevée d’Haïtiens vers les Bahamas, le gouvernement des Bahamas a commencé à expulser des immigrants haïtiens illégaux vers leur pays d’origine à la fin de 2014. [108]

Bahamiens blancs sur l’île de New Providence

La population blanche des Bahamas est principalement composée des descendants des puritains anglais et des Loyalistes américains fuyant la Révolution américaine qui sont arrivés respectivement en 1649 et 1783. [109] De nombreux Loyalistes du Sud se sont rendus dans les îles Abaco , dont la moitié de la population était d’origine européenne en 1985. [110] Le terme blanc est généralement utilisé pour identifier les Bahamiens d’ascendance anglo-saxonne, ainsi que certains Afro-Bahamiens à la peau claire. . Parfois, les Bahamiens utilisent le terme Conchy Joe pour décrire les personnes d’origine anglo-saxonne. En général, cependant, les Bahamiens s’identifient comme blancs ou noirs selon des lignes similaires à la distinction faite aux États-Unis.[111]

Une petite partie de la population euro-bahaméenne est constituée de Bahamiens grecs , descendants d’ ouvriers grecs venus aider à développer l’industrie des éponges dans les années 1900. [112] Ils représentent moins de 2 % de la population du pays, mais ont toujours préservé leur culture bahamienne grecque distincte. [113] [114]

La religion

Religion aux Bahamas (2010) [115]

Protestante (80%) Catholique romain (14,5%) Autre chrétien (1,3%) Non affilié (3,1%) Autre religion (1,1%)

La population des îles est majoritairement chrétienne . [12] [18] Les dénominations protestantes représentent collectivement plus de 70 % de la population, les baptistes représentant 35 % de la population, les anglicans 15 %, les pentecôtistes 8 %, l’Église de Dieu 5 %, les adventistes du septième jour 5 % et les méthodistes . 4 %. Il existe également une importante communauté catholique romaine représentant environ 14%. [116]

Les Juifs des Bahamas ont une histoire qui remonte aux expéditions de Colomb , où Luis De Torres , interprète et membre du parti de Colomb, aurait été secrètement juif. Aujourd’hui, il existe une petite communauté d’environ 200 membres, selon les données du recensement, bien que des estimations plus élevées placent ce chiffre à 300. [117] [118] [119]

Les musulmans ont également une présence minoritaire. Alors que certains esclaves et Africains libres à l’époque coloniale étaient musulmans, la religion a été éradiquée jusque vers les années 1970, lorsqu’elle a connu un renouveau. Aujourd’hui, il y a environ 300 musulmans. [120] [119]

Il existe également de plus petites communautés de bahá’ís , d’ hindous , de rastafariens et de pratiquants de religions africaines traditionnelles telles que l’ Obeah . [119]

Langues

La langue officielle des Bahamas est l’anglais. De nombreuses personnes parlent une langue créole basée sur l’anglais appelée dialecte bahamien (connu simplement sous le nom de «dialecte») ou «bahamianais». [121] Laurente Gibbs, un écrivain et acteur des Bahamas, a été le premier à inventer ce dernier nom dans un poème et a depuis promu son utilisation. [122] [123] Les deux sont utilisés comme autoglossonymes . [124] Créole haïtien , une langue créole basée en français est parlée par les Haïtiens et leurs descendants, qui représentent environ 25% de la population totale. Il est simplement connu sous le nom de créole [2] pour le différencier de l’anglais des Bahamas.[125]

Éducation

Selon les estimations de 2011, 95% de la population adulte des Bahamas est alphabétisée.

L’ Université des Bahamas (UB) est le système national d’enseignement supérieur/supérieur. Proposant des diplômes de baccalauréat, de maîtrise et d’associé, UB possède trois campus et des centres d’enseignement et de recherche à travers les Bahamas. L’Université des Bahamas a été agréée le 10 novembre 2016. [126]

Culture

Célébration Junkanoo à Nassau

La culture des îles est un mélange d’Africains (les Afro-Bahamiens étant la plus grande ethnie), de Britanniques (en tant qu’ancienne puissance coloniale) et d’Américains (en tant que pays dominant de la région et source de la plupart des touristes). [18]

Une forme de magie folklorique d’origine africaine ( obeah ) est pratiquée par certains Bahamiens, principalement dans les Family Islands (out-islands) des Bahamas. [127] La ​​pratique de l’obeah est illégale aux Bahamas et punissable par la loi. [128]

Dans les îles périphériques moins développées (ou Family Islands), l’artisanat comprend la vannerie à base de feuilles de palmier. Ce matériau, communément appelé “paille”, est tressé dans des chapeaux et des sacs qui sont des articles touristiques populaires. Une autre utilisation concerne les soi-disant ” poupées vaudou “, même si ces poupées sont le résultat d’influences étrangères et ne sont pas fondées sur des faits historiques. [129]

Junkanoo est un défilé de rue afro-bahamien traditionnel de «précipitation», de musique, de danse et d’art qui se tient à Nassau (et dans quelques autres colonies) chaque lendemain de Noël et le jour de l’an . Junkanoo est également utilisé pour célébrer d’autres fêtes et événements tels que le jour de l’émancipation. [18]

Les régates sont des événements sociaux importants dans de nombreuses colonies familiales insulaires. Ils comportent généralement une ou plusieurs journées de navigation sur des bateaux de travail à l’ancienne , ainsi qu’un festival à terre. [130]

De nombreux plats sont associés à la cuisine des Bahamas , qui reflète les influences caribéennes, africaines et européennes. Certaines colonies organisent des festivals associés à la culture ou à la nourriture traditionnelle de cette région, comme le “Pineapple Fest” à Gregory Town, Eleuthera ou le “Crab Fest” sur Andros. D’autres traditions importantes incluent la narration d’histoires .

Les Bahamiens ont créé une riche littérature de poésie, de nouvelles, de pièces de théâtre et de courtes œuvres de fiction. Les thèmes communs à ces œuvres sont (1) une prise de conscience du changement, (2) une recherche de sophistication, (3) une recherche d’identité, (4) la nostalgie des anciennes méthodes et (5) une appréciation de la beauté. Certains écrivains majeurs sont Susan Wallace, Percival Miller, Robert Johnson, Raymond Brown, OM Smith, William Johnson, Eddie Minnis et Winston Saunders . [131] [132]

La culture des Bahamas est riche de croyances, de traditions, de folklore et de légendes. Le folklore et les légendes les plus connus des Bahamas incluent les créatures lusca et chickcharney d’Andros, Pretty Molly sur Exuma Bahamas et la cité perdue d’ Atlantis sur Bimini Bahamas.

Symboles

Le drapeau national des Bahamas

Le drapeau bahamien a été adopté en 1973. Ses couleurs symbolisent la force du peuple bahamien ; sa conception reflète les aspects de l’environnement naturel (soleil et mer) et du développement économique et social. [11] Le drapeau est un triangle équilatéral noir contre le mât, superposé sur un fond horizontal composé de trois bandes égales d’aigue-marine, d’or et d’aigue-marine. [11]

Armoiries des Bahamas

Les Armoiries des Bahamas contiennent un bouclier avec les symboles nationaux comme point central. Le bouclier est soutenu par un marlin et un flamant rose , qui sont les animaux nationaux des Bahamas. Le flamant rose est situé sur la terre, et le marlin sur la mer, indiquant la géographie des îles.

Au-dessus du bouclier se trouve une coquille de conque, qui représente la vie marine variée de la chaîne d’îles. La conque repose sur un casque. En dessous se trouve le véritable bouclier, dont le symbole principal est un navire représentant la Santa María de Christophe Colomb, représentée naviguant sous le soleil. En bas, sous le bouclier apparaît une bannière sur laquelle est la devise nationale : [133]

En avant, en haut, en avant ensemble.

La fleur nationale des Bahamas est le sureau jaune , car elle est endémique des îles Bahama et fleurit toute l’année. [134]

La sélection du sureau jaune par rapport à de nombreuses autres fleurs a été faite grâce au vote populaire combiné des membres des quatre clubs de jardinage de New Providence des années 1970 – le Nassau Garden Club, le Carver Garden Club, l’International Garden Club et le YWCA Garden Club. Ils ont estimé que d’autres fleurs cultivées là-bas, telles que le bougainvillier , l’ hibiscus et le poinciana , avaient déjà été choisies comme fleurs nationales d’autres pays. Le sureau jaune, d’autre part, n’a pas été réclamé par d’autres pays (bien qu’il soit maintenant aussi la fleur nationale des îles Vierges américaines ) et le sureau jaune est également originaire des îles familiales. [135]

sport

Stade Thomas Robinson à Nassau .

Le sport est une partie importante de la culture des Bahamas. Le sport national est le cricket , qui a été joué aux Bahamas à partir de 1846 [136] et est le sport le plus ancien joué dans le pays aujourd’hui. La Bahamas Cricket Association a été créée en 1936 et, des années 1940 aux années 1970, le cricket a été pratiqué par de nombreux Bahamiens. Les Bahamas ne font pas partie du West Indies Cricket Board , les joueurs ne sont donc pas éligibles pour jouer pour l’ équipe de cricket des Antilles.. La fin des années 1970 a vu le jeu commencer à décliner dans le pays alors que les enseignants, qui étaient auparavant venus du Royaume-Uni avec une passion pour le cricket, ont été remplacés par des enseignants formés aux États-Unis. Les professeurs d’éducation physique des Bahamas n’avaient aucune connaissance du jeu et ont plutôt enseigné l’athlétisme , le basket -ball , le baseball , le softball , [137] le volley -ball [138] et le football d’association [139] où les écoles primaires et secondaires s’affrontent. Aujourd’hui, le cricket est encore pratiqué par quelques habitants et immigrants du pays, généralement originaires de la Jamaïque , de la Guyane et de Trinidad .et la Barbade . Le cricket se joue les samedis et dimanches à Windsor Park et Haynes Oval à Nassau, aux Bahamas . [140] Alors que le principal et le seul terrain de cricket de Grand Bahama est le Lucaya Cricket Oval. [141]

Le seul autre événement sportif qui a commencé avant le cricket était les courses de chevaux , qui ont commencé en 1796. Les sports de spectateurs les plus populaires sont ceux importés des États-Unis, comme le basket-ball, [142] le football américain , [143] et le baseball, [144] plutôt que des îles britanniques, en raison de la proximité du pays avec les États-Unis, contrairement à leurs homologues des Caraïbes, où le cricket, le football et le netball se sont avérés plus populaires.

Au fil des ans, le football américain est devenu beaucoup plus populaire que le football, bien qu’il ne soit pas encore mis en œuvre dans le système scolaire secondaire. Des ligues pour adolescents et adultes ont été développées par la Fédération américaine de football des Bahamas. [145] Cependant, le football, comme on l’appelle communément dans le pays, reste un sport très populaire parmi les élèves du secondaire. Les ligues sont régies par la Bahamas Football Association . En 2013, le gouvernement des Bahamas a travaillé en étroite collaboration avec Tottenham Hotspur de Londres pour promouvoir le sport dans le pays ainsi que la promotion des Bahamas sur le marché européen. En 2013, les “Spurs” sont devenus le premier club de Premier League à disputer un match d’exhibition aux Bahamas, face à l’ équipe nationale jamaïcaine .Joe Lewis , le propriétaire du club, est basé aux Bahamas. [146] [147] [148]

D’autres sports populaires sont la natation , [149] le tennis [150] et la boxe , [151] où les Bahamiens ont connu un certain succès au niveau international. D’autres sports tels que le golf , [152] la ligue de rugby , [153] l’union de rugby , [154] le football de plage , [155] et le netball sont considérés comme des sports en pleine croissance. L’ athlétisme , communément appelé «athlétisme» dans le pays, est de loin le sport le plus réussi parmi les Bahamiens. Les Bahamiens ont une forte tradition dans les sprintset saute. L’athlétisme est probablement le sport le plus populaire du pays après le basket -ball en raison de son succès au fil des ans. Les triathlons gagnent en popularité à Nassau et dans les Family Islands.

Les Bahamas ont participé pour la première fois aux Jeux olympiques en 1952 et ont envoyé des athlètes participer à tous les Jeux olympiques d’été depuis lors, sauf lorsqu’ils ont participé au boycott américain des Jeux olympiques d’été de 1980 . La nation n’a jamais participé à aucun Jeux olympiques d’hiver . Les athlètes bahamiens ont remporté un total de seize médailles, toutes en athlétisme et en voile . Les Bahamas ont remporté plus de médailles olympiques que tout autre pays de moins d’un million d’habitants. [156]

Les Bahamas ont accueilli le premier tournoi senior masculin de la FIFA organisé dans les Caraïbes, la Coupe du monde de beach soccer de la FIFA 2017 . [157] Les Bahamas ont également accueilli les 3 premières éditions des relais mondiaux de l’IAAF . [158] La nation a également accueilli les Jeux de la jeunesse du Commonwealth de 2017 , [159] ainsi que les événements annuels Bahamas Bowl [160] et Battle 4 Atlantis . [161]

Voir également

  • Portail des Caraïbes
  • Contour des Bahamas
  • Index des articles liés aux Bahamas

Références

Citations

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  155. ^ Coupe du monde de football de plage de la FIFA 2013 – Qualificatif CONCACAF Bahamas . beachfootball.com
  156. ^ “Célébrez les Jeux Olympiques – Le plus grand événement sportif du monde” . Comité international olympique . 29 janvier 2022.
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Sources

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  • Higham, Charles (1988). La duchesse de Windsor : La vie secrète . McGraw Hill. ISBN 978-0471485230.

Lectures complémentaires

Histoire générale

  • Cash Philippe et al. (Don Maples, Alison Packer). La fabrication des Bahamas: une histoire pour les écoles . Londres : Collins, 1978.
  • Miller, Hubert W. La colonisation des Bahamas, 1647–1670 , The William and Mary Quarterly 2 n ° 1 (janvier 1945): 33–46.
  • Craton, Michel. Une histoire des Bahamas . Londres : Collins, 1962.
  • Craton, Michael et Saunders, Gail. Islanders in the Stream: Une histoire du peuple bahamien . Athènes : University of Georgia Press , 1992
  • Collinwood, doyen. “Columbus et la découverte de soi”, Weber Studies , Vol. 9 n° 3 (automne) 1992 : 29–44.
  • Dodge, Steve. Abaco: L’histoire d’une île extérieure et de ses cayes , Tropic Isle Publications, 1983.
  • Dodge, Steve. Le guide complet de Nassau , White Sound Press, 1987.
  • Boultbee, Paul G. Les Bahamas. Oxford : ABC-Clio Press, 1990.
  • Wood, David E., comp., Un guide de sources sélectionnées pour l’histoire des établissements séminoles de Red Bays, Andros, 1817–1980 , Nassau: Département des archives

Histoire économique

  • Johnson, Howard. Les Bahamas dans l’esclavage et la liberté . Kingston: Ian Randle Publishing, 1991.
  • Johnson, Howard. Les Bahamas de l’esclavage à la servitude, 1783–1933 . Gainesville : University of Florida Press , 1996.
  • Alan A. Block. Masters of Paradise , Nouveau-Brunswick et Londres, Transaction Publishers, 1998.
  • Storr, Virgil H. Enterprising Slaves and Master Pirates: Understanding Economic Life in the Bahamas . New York : Peter Lang , 2004.

Histoire sociale

  • Johnson, Wittington B. Race Relations in the Bahamas, 1784–1834: The Nonviolent Transformation from a Slave to a Free Society , Fayetteville: University of Arkansas , 2000.
  • Shirley, Paul. “Tek Force Wid Force”, History Today 54, non. 41 (avril 2004): 30–35.
  • Saunders, Gail. La vie sociale aux Bahamas des années 1880 aux années 1920 . Nassau : Édition multimédia, 1996.
  • Saunders, Gail. La société des Bahamas après l’émancipation . Kingston: Ian Randle Publishing, 1990.
  • Curry, Jimmy. Filthy Rich Gangster / Premier film bahamien . Film Mogul Photos: 1996.
  • Curry, Jimmy. À la rescousse/première chanson rap/hip hop des Bahamas . Dossiers de la couronne royale, 1985.
  • Collinwood, doyen. Les Bahamas entre les mondes , White Sound Press, 1989.
  • Collinwood, Dean et Steve Dodge. Société bahamienne moderne , Caribbean Books, 1989.
  • Dodge, Steve, Robert McIntire et Dean Collinwood. Index des Bahamas , White Sound Press, 1989.
  • Collinwood, doyen. “Les Bahamas”, dans The Whole World Handbook 1992–1995 , 12e éd., New York: St. Martin’s Press, 1994.
  • Collinwood, doyen. “The Bahamas”, chapitres dans Jack W. Hopkins, éd., Latin American and Caribbean Contemporary Record , Vols. 1,2,3,4, Holmes et Meier Publishers, 1983, 1984, 1985, 1986.
  • Collinwood, doyen. “Problèmes de recherche et de formation dans les petites îles dotées d’une faculté de sciences sociales”, in Sciences sociales en Amérique latine et dans les Caraïbes , UNESCO, n° 48, 1982.
  • Collinwood, Dean et Rick Phillips, “La littérature nationale des nouveaux Bahamas”, Weber Studies , Vol.7, n ° 1 (printemps) 1990 : 43–62.
  • Collinwood, doyen. “Écrivains, spécialistes des sciences sociales et normes sexuelles dans les Caraïbes”, Tsuda Review , n ° 31 (novembre) 1986 : 45–57.
  • Collinwood, doyen. “Terra Incognita: Recherche sur la société bahamienne moderne”, Journal of Caribbean Studies , Vol. 1, n° 2–3 (hiver) 1981 : 284–297.
  • Collinwood, Dean et Steve Dodge. “Political Leadership in the Bahamas”, The Bahamas Research Institute, n° 1, mai 1987.

Liens externes

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  • Bahamas . Le Factbook mondial . Agence centrale de renseignement .
  • Les Bahamas depuis les bibliothèques UCB GovPubs
  • Les Bahamas à Curlie
  • Les Bahamas de la BBC News
  • Prévisions de développement clés pour les Bahamas d’après International Futures
  • Cartes des Bahamas de la bibliothèque de l’American Geographical Society
  • Le journal Nassau Guardian , 1849–1922, en libre accès depuis la bibliothèque numérique des Caraïbes
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