Botfly

Les botflies , également connues sous le nom de Mouches à gazon , Mouches à talons et taons , sont une famille de Mouches techniquement connue sous le nom d’ Oestridae . Leurs larves sont des parasites internes des mammifères, certaines espèces poussant dans la chair de l’hôte et d’autres dans l’intestin. Dermatobia hominis est la seule espèce de botfly connue pour parasiter régulièrement les humains, bien que d’autres espèces de Mouches provoquent une myiase chez l’homme.

Botfly
Cerf botfly Stimulateur Cephenemyia
Classement scientifique
Royaume:	Animalier
Phylum:	Arthropodes
Classe:	Insectes
Commande:	diptères
(non classé):	Eremoneura
(non classé):	Cyclorrhapha
Section:	Schizophore
Sous-section :	calyptrates
Superfamille :	Oestroïdes
Famille:	Lessivage des Oestridae , 1815
Superfamilles
Cuterebrinae Gasterophilinae Hypodermatines Oestrinae

Mâle juvénile hurleur à manteau équatorien ( Alouatta palliata aequatorialis ) avec des parasites botfly

Général

Un botfly, ^[1] également écrit bot fly, ^[2] bott fly ^[3] ou bot-fly ^[4] dans diverses combinaisons, est n’importe quelle mouche de la famille des Oestridae. Leurs cycles de vie varient considérablement selon les espèces, mais les larves de toutes les espèces sont des parasites internes des mammifères. En grande partie selon les espèces, ils sont également connus sous le nom de Mouches à gazon , de Mouches à talons et de taons. Les larves de certaines espèces se développent dans la chair de leurs hôtes, tandis que d’autres se développent dans le Tube digestif des hôtes .

Le mot “bot” dans ce sens signifie un asticot. ^[4] Un gazouillis est une grosseur ou un callus cutané qui pourrait être causé par un harnais mal ajusté ou par la présence d’une mouche de la mouche gazouillante sous la peau. Le botfly humain, Dermatobia hominis , est la seule espèce de botfly dont les larves parasitent habituellement les humains, bien que les Mouches de certaines autres familles provoquent épisodiquement la myiase humaine et sont parfois plus nuisibles.

Cuterebra fontinella , le botfly de la souris, Parasite les petits mammifères partout en Amérique du Nord. ^[5]

Famille des Oestridés

Les Oestridae sont maintenant généralement définis comme incluant les anciennes familles Oestridae , Cuterebridae , Gasterophilidae et Hypodermatidae en tant que sous – familles .

Les Oestridae, à leur tour, sont une famille au sein de la superfamille Oestroidea , avec les familles Calliphoridae , Rhinophoridae , Sarcophagidae et Tachinidae .

Parmi les familles de Mouches responsables de la myiase , les Oestridae comprennent la plus forte proportion d’espèces dont les larves vivent en parasites obligatoires dans le corps des mammifères . Environ 150 espèces sont connues dans le monde. ^[6] La plupart des autres espèces de Mouches impliquées dans la myiase sont des membres de familles apparentées, telles que les Mouches à viande.

Infestation

Stade larvaire de Gasterophilus intestinalis

Les botflies déposent des œufs sur un hôte, ou utilisent parfois un vecteur intermédiaire comme la mouche domestique commune , les moustiques et, dans le cas de D. hominis , une espèce de tique . Après l’accouplement, la femelle botfly capture l’insecte phorétique en tenant ses ailes avec ses pattes. Elle fait ensuite le feuillet en fixant 15 à 30 œufs sur l’abdomen de l’insecte ou de l’arachnide, où ils incubent. La femelle fécondée le fait encore et encore pour distribuer les 100 à 400 œufs qu’elle produit au cours de son court stade de vie adulte de seulement 8 à 9 jours. Les larves de ces œufs, stimulées par la chaleur et la proximité d’un grand mammifère hôte, tombent sur sa peau et s’enfouissent en dessous. ^[7]Des vecteurs intermédiaires sont souvent utilisés, car un certain nombre d’hôtes animaux reconnaissent l’approche d’un botfly et s’enfuient. ^[8]

Les œufs sont déposés directement sur la peau des animaux plus gros , ou les larves éclosent et tombent des œufs attachés au vecteur intermédiaire; la chaleur corporelle de l’animal hôte induit l’éclosion au contact ou à proximité immédiate. Certaines formes de botfly se produisent également dans le Tube digestif après ingestion par léchage.

Ox warble fly ( Hypoderma bovis )

La myiase peut être causée par des larves qui s’enfouissent dans la peau (ou le revêtement tissulaire) de l’animal hôte. Les larves matures tombent de l’hôte et terminent le stade nymphal dans le sol. Ils ne tuent pas l’animal hôte, ce sont donc de véritables parasites .

Les papillons équins présentent des difficultés saisonnières aux gardiens équestres , car ils pondent des œufs à l’intérieur des pattes avant des chevaux, sur l’ os du canon et Les genoux et parfois sur la gorge ou le nez , selon les espèces. Ces œufs, qui ressemblent à de petites gouttes de peinture jaunes, doivent être soigneusement retirés pendant la saison de ponte (fin de l’été et début de l’automne) pour éviter toute infestation chez le cheval. Lorsqu’un cheval se frotte le nez contre ses jambes, les œufs sont transférés dans la bouche et de là dans les Intestins, où les larves se développent et se fixent à la muqueuse de l’estomac ou à l’intestin grêle. La fixation des larves au tissu produit une légère irritation, qui se traduit par des érosions et des ulcérations au niveau du site. ^[9] Le retrait des œufs (qui adhèrent aux cheveux de l’hôte) est difficile, car l’os et les tendonssont directement sous la peau sur les os du canon ; les œufs doivent être enlevés avec un couteau tranchant (souvent une lame de rasoir) ou du papier de verre rugueux et attrapés avant qu’ils n’atteignent le sol. Les larves restent attachées et se développent pendant 10 à 12 mois avant de s’évanouir dans les fèces. Parfois, les propriétaires de chevaux rapportent avoir vu des larves de botfly dans le fumier de cheval. Ces larves sont de forme cylindrique et de couleur orange rougeâtre. En un à deux mois, des Mouches adultes émergent des larves en développement et le cycle se répète. ^[9] Les botflies peuvent être contrôlés avec plusieurs types de vermifuges, notamment le dichlorvos , l’ivermectine et le Trichlorfon .

Chez les bovins, les lésions causées par ces Mouches peuvent être infectées par Mannheimia granulomatis , une Bactérie qui cause le lechiguana , caractérisé par des grumeaux durs à croissance rapide sous la peau de l’animal. Sans antibiotiques, un animal atteint mourra dans les 3 à 11 mois. ^{[10] [11]}

Dermatobia hominis , le botfly humain, utilise occasionnellement des humains pour héberger ses larves. ^{[ citation nécessaire ]}

Comme nourriture humaine

Tête disséquée d’un cerf montrant des larves de botfly

Dans les climats froids abritant des populations dépendantes du renne ou du Caribou , de grandes quantités d’ asticots Hypoderma tarandi (mouche du Caribou) sont disponibles pour les populations humaines lors de la boucherie des animaux. ^[12]

Le sixième épisode de la première saison de la série télévisée Beyond Survival , intitulé “The Inuit – Survivors of the Future”, met en vedette l’expert en survie Les Stroud et deux guides inuits chassant le Caribou sur la côte nord de l’île de Baffin près de Pond Inlet , Nunavut , Canada. Lors du dépeçage et de l’abattage de l’un des animaux, de nombreuses larves (vraisemblablement H. tarandi , bien que cela ne soit pas explicitement indiqué) sont apparentes à l’intérieur de la peau de Caribou. Stroud et ses deux guides inuits mangent (bien qu’un peu à contrecœur) une larve chacun, Stroud commentant que la larve “a le goût du lait” et était historiquement couramment consommée par les Inuits. ^[13]

L’art abondant datant du Pléistocène en Europe confirme également leur consommation à l’époque prémoderne. ^[14]

Le Talmud babylonien Hullin 67b explique si la mouche gazonnée est casher. ^[15]

Voir également

• Cochliomyia hominivorax , le Ver à vis
• Cordylobia anthropophaga , la mouche tumbu
• Myiase – infestation parasitaire par des larves de Mouches

Références

1. ^ Inc. Merriam-Webster (2011). Dictionnaire anglais américain Webster . Springfield, Massachusetts : Federal Street Press. ISBN 978-1-59695-114-3.
2. ^ Mullen, Gary; Durden, Lance, éd. (2009). Entomologie médicale et vétérinaire . Amsterdam, Pays-Bas : Académique. ISBN 978-0-12-372500-4.
3. ^ Journal du Département de l’Agriculture de l’Australie-Occidentale, Volume 9, Pub: Australie-Occidentale. Ministère de l’Agriculture, 1904, p 17
4. ^ ^{un b} Brown, Lesley (1993). Le nouveau dictionnaire anglais Oxford plus court sur les principes historiques . Oxford [Eng.] : Clarendon. ISBN 0-19-861271-0.
5. ^ Jennison CA, Rodas LR, Barrett GW (2006). « Parasitisme de Cuterebra fontinella sur Peromyscus leucopus et Ochrotomys nuttalli ». Naturaliste du Sud-Est . 5 (1): 157–168. doi : 10.1656/1528-7092(2006)5[157:CFPOPL]2.0.CO;2 .
6. ^ Pape, Thomas (avril 2001). “Phylogénie des Oestridae (Insecta: Diptera)”. Entomologie systématique . 26 (2): 133–171. doi : 10.1046/j.1365-3113.2001.00143.x . S2CID 83936667 .
7. ^ Dunleavy, Stephen (producteur) (2005-10-20). La vie en sous-bois : Relations intimes (Synthèses de programmes) . BBC . Récupéré le 17/12/2008 .
8. ^ Drees, BM; Jackman, John (1999). “Cheval Bot Fly”. Guide de terrain sur les insectes du Texas . Houston, Texas : Gulf Publishing Company. Archivé de l’original le 14/11/2012 . Récupéré le 12 juin 2013 .
9. ^ ^{un b} Ondrak, Julie. “Demandez au vétérinaire : traiter les infestations de bots chez les chevaux” . lambriarvet.com . Récupéré le 10/09/2009 .
10. ^ Piper, Ross (2007). « Botfly humain » . Animaux extraordinaires : une encyclopédie d’animaux curieux et insolites . Westport, Connecticut : Greenwood Publishing Group . p. 192–194 . ISBN 978-0-313-33922-6. OCLC 191846476 . Récupéré le 13/02/2009 .
11. ^ Riet-Correa, F.; SL Ladeira; GB Andrade ; GR Carter (décembre 2000). “Lechiguana (panniculite fibrogranulomateuse proliférative focale) chez les bovins”. Communications sur la recherche vétérinaire . 24 (8): 557–572. doi : 10.1023/A:1006444019819 . PMID 11305747 . S2CID 19888515 .
12. ^ Feutre, EP (1918). « Larves de caribous comestibles » . Journal d’entomologie économique . 11 : 482.
13. ^ “Les Stroud Beyond Survival: Les Inuits – Survivants du futur” . Lesstroud.ca. Archivé de l’original le 2016-03-02 . Récupéré le 10/11/2015 .
14. ^ Guthrie, Russell Dale (2005). La nature de l’art paléolithique . Presse de l’Université de Chicago. p. 6–. ISBN 978-0-226-31126-5. Récupéré le 7 mai 2013 .
15. ^ “Chullin 67b:11” . www.sefaria.org . Récupéré le 02/01/2021 .

Liens externes

• Médias liés aux Oestridae sur Wikimedia Commons
• Article Encyclopédie.com
• Émasculateur Cuterebra , mouche robot écureuil
• Dermatobia hominis , mouche robot humaine
• Gasterophilus intestinalis , mouche du cheval
• Hypoderma lineatum , ver de bétail commun